Œuvres de Frédéric le Grand ...: CorrespondanceImpr. royale, 1846 |
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19 septembre 23 octobre 27 mars Adieu Altesse Royale âme amitié août assez assurer avez Berlin bonheur bonté bourg-Lippe Charlottenbourg charmé CHER CAMAS cher Cassubien CHER COMTE CHER DIAPHANE cher Suhm chose cœur comte de Schaum comte de Seckendorff CORRESPONDANCE DE FRÉDÉRIC crois daigné Dessau Dieu digne dire donner Dresde duc de Courlande envoyer êtes FEDERIC fidèlement affectionné ami flatte Frédéric au comte Grumbkow heureux homme J'attends j'aurai j'en j'espère jamais janvier joie jours juin Kalsow Königsberg l'amitié l'estime lettre de Frédéric Lübben m'avez m'écrire m'en m'est madame mars ment mérite mille monde monseigneur MONSIEUR Münnich obligé octobre parfaite estime passer penser personne persuadé Pétersbourg philosophie plaisir Potsdam pourrait pouvez présent raison reconnaissance Remusberg rendre Rheinsberg rien Rocoulle ROLLIN Ruppin santé SCHAUMBOURG-LIPPE sentiments septembre sera seulement sincère SIRE souhaite Suhm à Frédéric sujet témoigner TRÈS-CHER AMI très-fidèlement affectionné ami trouve vérité vœux Voilà Voyez ci-dessus Wolff Wreech
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Seite 390 - Vous pouvez bien juger que je suis assez tracassé dans la situation où je me trouve. On me laisse peu de repos, mais l'intérieur est tranquille, et je puis vous assurer que je n'ai jamais été plus philosophe qu'en cette occasion-ci. Je regarde avec des yeux d'indifférence tout ce qui m'attend, sans désirer la fortune ni la craindre, plein de compassion pour ceux qui souffrent, d'estime pour les honnêtes gens, et de tendresse pour mes amis.
Seite 38 - Monsieur, encore une fois, que l'on fasse apprendre à cette princesse l'École des maris et des femmes par cœur; cela lui vaudra mieux que le Vrai Christianisme de feu Jean Arndt.
Seite 244 - ... trône avec Frédéric, et, lui rappelant l'obligation de faire le bonheur des peuples que la Providence lui avait confiés, priait Dieu de le rendre un roi selon son cœur. Frédéric ne put se défendre de quelque ironie, en remerciant son cher, son vénérable Rollin. « J'ai trouvé, disaitil, dans votre lettre les conseils d'un sage, la tendresse d'une nourrice, et l'empressement d'un ami.
Seite 301 - ... disposer d'aucune position, d'aucune faveur, il est lui-même dans la gêne. On saisit ici un sentiment d'une grande délicatesse, et où il laisse percer avec une sorte de pudeur le désir de devenir roi ; il s'en repent aussitôt, car c'est la même chose que de désirer la mort d'un père : « Je me flatte de la douce espérance de vous voir à Berlin avant votre départ; je n'aurai que des larmes pour vous reconduire, et des souhaits pour vous accompagner. Souffrez que je vous fasse un aveu...
Seite 69 - Dieu sait que je suis si retiré à présent que l'on peut être ; je m'applique aux affaires du régiment, beaucoup d'exercices; ensuite les commissions économiques que le Roi m'a données m'occupent; après, le temps du manger, après, la parole; ensuite, si je ne vais pas voir quelque village, je me divertis à lire ou à la musique. Vers les sept heures, je vais dans la compagnie des officiers, qui s'assemblent, ou auprès des capitaines, ou auprès deBuddenbrock, ou auprès des autres; je joue...
Seite 37 - Car j'aime mieux être cocu, ou à servir sous la fontange altière de ma future, que d'avoir une bête qui me fera enrager par des sottises, et que j'aurais honte de produire. Je vous prie de travailler à cette affaire, car quand on hait tant que je le fais les héroïnes de romans, alors on craint les vertus farouches, et j'aimerais mieux la plus grande p...
Seite 179 - C'est aux philosophes à être les précepteurs de l'univers et les maîtres des princes. Ils doivent penser conséquemment, et c'est à nous de faire des actions conséquentes. Ils doivent instruire le monde par le raisonnement, et nous, par l'exemple. Ils doivent découvrir, et nous, pratiquer.
Seite 3 - Ayant déjà dit que les pays prussiens sont si entrecoupés et séparés, je crois que le plus nécessaire des projets que l'on doit faire est de rapprocher ou de recoudre les pièces détachées qui appartiennent aux parties que nous possédons, telles que la Prusse polonaise.
Seite 343 - Pour ce qui me regarde, écrit-il (15 novembre 1737), j'étudie de toutes mes forces, je fais tout ce que je puis pour acquérir les connaissances qui me sont nécessaires pour m'acquitter dignement de toutes les choses qui peuvent...
Seite 43 - C'est le jour le plus heureux que j'aie goûté de ma vie; et il s'en alla avec le duc de Bevern, et entra avec lui dans la chambre voisine, et ils s'embrassèrent beaucoup. Je n'ai jamais vu le Roi si content. Nous allâmes l'après-midi à la maison hollandaise du parc, où la Reine donna le café. Il n'y avait que la Reine, la Duchesse, la princesse Charlotte et la princesse de Bevern, et j'avoue qu'elle a changé beaucoup...