Il est vrai qu'il eut de la force dans le génie, de la véhémence dans ses discours, une éloquence vive et impétueuse qui entraînait les peuples et les ravissait. Une hardiesse extraordinaire, quand il se vit soutenu et applaudi, avec un air d'autorité... Revue d'Alsace - Seite 4111898Vollansicht - Über dieses Buch
| cardinal Louis François de Bausset - 1814 - 380 Seiten
...léthargie. Ce n'étoit pas Luther, » c'étoit Dieu qui foudroyoit par sa bouche. » II est vrai qu'il eut de la force dans le génie, » de la véhémence dans ses discours, une élo» quence vive et impétueuse qui entraînoit les » peuples et les ravissoit. Une hardiesse extraor»... | |
| cardinal Louis François de Bausset - 1819 - 384 Seiten
...léthargie. Ce n'étoit pas Luther, » c'étoit Dieu qui foudroyoit par sa bouche. » Il est vrai qu'il eut de la force dans le génie, » de la véhémence dans ses discours, une élo» quence vive et impétueuse qui entraînoit les » peuples et les ravissoit. Une hardiesse extraor»... | |
| cardinal Louis François de Bausset - 1824 - 324 Seiten
...» Ce n'était pas Luther, c'étoit Dieu qui foudroyoit » par sa bouche. » II est vrai qu'il eut de la force dans le génie, » de la véhémence dans...discours, une éloquence » vive et impétueuse qui entraînoit les peuples et » les ravissoit; une hardiesse extraordinaire, quand U) Histoire des variations,... | |
| Félix Ragon - 1829 - 536 Seiten
...contre les Dominicains. Personne n'était plus propre que Luther à soutenir cette lutte ; « car il eut de la force » dans le génie, de la véhémence dans...discours, une » éloquence vive et impétueuse qui entraînait les peuples et » les ravissait , une hardiesse extraordinaire , quand il se vit » soutenu... | |
| Pablo Pebrer - 1834 - 446 Seiten
...l'ame, et y laisse, comme par enchantement, un aiguillon. » «II est vrai , dit Bossuet, que Luther eut de la force dans le génie , de la véhémence dans ses discours, une éloquence vive el impétueuse, qui entraînait les peuples et lesravissai ; une hardiesse extraordinaire quand il... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1836 - 374 Seiten
...n'était pas Luther « qui parlait, c'était Dieu qui foudroyait par > sa bouche. Il est vrai qu'il eut de la force » dans le génie, de la véhémence dans...discours , une éloquence vive et impétueuse » qui entraînait les peuples et les ravissait ; » une hardiesse extraordinaire, quand il se » vit soutenu... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1837 - 354 Seiten
...n'était » pas Luther qui parlait , c'était Dieu qui fou» droyait par sa bouche. Il est vrai qu'il eut de la » force dans le génie, de la véhémence dans...discours , une éloquence vive et impétueuse » qui entraînait les peuples et les ravissait; une » hardiesse extraordinaire quand il se vit soutenu »... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1837 - 362 Seiten
...n'était » pas Luther qui parlait, c'était Dieu qui fou» droyait par sa bouche. Il est vrai qu'il eut de la » force dans le génie, de la véhémence dans...discours , une éloquence vive et impétueuse • qui entraînait les peuples et les ravissait ; une « hardiesse extraordinaire quand il se vit soutenu... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1840 - 778 Seiten
...n'étoit pas Luther qui parloit , c'étoit Dieu qui foudroyoit par sa bouche *. H est vrai qu'il eut de la force dans le génie, de la véhémence dans...discours , une éloquence vive et impétueuse , qui entraînoit les peuples et les ravissoit; une hardiesse extraordinaire quand il se vit soutenu et applaudi... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1841 - 828 Seiten
...n'était pas Luther qui parlait , c'était Dieu qui foudroyait par sa botiche1. Il est vrai qu'il eut de la force dans le génie, de la véhémence dans...discours , une éloquence vive et impétueuse , qui entraînait les peuples et les ra>issait; une hardiesse extraordinaire quand il se vit soutenu et applaudi... | |
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