...pour occuper quelque place, Se on ne voit là que les tombeaux qui fartent quelque figure. Notre air change bientôt de nature : notre corps prend un autre nom : même celui de cadavie, dit Tertullien (i), parce qu'il nous montre encore quelque forme humaine, ne lui demeure pas...

...avec ces rois et ces princes » annéantis , parmi lesquels à peine peut-on » la placer , tant les rangs y sont pressés ! » tant la mort est prompte à remplir ces »> places ! „ Puis tout-à-coup il craint d'en avoir trop dit. Il remarque que la mort ne nous laisse pas même...

...sont pressés, » tant la mort est prompte à remplir » ces places. Mais ici notre imagina» tion nous abuse encore. La mort ne » nous laisse pas assez de corps pour » occuper quelque place , et on n« « voit là que des tombeaux qui fassent » quelque figure. Notre chair change » bientôt de nature...

...avec ces rois et ces prince* »> anéantis , parmi lesquels à peine peut» on la placer, tant les rangs y sont « pressés, tant la mort est prompte à » remplir ces places. Maisici notre imaM gination nous abuse encore ; la mort «• ne nous laisse pas assez de corps EN...

....lob , avec ces rois et ces princes anéantis, parmi lesquels à peine peut-on la placer , tant les rangs y sont pressés , tant la mort est prompte à remplir ces places. Maii ici notre imagination nona abuse encore ; la mort ne nons laisse pas assez de corps ponr occuper...

...sublime. C'est du prêtre de Carthage que Bossuet a emprunté ce passage si terribje , et si admiré : « Notre chair change bientôt de » nature, notre corps prend un autre nom, •n mcme celui de cadavre , dit Tertullien , » parce qu'il nous montre encore quelque » forme humaine...

...» avec ces rois et ces princes anéantis, parmi » lesquels à peine peut-on la placer, tant les » rangs y sont pressés, tant la mort est prompte » à remplir ces places. Mais ici notre imagi» nation nous abuse encore : la mort ne nous » laisse pas assez de corps pour occuper quel»...

...parle. Job, avec ces rois et ces princes anéantis, parmi lesquels à peine peut-on la placer, tant les rangs y sont pressés, tant la mort est prompte à...; la mort ne- nous laisse pas assez de corps pour «couper- quelque place , et on ne voit la que les tombeaux qui fassent quelque figure : notre chair...

...sine no mine corpus. Ce corps sans nom rappelle une idée sublime de Bossuet : « La mort, dit-il, ne nous laisse pas assez de corps pour occuper quelque...que les tombeaux qui fassent quelque figure. Notre tiliaii- change bientôt de nature, notre corps prend un autre nom; même celui de cadavre — ne lui...

...anéantis, parmi lesquels à peine prut-oD la placer, tant les rangs y sont pressés, tant la mort esi prompte à remplir ces places. Mais ici notre imagination...de corps pour occuper quelque place, et on ne voit li que les tombeaux qui lassent quelque figure. Notre chair change bien-lot de nature: notre corps...