| Léon Carré - 1875 - 716 Seiten
...laissait refroidir avant de le boire. « Et tout cela, ajoute l'observateur qui était Buffon lui-même, sans autre instigation que les signes ou la parole de son maître, et souvent de lui-même. » (Buffon, Histoire naturelle, voy. Orang-outang.) Ces actes, qu'on admirait tant chez cet individu,... | |
| Académie des sciences morales et politiques (France) - 1877 - 946 Seiten
...prendre une tasse et une soucoupe, ou « l'apporter sur la table, y mettre du sucre, y verser du « thé, le laisser refroidir pour le boire, et tout...de « son maître, et souvent de lui-même. Il ne faisait de « mal à personne, s'approchait même avec circonspec« lion, et se présentait comme pour... | |
| Georges Surbled - 1900 - 242 Seiten
...invité, aller prendre une tasse et une soucoupe, l'apporter sur la table, y mettre du sucre, y verser du thé, le laisser refroidir pour le boire, et tout...la parole de son maître, et souvent de lui-même. » (i) A ces traits, selon Bufion, il faut reconnaître une intelligence : nous n'y contredisons pas,... | |
| Alphonse de Lamartine - 1925 - 524 Seiten
...invité, aller prendre une tasse et une soucoupe, l'apporter sur la table, y mettre du sucre, y verser du thé, le laisser refroidir pour le boire, et tout...parole de son maître, et souvent de lui-même. Il ne faisait de mal à personne, s'approchait même avec circonspection, et se présentait comme pour demander... | |
| Lydia Meisen - 2008 - 314 Seiten
...invité, aller prendre une tasse et une soucoupe, l'apporter sur la table, y mettre du sucre, y verser du thé, le laisser refroidir pour le boire, et tout cela sans autre instigation que les signes où la parole de son maître et souvent de lui-même. Il ne faisoit du mal à personne, s'approchoit... | |
| Georges-Louis Leclerc Comte de Buffon - 1799 - 406 Seiten
..., aller prendre une tasse et une soucoupe, l'apporter sur la table , y mettre du sucre, y verser du thé, le laisser refroidir pour le boire, et tout...son maître et souvent de lui-même. Il ne faisoit du mal à personne, s'approchoit même avec circonspection , et se présentoit comme pour demander... | |
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