| Pliny (the Younger) - 1760 - 406 Seiten
...qu'il nous apperçoit, ma mere & moi , affis , moi un livre à la main , il nous reproche , à elle fa tranquillité, à moi ma confiance. Je n'en levai pas les yeux de deflus mon livre. Il étoit déjafept heures du matin, & il ne paroiiïbit encore qu'une lumiere foible... | |
| Domenico Romanelli - 1829 - 376 Seiten
...arrivé d'Espagne pour le voir. Dés qu'il » nous aperçoit, ma mère et moi assis , moi un a livre dans la main , il nous reproche , à elle » sa tranquillité,...levai pas les yeux de dessus mon livre. Il » était déja sept heures du matin , et il ne pa» raissait encore qu'une lumière faible, comme » une espèce... | |
| Catherine Joseph Ferdinand Girard de Propiac - 1832 - 420 Seiten
...il nous reprocha , à elle sa » tranquillité , et à moi ma confiance ; je n'en » levai cependant pas les yeux de dessus mon » livre. Il était déjà...faible , » comme une espèce de crépuscule. Alors les » bàtimens furent ébranlés avec de si fortes se» cousses , qu'il n'y eut plus de sûreté à demeu»... | |
| 1835 - 524 Seiten
...faire dans le plus grand calme. Un ami de mon oncle survient; il était nouvellement arrivé d'Espagne pour le voir. Dès qu'il nous aperçoit, ma mère...tranquillité, à moi ma confiance. Je n'en levai рае les yeux de dessus mon livre. 11 était déjà sept heures du matin, et il ne paraissait encore... | |
| Jean Reboul - 1839 - 356 Seiten
...faire dans le pins grand calme. Un ami de mon oncle survient ; il était nouvellement arrivé d'Espagne pour le voir. Dès qu'il nous aperçoit, ma mère...heures du matin , et il ne paraissait encore qu'une faible lumière comme une espèce de crépuscule. Alors les bàtimens furent ébranlés avec de si... | |
| Jean Reboul - 1842 - 436 Seiten
...faire dans le plus grand calme. Un ami de mon oncle survient; il était nouvelleirent arrivé d'Espagne pour le voir. Dès qu'il nous aperçoit, ma mère...livre. Il était déjà sept heures du matin, et il ue paraissait encore qu'une faible lumière comme une espèce de crépuscule. Alors les bâtiments... | |
| Stanislao d'. Aloe - 1851 - 208 Seiten
...détails pour les insérer dans ses Annales. Voici comment il nous décrit sa fuite avec sa mère. « II était déjà sept heures du matin et il * ne paraissait...faible, » comme une. espèce de crépuscule. Alors les » bâtimcns furent ébranlés avec de si fortes » secousses, qu'il n'y eut plus de sûreté à de»... | |
| Estanislas d' Aloe - 1853 - 648 Seiten
...détails pour les insérer dans ses Annales. Voici comment il nous décrit sa fuite avec sa mère. « II était déjà sept heures du matin et il ne » paraissait...faible, comme » une espèce de crépuscule. Alors les bâtimens i'u» rent ébranlés avec de si fortes secousses , qu'il s n'y eut plus de sûreté à demeurer... | |
| Stanislao D'Aloe - 1853 - 658 Seiten
...détails pour les insérer dans ses Annales. Voici comment il nous décrit sa fuite avec sa mère. « II était déjà sept heures du matin et il ne » paraissait encore qu'une lumière faible, comme s une' espèce de crépuscule. Alors les bâtimens fus rent ébranlés avec de si fortes secousses... | |
| Stanislas d' Aloe - 1856 - 630 Seiten
...détails pour les insérer dans ses Annales. Voici comment il nous décrit sa fuite avec sa mère : « II était déjà sept heures du matin et il ne » paraissait...faible, comme » une espèce de crépuscule. Alors les bâtimens fu» rent ébranlés avec de si fortes secousses, qu-il » n'y eut plus de sûreté à demeurer... | |
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