La Henriade, en dix chants, Band 4

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C.F.J. Lehoucq, 1779 - 206 Seiten
 

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Seite 32 - contemplait cette fête ; Ses cruels Favoris d'un regard curieux , Voyaient les flots de fang regorger fous leurs yeux, Et de Paris en feu les ruines fatales Etaient de ces héros les pompes triomphales. Que dis-je, ô crime! ô honte! ô comble de nos • maux
Seite 199 - la couvrent» Cèdent à la clarté des feux qui les entr'ouvrent $ Bientôt elle fe montre à fes yeux fatisfaits , Brillante d'un éclat qui n'éblouit jamais. Henri, dont le grand cœur était formé pour elle , Voit, connaît, aime enfin fa lumière immortelle. Il avoue avec foi, que la Religion
Seite 30 - Monte, accourt, indigné qu'on diffère fon crime $ Des affaflins trop lents il veut hâter les coups; Aux pieds de ce héros , il les voit trembler tous» A cet objet touchant lui feul eft
Seite 197 - ces cris odieux , • la vertu de Henri pénétra dans les Cieux. Louis qui du plus haut de la voûte divine "Veille fur les Bourbons, dont il eft l'origine, Connut qu'enfin les temps allaient être accomplis , , Et que le Roi des Rois adopterait fon fils.
Seite 68 - en tout temps l'accompagne. Avec eux fans relâche il fond dans la campagne : Tantôt dans le filence, & tantôt à grand bruit, A la clarté des Cieux, dans l'ombre de la nuit, Chez l'ennemi furpris portant par-tout la guerre
Seite 11 - fes yeux le livre des deftins. Ce vieillard au Héros que Dieu lui fit connaître» Au bord d'une onde pure offre, un feftin champêtre, Le Prince à ces repas était accoutumé : Souvent fous l'humble toit du laboureur charmé
Seite 112 - mur , Combattant de plus près, porte un trépas plus fur. Alors on n'entend plus ces foudres de la guerre , Dont les bouches de bronze épouvantaient la. terre
Seite 187 - donne un affreux plaifir; On fe plaît à les voir s'obferver & fe craindre, Avancer, s'arrêter, fe mefurer , s'atteindre ; Le fer étincelant avec art détourné, Par de feints mouvemens trompe l'œil étonné* Telle on voit du Soleil la lumière éclatante , Brifer
Seite 169 - ferein» A l'autel de l'Amour les conduit par la main. Près du Temple facré les grâces demi-nues , Accordent à leurs voix leurs danfes ingénues, La molle volupté , fur un lit de gazons , Satisfaite & tranquille, écoute leurs
Seite 153 - effort, Ces guerriers malheureux cherchent une autre mort» Déjà brille en leurs mains le fatal cimeterre. La Difcorde accourut, le Démon de la guerre, La mort pâle &

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