Eléments de cosmographie: Ouvrage rédigé conformémerit aux programmes officiels de 1866 pour l'enseignement secondaire spêcial (troisième année)

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L. Hachette et Cie., 1868 - 371 Seiten
 

Inhalt

Grande lunette méridienne de lObservatoire de Paris
67
Mesure de la déclinaison dune étoile
69
La latitude est égale à la hauteur du pôle
70
Mesure de la distance zénithale du pôle
72
Globe terrestre
74
Mappemonde dans le système de projection orthographique
76
Principe du système de projection stéréographique
77
Mappemonde dans le système stéréographique Projection sur lhorizon de Paris
78
Développement de Flamsteed modifié Carte de France de lEtatMajor
79
Orbite apparente du Soleil
83
Forme elliptique de lorbite apparente du Soleil
87
Coordonnées célestes Longitude et latitude
89
Position du grand axe de lorbite solaire Longitude du périgée
90
Orbite apparente du Soleil et orbite réelle de la Terre
92
Détermination de linstant précis de léquinoxe
95
Différence de durée du jour solaire et du jour sidéral
97
Inégalité des jours solaires
99
Stations et rétrogradations des planètes supérieures
101
Précession des équinoxes
103
Déplacement progressif du grand axe de lorbite terrestre
107
La Terre à lun des équinoxes
110
La Terre entre léquinoxe et le solstice
111
Orbites des satellites de Jupiter
113
Orbite annuelle de la Terre autour du Soleil Les saisons
116
Inégalité dépaisseur des couches atmosphériques traversées par les rayons du Soleil suivant sa hauteur
119
Zones des vents alizés et des calmes équatoriaux
124
Comète de Halley vue à lœil nu le 24 octobre 1835
126
Dimensions apparentes du disque du Soleil à ses distances extrêmes et moyenne de la Terre
127
Dimensions comparées du globe du Soleil et de lorbite de la Lune
129
Différence de la durée de rotation apparente du Soleil et de sa rotation réelle
131
Trajectoires des taches solaires à diverses époques de lannée
132
Taches du Soleil le 2 septembre 1830 daprès le capitaine Davis
133
Taches du Soleil daprès J Herschel Noyaux et pénombres
135
Tache solaire daprès Nasmyth Lucules ou feuilles de saule
136
Courbe annuelle daberration
139
Différence de durée de la révolution synodique et de la révolu tion sidérale
153
Rétrogradation des nœuds de la Lune
155
Mouvement de la Lune dans lespace Forme sinueuse de lorbite
156
Mesure de la distance dun point inaccessible
157
Mesure de la distance de la Terre à la Lune
158
Dimensions comparées de la Terre et de la Lune
162
Rotation de la Lune Sa durée est celle de la révolution sidérale
164
Libration de la Lune en latitude
165
Libration diurne de la Lune
166
Forme circulaire des montagnes de la Lune
170
Copernic
173
Paysage lunaire Vue intérieure dun cirque daprès Nasmyth
177
Théorie générale des éclipses
183
Éclipse totale de Soleil
186
Eclipse annulaire de Soleil
187
Eclipse totale du 18 juillet 1860 Marche de lombre et de la pénombre à la surface de la Terre
189
Eclipse de juillet 1860 Gloire et auréole
190
Eclipse de juillet 1851 Protubérances rougeâtres
191
Éclipse annulaire de mai 1836 Dentelures de Baily
192
Mouvement apparent dune planète supérieure Stations et ré trogradations
206
Mouvement dune planète inférieure dans lhypothèse de la Terre immobile
209
Explication des mouvements apparents dune planète inférieure
210
Phases dune planète inférieure
211
Explication des mouvements apparents dune planète supérieure
213
Stations et rétrogradations des planètes inférieures Expérience comparative
214
Caractères qui distinguent les comètes des planètes Formes
260
Les étoiles leur fixité apparente Nombre des étoiles visibles
273
Distances des étoiles à la Terre Parallaxe annuelle des étoiles
283
Mouvement propre des étoiles Translation du système solaire
292
Etoiles doubles et multiples Distinction des étoiles doubles
298
mination des longitudes par les distances du Soleil ou des étoiles
321
Détermination de la vitesse de la lumière par les éclipses
333
rincipaux éléments du système solaire
357
CHAPITRE V
369
FIN DE LA TABLE DES FIGURES
371

