| Gustave Merlet - 1882 - 602 Seiten
...peuvent parce qu'ils croient pouvoir. 2. c Ce n'est pas la perte réelle que l'on fait dans une bataille qui est funeste à un État, mais la perte imaginaire...forces mêmes que la Fortune lui avoit laissées. » {Ch. IV). ambitieux d'honorer par un triomphe leur magistrature annuelle, pour le peuple qui a besoin... | |
| Société d'archéologie et de statistique de la Drôme, Valence - 1883 - 466 Seiten
...préjugés établis et des partis-pris difficiles à modifier, parce que, comme le remarque Montesquieu: « Il ya des choses que tout le monde dit, parcequ'elles ont été dites une fois.» Aux appréciations passionnées sur le caractère du dauphin Humbert II de l'abbé de Vertot, (1) répétées... | |
| 1883 - 928 Seiten
...établis et des partis-pris difficiles à modifier, parce que, comme le remarque Montesquieu : « II ya des choses que tout le monde dit, parcequ'elles ont été dites une fois.» Aux appréciations passionnées sur le caractère du dauphin Humbert II de l'abbé de Vertot, (i) répétées... | |
| 1885 - 848 Seiten
...Ce n'est pas ordinairement la perte réelle que l'on fait dans une bataille (c'est-à-dire celle de quelques milliers d'hommes), qui est funeste à un État, mais la perte imaginaire, le découragement qui le prive des forces mômes que la fortune lui avait laissées (3). » (1) Loe.... | |
| Gustave Merlet - 1894 - 752 Seiten
...toujours profiter de la victoire : « Ce n'est pas la perte réelle que l'on fait dans une bataille qui est funeste à un État, mais la perte imaginaire...qui le privent des forces mêmes que la Fortune lui avait laissées » (ch. IV). La guerre et la politique, voilà donc les deux secrets de sa fortune.... | |
| Gustave Merlet - 1894 - 752 Seiten
...victoire: « Ce n'est pas la perte réelle que l'on fait dans une bataille qui est funeste à un Etat, mais la perte imaginaire et le découragement qui le privent des forces mêmes que la Fortune lui avait laissées » (ch. IV). La guerre et la politique, voilà donc les deux secrets de sa fortune.... | |
| Gustave Merlet - 1900 - 828 Seiten
...toujours profiter de la victoire : « Ce n'est pas la perte réelle que l'on fait dans une bataille qui est funeste à un État, mais la perte imaginaire...qui le privent des forces mêmes que la Fortune lui avait laissées » (ch. IV). La guerre et la politique, voilà donc les doux secrets de sa fortune.... | |
| Edmond Estève, E. Guirand - 1922 - 440 Seiten
...dans une bataille (c'est-à-dire celle de quelques milliers d'hommes), qui est funeste à un Etat, mais la perte imaginaire et le découragement, qui le privent des forces mêmes que la fortune lui avait laissées (1). Il ya des choses que tout le monde dit, parce qu'elles ontété dites une fois.... | |
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