Collection complete des memoires relatifs a l'histoire de France, depuis le regne de Philippe Auguste jusqu'au commencement du dix-septieme siecleFoucault., 1820 |
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accous advis affaires agreable allastes apres asseurer ausquels aussi-tost avez aviez avoient avoit avoit esté ayans ayse Biron Buhy cardinal de Bourbon catholique cause celuy cens cens chevaux choses cognoissance comte de Soissons conseil consequent costé d'estre d'icelles dautant declarer dequoy desirer desja dessein discours dittes empescher ennemis escouter esprit esquelles estant esté estiez estoient estoit estonné estre eust faisoit fistes fust general Guyse Henri IV huguenot huict icelles j'ay l'Estat lettres loger luy avoit luy mesme madame maistre Majesté Mante Mayne Memoires merite mesme messieurs n'avoit n'eust neantmoins necessaire nuict obeyssance parmy particularitez party passer personne peut-estre pluspart plutost pource pouvoit premiere pres present prince de Parme quoy raisons recognoistre religion resolu respondit riviere Rosny Roüen roy d'Espagne royaume s'estoit Sainct sçavoir seroient seroit serviteurs seulement siege sieur suitte tesmoigner tion tost tousjours traitté trouppes Villars vostre vouloir vray
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Seite 45 - Sire, ces messieurs qui vous ayment plus «que leur vie, m'ont prié de vous dire, qu'ils « ont appris des meilleurs ci pleines, et de vous « plus souvent que de nul autre, qu'il n'ya point « d'entreprise plus imprudente et moins utile à « un homme de guerre , que d'attaquer estant « foible à la teste d'une armée.
Seite 126 - ... avoient à mesmes gouvernemens et à mesme maistresse ; chacun d'eux pretendant de parvenir au mariage de Madame sœur du Roy, le premier comme se tenant plus favorisé d'elle, et l'autre pour estre plus agreable au Roy, et sur tels sujets avoient ils esté plusieurs fois prests d'en venir aux mains; mais la partie se fust trouvé mal faite alors, d'autant que l'un, à cause de ses grands biens, de son gouvernement et qu'il estoit plus aymé du Roy, se trouvoit, au temps de ce sacre, accompagné...
Seite 366 - Partant, jugez si je mérite d'être ainsi traité, et si je dois plus longtemps souffrir que les financiers et trésoriers me fassent mourir de faim, et qu'eux tiennent des tables friandes et bien servies, que ma maison soit pleine de nécessités...
Seite 186 - ... tant du Roy et de M. de Mont-pensier, que de M. de Villars et de vous ; nous avons estimé à propos de vous les ramentevoir icy avec double annotation qui puisse servir pour les faire mettre cy-apres en ordre, si tant est que nous repassions un jour ces Memoires pour les faire transcrire au net, ou que vous daigniez jetter les yeux sur iceux, pour y apporter les corrections et additions qui leur seroient bien necessaires de vostre part , ou que des plumes plus élegantes que les nostres se voulussent...
Seite 363 - Or, me trouvé-je maintenant dans l'ennuy d'une des plus cuisantes contradictions de ceux qui manient mes affaires que j'aye jamais ressentie sur une telle occasion; c'est qu'ayant voulu faire...
Seite 366 - ... qui est tel, que je suis fort proche des ennemis , et n'ay quasi pas un cheval sur lequel je puisse combattre , ny un harnois complect que je puisse endosser , mes chemises sont toutes...
Seite 265 - Estât , en quoy vostre seul exemple et volonté absolue pourra tout. La troisiesme , à faire une perquisition bien exacte de toutes les facultez et revenus du royaume , de quelque nature et qualité qu'ils puissent estre, avec un esclaircissement...
Seite 331 - Bouillon, duquel croyant d'estre secondez, voire mesme craignant d'estre devancez, une pointe de jalousie à qui mieux feroit, nous fit prendre la charge au grand trot et nous aller mesler avec l'escadron de la main gauche, le pistolet au poing dans leur forest de lances, avec telle impetuosité, que si nous n'eussions eu affaire qu'à six cens chevaux, j'estime que nous les eussions rompus ; mais M. de Bouillon n'ayant fait qu'une fausse charge (comme il dit depuis n'avoir dit autre chose à M....
Seite 194 - ... vine sans aucune ayde humaine, je commenceray à « vous entretenir des choses qui m'ont fait desirer « avec passion votre arrivée pres de moy: lesquelles , « quoy que du tout dépendantes du seul conseil de « Dieu aussi bien que toutes autres, si ne laisse-il « pas de vouloir que les hommes agissent en icelles, « soient comme cooperateurs avec luy, et se servent « de l'esprit et du jugement qu'il leur a donné , tant « pour la conduite de leur vie et de leur fortune, que « pour le demeslement...
Seite 349 - ... ses affaires, et le besoin qu'il avoit de tous ses serviteurs , autant mauvais que bons ) de faire paroistre à aucun d'iceux qu'il eust la moindre cognoissance et ressentiment de leurs malices et pernicieux desseins , et sur tout à celuy dont il estoit question, estant un homme fin , ruzé , dissimulé et qui entendoit à demy-mot, mais qu'il l'avoit ainsi secrettement et si longuement entretenu , tant pour essayer de descouvrir de loing et sans qu'il s'endéfiast, si M.