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Beliebte Passagen

Seite 20 - Zodiaque, savoir (AL le Bélier, le Taureau, les Gémeaux, le Cancer, le Lion, la Vierge, la Balance, le Scorpion, le Sagittaire, le Capricorne, le Verseau et les Poissons), l'homme a ces choses depuis la tête, c'est-à-dire depuis le Bélier, jusqu'aux pieds, qui répondent aux Poissons (2).
Seite 194 - La rumeur devenait de plus en plus forte, à mesure que le croissant solaire s'amincissait; le croissant disparut; enfin, les ténèbres succédèrent subitement à la clarté, et un silence absolu marqua cette phase de l'éclipse, tout aussi nettement que l'avait fait le pendule de notre horloge astronomique. Le phénomène, dans sa magnificence, venait de triompher de la pétulance de la jeunesse, de la légèreté que certains hommes prennent pour un signe de supériorité, de l'indifférence...
Seite 194 - Près de vingt mille personnes examinaient , des verres enfumés à la main , le globe radieux se projetant sur un ciel d'azur. A peine, armés de nos fortes lunettes, commencions-nous à apercevoir la petite échancrure du bord occidental du Soleil, qu'un cri immense, mélange >de vingt mille cris différents, vint nous avertir que nous avions devancé seulement de quelques secondes, l'ôbsérvation faite à l'œil nu par vingt mille astronomes improvisés dont c'était le coup d'essai.
Seite 194 - ... le besoin de communiquer ses impressions à ceux dont il était entouré : de là un mugissement sourd semblable à celui d'une mer lointaine après la tempête. La rumeur devenait de plus en plus forte à mesure que le croissant solaire s'affaiblissait. Le croissant disparut enfin; les ténèbres succédèrent subitement à la clarté, et un silence absolu marqua cette phase de l'éclipsé, tout aussi nettement que l'avait fait le pendule de notre horloge astronomique.
Seite 193 - ... Perpignan, les personnes gravement malades étaient seules restées dans leurs chambres. La population couvrait dès le grand matin, les terrasses, les remparts de la ville, tous les monticules extérieurs d'où l'on pouvait espérer de voir le lever du Soleil. A la citadelle, nous avions sous les yeux, outre des groupes nombreux de citoyens établis sur les glacis, les soldats qui, dans une vaste cour, allaient être passés en revue. L'heure du commencement de l'éclipse approchait. Près de...
Seite 174 - Dœrfel et Leibnitz, 3800 toises; la montagne circulaire de Newton, dont l'excavation est telle que jamais le fond n'en est éclairé ni par la Terre ni par le Soleil, 3727 toises; Casatus à l'Est de Newton 3569 toises; Calippus, dans la chaîne du Caucase, 3190 toises; les Apennins, de 2800 à 3000 toises. Il faut remarquer ici que dans l'absence d'une surface générale de niveau , comme celle que nous fournit la mer, également distante dans toutes ses parties...
Seite 139 - ... mille et mille fois l'image du Soleil, au milieu du choc gracieux des vagues et sur les tiges légères de la prairie, courbées par le souffle du vent. La lumière du ciel, suivant les différents degrés de sa durée et de son éclat, est aussi en relation mystérieuse avec l'homme intérieur, avec l'excitation plus ou moins vive de ses facultés, avec la disposition gaie ou mélancolique de son humeur. C'est ce que Pline l'Ancien a exprimé par ces paroles : « Cœli tristitiam discutit sol,...
Seite 194 - Le croissant disparut, enfin; les ténèbres succédèrent subitement à la clarté, et un silence absolu marqua cette phase de l'éclipse, tout aussi nettement que l'avait fait le pendule de notre horloge astronomique. Le phénomène, dans sa magnificence, venait de triompher de la pétulance de la jeunesse, de la légèreté que certains hommes prennent pour un signe de supériorité, de l'indifférence bruyante dont les soldats font ordinairement profession. Un calme profond régna aussi dans...
Seite 194 - Soleil , réduit à un étroit filet, commença à ne plus jeter sur notre horizon qu'une lumière très -affaiblie, une sorte d'inquiétude s'empara de tout le monde ; chacun éprouvait le besoin de communiquer ses impressions à ceux dont il était entouré. De là, un mugissement sourd, semblable à celui d'une mer lointaine après la tempête. La rumeur devenait de plus en plus forte à mesure...
Seite 315 - Lactée, des espaces obscurs où il est impossible de découvrir une seule étoile, fût-elle de dix-huitième ou de vingtième grandeur. A l'aspect de ces régions absolument vides, on ne saurait se défendre de l'idée que le rayon visuel a pénétré réellement dans l'espace, en traversant l'épaisseur entière de la couche stellaire qui nous environne ' .

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