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" ... j'aimais à me perdre en imagination dans l'espace, mon cœur resserré dans les bornes des êtres s'y trouvait trop à l'étroit; j'étouffais dans l'univers ; j'aurais voulu m 'élancer dans l'infini. "
Petits chefs-d'oeuvre - Seite 515
von Jean-Jacques Rousseau - 1857 - 533 Seiten
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Jean-Jacques Rousseau: De l'île de Saint-Pierre à Ermenonville (1765-1778)

Louis Ducros - 1918 - 460 Seiten
...Malesherbes : t Mais de quoi jouissais-je enfin quand j'étais seul? de moi, de l'univers entier... j'aimais à me perdre en imagination dans l'espace...l'étroit ; j'étouffais dans l'univers, j'aurais voulu m'éiancer dans l'infini. » L'infini ! qu'on se rappelle le mot de Lamartine dans sa lettre à Virieu,...
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Revue d'histoire littéraire de la France, Band 27

Maurice Tourneux - 1920 - 664 Seiten
...un certain élancement du cœur vers une autre source de jouissances dontje n'avais pas d'idée.... J'aimais à me perdre en imagination dans l'espace,...l'univers, j'aurais voulu m'élancer -dans l'infini. » II semble que dans la page de René l'inspiration rousseauiste et ossianique se mêlent et se confondent....
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Selections from the Works of Jean-Jacques Rousseau, Edited [for the Use of ...

Jean-Jacques Rousseau - 1920 - 244 Seiten
...sentais, avec une sorte de volupté, accablé du poids de cet univers, je me livrais avec ravissement à la confusion de ces grandes idées, j'aimais à me...bornes des êtres s'y trouvait trop à l'étroit; j'étouf25 fais dans l'univers; j'aurais voulu m'élancer dans l'infini. Je crois que, si j'eusse dévoilé...
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Foscolo, Manzoni, Leopardi: saggi ... aggiuntovi Preraffaelliti, simbolisti ...

Arturo Graf - 1920 - 388 Seiten
...sorte de voluple, accablé du poids de cel univers, je me livrais avec ravissement à la coi!fusion de ces grandes idées, j'aimais à me perdre en imagination dans l'espace ; mon coeur resserré dans les bornes des ètres s'y trouvait Irop à l'étroit ; j'éloufl'ais dans l'univers...
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Morceaux choisis

Jean-Jacques Rousseau - 1923 - 436 Seiten
...sentais, avec une sorte de volupté, accablé du poids de cet univers, je me livrais avec ravissement à la confusion de ces grandes idées, j'aimais à me...j'étouffais dans l'univers; j'aurais voulu m'élancer dans.l'inHni. Je crois que, si j'eusse dévoilé tous les mystères de la nalure, je me serais senli...
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Correspondance générale de J.-J. Rousseau, Band 7

Jean-Jacques Rousseau - 1927 - 412 Seiten
...l'espace; mon coeur resserré dans les bornes des êtres s'y trouvoit trop à l'étroit, j'étouffois dans l'univers, j'aurais voulu m'élancer dans l'infini....j'eusse dévoilé tous les mystères de la nature, je me serois senti dans une situation moins délicieuse que cette étourdissante extase, à laquelle mon...
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La nouvelle Héloïse, Band 4

Jean-Jacques Rousseau - 1925 - 438 Seiten
...sentais, avec une sorte de volupté, accablé du poids de cet univers, je me livrais avec ravissement à la confusion de ces grandes idées, j'aimais à me...l'étroit; j'étouffais dans l'univers : j'aurais voulu m'élanccr dans l'infini. Je croit que, si j'eusse dévoilé tous les mystères de la nature, je me...
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Lettres à M. de Malesherbes

Jean-Jacques Rousseau - 1928 - 72 Seiten
...poids de cet univers, je me livrais avec ravissement à la confusion de ces grandes idées, j'aimois à me perdre en imagination dans l'espace ; mon cœur resserré dans les bornes des êtres s'y trouvoit trop à l'étroit, j'étouffois dans l'univers, j'aurois voulu m 'élancer dans l'infini....
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Revue des deux mondes

1856 - 938 Seiten
...sentais avec une sorte de volupté accablé du poids de. cet univers, je me livrais avec ravissement à la confusion de ces grandes idées, j'aimais à me...l'étroit; j'étouffais dans l'univers, j'aurais voulu m' élancer dans l'infini. Je crois que si j'eusse dévoilé tous les mystères de la nature, je me...
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Annales de la Faculté des lettres et sciences humaines d'Aix, Bände 8-9

Faculté des lettres et sciences humaines d'Aix (France) - 1914 - 810 Seiten
...Malesherbes : • Mais de quoi jouissais-je enfin quand j'étais seul ? de moi, de l'univers entier... j'aimais à me perdre en imagination dans l'espace...l'univers, j'aurais voulu m'élancer dans l'infini.» L'infini ! qu'on se rappelle le mot de Lamartine dans sa lettre à Virieu, du 11 octobre 1818 : «...
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