| Walter Leatherbee Leighton - 1908 - 124 Seiten
...comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit, que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute. Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais en autant de parcelles qu'il se pourrait et qu'il serait requis pour... | |
| Jules Payot - 1909 - 268 Seiten
...COMPRENDRE RIEN DE PLUS EN MES JUGEMENTS QUE CE QUI SE PRÉSENTERAIT SI CLAIREMENT ET SI DISTINCTEMENT A MON ESPRIT, QUE JE N'EUSSE AUCUNE OCCASION DE LE METTRE EN DOUTE »!. 64 C'est peu de chose, n'est-ce pas, mon enfant, que le refus de dire « oui », lorsque tu ne... | |
| Félicité Robert de Lamennais, François Duine - 1912 - 384 Seiten
...comprendre rien deplus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit, que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute. » Or, cette règle rejette deux autorités : celle de l'antiquité et « Sans doute, répondrais-je... | |
| André Schimberg - 1913 - 654 Seiten
...comprendre rion de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute l ». Les commentaires dont le philosophe accompagnait l'énoncé de la formule ne laissaient aucun... | |
| William H. Rueckert - 1969 - 543 Seiten
...comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se presenterait si clairement et si distinctement a mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute," I may succeed in finding such a base for my own thought; but thought propels itself toward the universal:... | |
| René Descartes, Etienne Gilson - 1984 - 148 Seiten
...comprendre rien de plus en mes jugements, que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement2 à mon esprit, que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute. Le second, de diviser3 chacune des difficultés que j'examinerais, en autant de parcelles qu'il se pourrait et qu'il... | |
| Henri Gouhier - 1986 - 272 Seiten
...comprendre rien plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute » (4). La conclusion est la décision qui transforme le doute méthodique de Descartes en négation... | |
| J. Schuster, R.R. Yeo - 1986 - 358 Seiten
...comprendre rien de plus en mes jugements, que ce qui se presenterait si clairement et si distinctement a mon esprit, que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.' Cf. Gilson's commentary, op. cit. (Note 5), pp. 197— 204. :' On 'enumeration' and 'fictitious order'... | |
| René Descartes, Etienne Gilson - 1987 - 520 Seiten
...roinpivudi'e rien de plus rn mes jugements que ce qui se présenlirait si elairenieut el si disliin.ienient A mon esprit, que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute » (VI, p. 18, 1. 16-23). « Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais, en aulanl... | |
| Paul Massane - 2005 - 356 Seiten
...comprendre rien de plus en mes jugements, que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit, que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute. Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais, en autant de parcelles qu'il se pourrait et qu'il serait requis pour... | |
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