Histoire des républiques italiennes du moyen âge, Band 11Treuttel et Würtz, 1826 |
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Allegretto Allegretti Andr armée armes auroit avoient avoit Caffa cardinal cent CHAP château citoyens comte conjurés Corio devoient devoit Diari Sanesi Diario Romano Diarium Parmense doge duc d'Urbin duc de Calabre duc de Ferrare duc de Milan Eccles ennemis étoient étoit faisoit Ferdinand Ferdinand de Naples fils Florence Florentins Folieta forteresses frère Galeaz Sforza Gênes Génois gouvernement guerre habitans Hist Ibletto Innocent VIII Jacobi Volaterrani Jean Jérôme Riario l'armée l'Église l'Italie Laurent de Médicis liberté long-temps Louis-le-Maure LXXXIX LXXXVIII Macchiavelli Mahomet maison maison d'Este Marin Sanuto mée Milanois mort n'avoient n'avoit Naples Navagiero négociations Orlando Malavolti Otrante paix pape Paul Fregoso Pazzi peuple Pitigliano pontife pouvoient pouvoit prince rebus Genuens république république de Venise Ripalta Robert de San-Severino Rome Roscoë s'étoient s'étoit Sarzane Scipione Ammirato Scutari Seigneurie seroit seul siége Simoneta Sixte Sixte IV soldats Stefano Infessura tion Turcs Uberti Venise Vénitiens venoit vouloit XXIII XXIV
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Seite 314 - Asolani représentait apparemment les manières de cette cour, et l'on doit croire que Catherine oublia, au milieu de propos d'amour et de galanterie, dans des entretiens alors à la mode sur la métaphysique du sentiment , les peines, les soucis et les humiliations de sa servitude royale l.
Seite 45 - CH. demeure au patriote, qui , avec ses foibles moyens personnels, veut entrer en lutte avec l'homme qui dispose de la police , de l'armée et du trésor. Plusieurs, cédant à une noble répugnance, s'écartent de ces entreprises, parce qu'ils y voient quelque apparence de dissimulation et de trahison; tandis que d'autres prétendent que l'extrême danger. ennoblit les moyens les moins relevés , et que l'assassin d'un tyran doit avoir plus de bravoure que le grenadier qui enlève une batterie à...
Seite 329 - Iblieuses, et autres; et furent tellement géhé« nés, et si terriblement tormentés , que les uns confessèrent « le cas leur être ainsi advenu , comme dit est, et outre plus « confessèrent avoir vu et cognu en leur assemblée, plusieurs « gens notables , prélats , seigneurs et autres , gouverneurs de « bailliages et de villes : voire tels, selon commune renommée, « que les examinateurs et les juges leur nommoient, et met...
Seite 361 - Ils l'ont présenté au milieu de ses amis, des illustres littérateurs dont il était chéri 2; ils ont fait ressortir ainsi les charmes de son caractère, sa facilité, son enjouement, sa constance et sa magnanimité. Mais pour s'attacher si vivement à lui, il faut quelquefois admettre avec complaisance les fraudes pieuses de ses amis et de ses adulateurs ; il faut surtout détourner ses regards de l'antique Florence, et oublier si l'on peut ce 1 Macchlavelli., Istor.
Seite 356 - Trois jeunes garçons, âgés de dix ans, furent successivement , moyennant une récompense donnée à leurs parents, soumis à l'appareil qui devait faire passer le sang de leurs veines dans celles du vieillard et le remplacer par le sien. Tous trois moururent dès le commencement de l'opération, probablement par l'introduction de quelque bulle d'air dans leurs veines , et le médecin juif prit la fuite...
Seite 337 - ... les gabelles et toutes les finances de la république. Telle étoit la corruption dans laquelle cette noble cité étoit tombée, que cette commission ne rougit pas de. faire faire banqueroute à la patrie, pour sauver les Médicis de la banqueroute. La dette publique, dont l'intérêt étoit fixé à trois pour cent, fut réduite à ne rendre qu'un et demi ; et la défiance ajoutant encore à cette réduction , les luoghi di monte, ou actions de cent écus, qui se vendoient vingt -sept écus...
Seite 62 - Visconti; enfin, nous assistâmes au service de la messe, célébrée par l'archiprêtre de cette basilique; puis, je me fis donner les clefs de la maison de cet archiprêtre pour nous y retirer.
Seite 64 - Je sais, reprit Olgiati, que j'ai mérité, par beaucoup de fautes, ces tourments, et de plus grands encore, si mon faible corps pouvait les supporter. Mais quant à la belle action pour laquelle je meurs, c'est elle qui soulage ma conscience : loin de croire que j'ai par elle mérité ma peine, c'est en elle que je me confie pour espérer que le juge suprême me pardonnera mes autres péchés.
Seite 252 - Nul homme n'a esté plus cruel que luy , ne plus mauvais , ne plus vicieux et plus infect, ne plus gourmand que lui. Le père estoit plus dangereux, car nul ne se congnoissoit en...
Seite 104 - ... fait rejeté la crainte de Dieu, et se trouvant « enflammés de fureur, vexés par une suggestion diabolique, « et emportés comme des chiens à une rage insensée, ont sévi « avec le plus d'ignominie qu'ils ont pu sur des personnes ec