Les conversations d'Emilie, Band 1Belin, 1788 - 532 Seiten |
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afaires affez affure aife Ainfi Allons amufer arivé auffi avez beau beface befoin bonheur bonne c'eſt caufe chere maman chifon chofe choſe claffe confeils conféquent conferve confolation confulter connaiffance conte converfation crois croyais d'afaires deffus déja dire éfort eft vrai Eft-ce eft-il élémens EMILIE enfans enſemble eſt êtes fage faifait fais fans fanté favez favoir fcience fecours fecret femble fens fent ferait fervir feule fexe fille fociété foin foir foit fommes font fourd fouvent fuis fuivant heureuſe hiftoire j'ai j'en jamais jeune perfone jour jufqu'à jufte l'efprit laiffer long-temps lorfque m'avez m'en fouviens Mademoiſelle maître ment Mercourt monde Monfieur mouche n'avez n'eft n'eft-ce n'en n'eſt néceffaire paffer Pardonez-moi pareffe parler penfer perfone petite peut-être plaifir préfent prefque premiere puifque raifon rapele réfervé refte Régiffeur rien riviere s'eft Sainville ſcience sûre tion vais vîte voilà vois voulez yous
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Seite 365 - Le fabricateur souverain Nous créa besaciers tous de même manière, . Tant ceux du temps passé que du temps d'aujourd'hui. Il fit pour nos défauts la poche de derrière, Et celle de devant pour les défauts d'autrui. VIII L'HIRONDELLE ET LES PETITS OISEAUX UNE hirondelle en ses voyages Avait beaucoup appris. Quiconque a beaucoup vu Peut avoir beaucoup retenu'.
Seite 215 - ... ni ennuyé. EMILIE. Je vous jure , maman , que vous parlez comme l'évangile. LA MERE. Parce que vous avez été quelquefois heureufe, en jouant après avoir bien rempli vos devoirs, vous dites, Il n'ya qu'à toujours jouer, Cela çft-U fenfc?
Seite 209 - Aujourd'hui je jouerai toute la journée , & je ferai bien heureufe; & point du tout , toutes les fois que je dis cela , tout va de travers. LA MERE. Ce...
Seite 431 - Je meurs de peur que la petite perfone n'ait commis la même faute avec moi ; & cependant elle me doit bien autant d'égards que votre petite amie vous en doit. Ne le penfez-vous pas ? EMILIE. Mais vous ne caufiez pas tout bas , ma chere Maman , vous écriviez.
Seite 505 - L'amour faisait toute ma faconde. » En veine de franchise, toutefois, dans un passage des Conversations, elle a écrit (1) : Du temps de mon enfance, ce n'était pas l'usage de rien apprendre aux filles. On leur enseignait les devoirs de religion tant bien que mal, pour les mettre en état de faire leur première communion.
Seite 389 - EMILIE. C'est-à-dire qu'il n'est devenu riche qu'à la fin de mon conte. LA MERE. Vous le commencez donc par la fin ? Il fallait m'en prévenir, car ce n'est pas l'ordinaire. EMILIE. Oh maman , cela n'y fait rien. LA MERE. Pour vous , qui savez votre histoire , mais pour moi ! EMILIE.
Seite 385 - C'était au bord de la mer... Non, non, ils devaient y aller... Mais non, ils sont restés dans les Alpes, proche de la Savoie, si je ne me trompe. LA MÈRE. Dieu merci, me voilà orientée ! A présent je les vois d'ici ces bonnes gens.
Seite 336 - La feconde, que quand .on ne peut s'en pafler , il vaut mieux refter chez foi. La troifieme , que quand on a trouvé un bon guide , il ne faut jamais s'en féparer.
Seite 220 - Oh ! que mes devoirs font bientôt faits! que je fuis heureufe ! heureufe ! Tenez , ma petite maman , je fens là quelque -chofe dans mon cœur qui me rend fi aife! oh! comme je fuis gaie & contente ! LA MERE.
Seite 438 - EMILIE. Oh , je ne parle pas pour moi. Je vous promets , maman , que pour rien au monde on ne me fera plus toucher à un papier qui n'eft pas à. moi. LA MERE. Je l'efpere, parce que je me flate qu'Emilie aura des principes ; & voilà , par exemple , un de ces principes qu'une perfone bien née n'oublie jamais. EMILIE. Combien il faut favoir de chofes „ maman , pour être bien née ! Tous les jours j'apprends quelque chofe de nouveau , en y penfant , £ même fans y beaucoup penfer.