L'Ambigu: ou Variétés littéraires, et politiques, Band 39Jean-Gabriel Peltier Vogel et Schulze, 1812 |
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... attaque , et il s'est rendu prisonnier de guerre , non - seulement avec toute son armée , mais encore en y comprenant quatre régi- ments de milice des deux provices américaines voi- sines de l'Ohio et du Michigan , lesquels étaient en ...
... attaque , et il s'est rendu prisonnier de guerre , non - seulement avec toute son armée , mais encore en y comprenant quatre régi- ments de milice des deux provices américaines voi- sines de l'Ohio et du Michigan , lesquels étaient en ...
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... attaque projetée sur ce fort . Le 16 , à 10 heures du matin , j'embarquai mon peu de monde avec environ 180..canadiens et deux pieces de fer du calibre de 6. Les bateaux arriverent sans " le moindre accident au rendez - vous à 3 heures ...
... attaque projetée sur ce fort . Le 16 , à 10 heures du matin , j'embarquai mon peu de monde avec environ 180..canadiens et deux pieces de fer du calibre de 6. Les bateaux arriverent sans " le moindre accident au rendez - vous à 3 heures ...
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... attaque imprévue , les trou- pes de Sa Majesté se voyaient forcées de céder à des forces su- périeures , cette province serait abandonnée sans retour ; les lieus qui nous unissent aux premiers colons , la valeur réelle de son commerce ...
... attaque imprévue , les trou- pes de Sa Majesté se voyaient forcées de céder à des forces su- périeures , cette province serait abandonnée sans retour ; les lieus qui nous unissent aux premiers colons , la valeur réelle de son commerce ...
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... attaque faite contre la liberté des opinions et de la presse , à Baltimore . Benjamin Woid , Ecuyer , fut choisi Président . L'assemblée adopta unanimement le préambule et les résolu- tions suivantes : Préambule . Les habitants de la ...
... attaque faite contre la liberté des opinions et de la presse , à Baltimore . Benjamin Woid , Ecuyer , fut choisi Président . L'assemblée adopta unanimement le préambule et les résolu- tions suivantes : Préambule . Les habitants de la ...
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... attaqué d'une maladie grave , se bornera à présenter dans ce Numéro les rapports officiels de l'un et de l'autre côté ; et hors d'état d'y joindre ses propres réflexions , il fera au moins connaître les remarques pleines de sensibilité ...
... attaqué d'une maladie grave , se bornera à présenter dans ce Numéro les rapports officiels de l'un et de l'autre côté ; et hors d'état d'y joindre ses propres réflexions , il fera au moins connaître les remarques pleines de sensibilité ...
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affaires Américains armée arrivé attaqué avaient avons ayant Ballasteros bataille bataille de Borodino bataille de Salamanque blessés brave britannique bulletin Buonaparté Burgos capitaine cavalerie Chambre château de Burgos chevaux Ciudad Rodrigo colonel commandant comte Wittgenstein considérable corps Cosaques d'artillerie d'infanterie dépêches derniere détachement division ennemis Espagnols Etats-Unis force française frontiere Gazette général George Prevost gouvernement guerre hommes ISAAC BROCK j'ai jour Kalouga Kremlin Kutusoff Kutusow l'armée l'avant-garde l'Empereur l'ennemi l'Espagne lieutenant long-temps Lord Liverpool Lord Wellington Majesté Impériale major-général maniere marche maréchal ment milice militaire mille ministres Minsk Mojaisk Moscou mouvement nation noble Lord Novembre Octobre officiers ordres particulierement passer pays Péninsule perte Pétersbourg peuple pieces de canon Platow porter position poste premiere pris prisonniers quartier-général rapport reçu régiment reste retraite riviere route Rowland Hill Russie s'est Salamanque sentiment Septembre sera seul Smolensk soldats succès systême tion troupes trouve tués verstes victoire village Winzingerode Wittgenstein XXXIX
Beliebte Passagen
Seite 247 - Parlerai-je d'Iris? Chacun la prône et l'aime; C'est un cœur, mais un cœur... c'est l'humanité même! Si d'un pied étourdi quelque jeune éventé Frappe, en courant, son chien qui jappe épouvanté...
Seite 718 - L'ennemi, qui voyait sur les chemins les traces de cette affreuse calamité qui frappait l'armée française , chercha à en profiter. Il enveloppait toutes les colonnes par ses Cosaques , qui enlevaient, comme les Arabes dans les déserts, les trains et les voitures qui s'écartaient. Cette méprisable cavalerie, qui ne fait que du bruit et n'est pas capable d'enfoncer une compagnie de voltigeurs, se rendit redoutable à la faveur des circonstances.
Seite 46 - Quatrevingts pièces de canon françaises arrêtent d'abord et écrasent ensuite les colonnes ennemies , qui se tiennent pendant deux heures serrées sous la mitraille , n'osant pas avancer , ne voulant pas reculer, et renonçant à l'espoir de la victoire. Le roi de Naples décide leur incertitude ; il fait charger le...
Seite 717 - Le froid a commencé le 7 ; dès ce moment, chaque nuit nous avons perdu plusieurs centaines.de chevaux, qui mouraient au bivouac. Arrivés à Smolensk, nous avions déjà perdu bien des chevaux de cavalerie et d'artillerie» L'armée russe de Wolhynie était opposée à notre droite.
Seite 485 - Sa Majesté l'empereur des Français, Sa Majesté l'empereur d'Autriche, Sa Majesté la reine du royaume-uni de la Grande-Bretagne et d'Irlande, Sa Majesté le roi de Prusse, Sa Majesté l'empereur de toutes les Russies et Sa Majesté le roi de Sardaigne déclarent la Sublime Porte admise à participer aux avantages du droit public et du concert européens.
Seite 718 - Leduc d'Elchingen qui, avec trois mille hommes, faisait l'arrière-garde, avait fait sauter les remparts de Smolensk. Il fut cerné et se trouva dans une position critique : il s'en tira avec cette intrépidité qui le distingue. Après avoir tenu l'ennemi éloigné de lui pendant toute la journée du 18. et l'avoir constamment repoussé, à la nuit il fit un mouvement par le flanc droit, passa le...
Seite 45 - Voilà la bataille que vous 'avez tant désirée ! Désormais la « victoire dépend de vous : elle nous est nécessaire ; elle nous « donnera l'abondance, de bons quartiers d'hiver et un prompt
Seite 315 - J'ai embelli pendant huit ans cette campagne, et j'y ai vécu heureux au sein de ma famille ; les habitants de cette terre, au nombre de dix-sept cent vingt, la quittent à votre approche, et moi je mets le feu à ma maison pour qu'elle ne soit pas souillée par votre présence. Français, je vous ai abandonné mes deux maisons de Moscou, avec un mobilier d'un demi-million de roubles. Ici vous ne trouverez que des cendres.
Seite 467 - L'ennemi engagea les deux tiers de son armée pour soutenir la position : ce fut en vain ; la ville fut enlevée ainsi que les hauteurs. La retraite de l'ennemi fut si précipitée qu'il fut obligé de jeter vingt pièces de canon dans la- rivière.