Les ducs de Guise et leur époque: étude historique sur le seizième siécle, Teil 2Plon, 1877 - 448 Seiten |
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
armée arrive assez aurait avaient avoit bataille belle bonne C'était cardinal Catherine catholiques cents charge Charles château chef cherchait cheval Coligny commençait Condé corps coup cour d'Espagne demanda dernier devant donner duc de Guise enfants ennemis Espagnols faisait femme fille fils force François François de Valois frère gardes général gens guerre Henri de Guise Henri de Navarre Henri de Valois Henri III heures hommes huguenots jeune jours l'armée l'autre L'ESTOILE l'un laissa lettre lever Ligue livres Lorraine Louis Louvre lutte madame main maison maréchal Marguerite mariage Marie Mémoires ment mère milieu mille mois montrer mort n'avait n'était nouveau nouvelle ordres paix Parlement passer pendant pensée père peuple Philippe place porte poussa pouvait pouvoir premier prince pris publié quatre réformés reine rendre reste s'était s'il sauver secret semblait sentit serait servir seul soldats sorte suivant tard TAVANNES tenir tête troupes trouver tuer venait ville voulut voyait
Beliebte Passagen
Seite 411 - ... sénateurs, qu'on chasse et bannisse tes bons citoyens et conseillers ; qu'on pende, qu'on massacre tes principaux magistrats : tu le vois, et tu l'endures : tu ne l'endures pas seulement, mais tu l'approuves et le loues, et n'oserois et ne sçaurois faire autrement.
Seite 2 - François, voire des plus braves, entre lesquels il y en avoit qui étoient ses propres compagnons, parents et amis, et que, dans une heure, il faudroit se tuer les uns les autres ; ce qui donnoit quelque horreur du fait, néanmoins sans diminuer le courage.
Seite 335 - Ceux qui suivent tout droit leur conscience sont de ma religion, et moi je suis de celle de tous ceux-là qui sont braves et bons...
Seite 339 - SaintGermain qui vouloient couper la gorge aux catholiques, pour faire avoir la couronne au roy de Navarre; et qu'il y en avoit plusieurs , tant aux fauxbourgs que dans la ville, atitrez, qui tenoient son parti, moitié huguenots , moitié politiques.
Seite 408 - Et que Monsieur le Lieutenant ne pense pas nous empescher ou retarder par ses menaces. Nous luy disons haut et clair, et à vous tous, Messieurs ses cousins et alliez, que nous sommes François, et allons avec les François exposer nostre vie et ce qui nous reste de bien pour assister nostre Roy, nostre bon Roy, nostre vray Roy, qui vous rangera aussy bientost à la mesme reconnoissance par force, ou par un bon conseil que Dieu vous inspirera, si en estes dignes!
Seite 129 - Le Roy chasseur va à Montpipeau ; la Royne y court; enfermée en un cabinet avec luy, elle fond en larmes, dit :
Seite 411 - Ne veux-tu jamais te guérir de cette frénésie, qui, pour un légitime et gracieux roi, t'a engendré cinquante roitelets et cinquante tyrans ? Te voilà aux fers ; te voilà en l'Inquisition d'Espagne, plus intolérable mille fois et plus dure à supporter aux esprits nés libres et francs, comme sont les Français, que les plus cruelles morts dont les Espagnols se sauraient aviser.
Seite 335 - Pour la religion, ajouta-t-il, dont tous les deux font parade, c'est un beau prétexte pour se faire suivre par ceux de leur parti, mais...
Seite 380 - France qui lui conseillent de le faire arrêter : « Mettre le Guisard en prison seroit tirer un sanglier aux filets qui se trouveroit possible plus puissant que nos cordes ; là où quand il sera tué, il ne nous fera plus de peine, car homme tué ne fait plus guerre ' . » Un moment, on crut que les deux ennemis se livraient bataille dans l'enceinte du château; ce n'étaient que les pages. Le 29 novembre, ils avaient pris le parti de leurs maîtres pendant la séance des états et en étaient...
Seite 320 - Moi, je leur veux passer à travers ou dessus le ventre. J'ai élu mes bons, et mon Faucheur en est. Grand damné, je te veux bien garder le secret de ton cotillon d'Auch à ma cousine, mais que mon Faucheur ne me faille en si bonne partie, et ne s'aille amuser à la paille quand je l'attends sur le pré.