Manuel de la parole: Traité de prononciation, Band 1Garneau, 1901 - 303 Seiten |
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Beliebte Passagen
Seite 209 - Cela même est un fruit que je goûte aujourd'hui : J'en puis jouir demain, et quelques jours encore ; Je puis enfin compter l'aurore Plus d'une fois sur vos tombeaux.
Seite 164 - D'expier son forfait. On le lui fit bien voir. Selon que vous serez puissant ou misérable, Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.
Seite 260 - J'aime le son du cor, le soir, au fond des bois, Soit qu'il chante les pleurs de la biche aux abois, Ou l'adieu du chasseur que l'écho faible accueille, Et que le vent du nord porte de feuille en feuille.
Seite 221 - Dame mouche s'en va chanter à leurs oreilles , Et fait cent sottises pareilles. Après bien du travail , le coche arrive au haut : Respirons maintenant ! dit la mouche aussitôt : J'ai tant fait que nos gens sont enfin dans la plaine. Çà , messieurs les chevaux , payez-moi de ma peine.
Seite 208 - Repartit le vieillard. Tout établissement Vient tard et dure peu. La main des Parques blêmes De vos jours et des miens se joue également. Nos termes sont pareils par leur courte durée. Qui de nous, des clartés de la voûte azurée Doit jouir le dernier ? Est-il aucun moment Qui vous puisse assurer d'un second seulement...
Seite 274 - Couchons-nous sur la terre, et dormons. Caïn, ne dormant pas, songeait au pied des monts. Ayant levé la tête, au fond des cieux funèbres II vit un œil, tout grand ouvert dans les ténèbres, Et qui le regardait dans l'ombre fixement. — Je suis trop près, dit-il avec un tremblement.
Seite 212 - Grégoire, Que gagnez-vous par an ? Par an ! ma foi, monsieur, Dit, avec un ton de rieur, Le gaillard savetier, ce n'est point ma manière De compter de la sorte ; et je n'entasse guère Un jour sur l'autre : il suffit qu'à la fin J'attrape le bout de l'année : Chaque jour amène son pain.
Seite 284 - Que Rome fait sentir tout le poids de ses fers : Et de près inspirant les haines les plus fortes, Tes plus grands ennemis, Rome, sont à tes portes. Ah ! s'ils ont pu choisir pour leur libérateur Spartacus , un esclave , un...
Seite 192 - L'invisible ennemi triomphe et rit de voir Qu'il n'est griffe ni dent en la bête irritée Qui de la mettre en sang ne fasse son devoir. Le malheureux lion se déchire lui-même, Fait résonner sa queue à l'entour de ses flancs, Bat l'air, qui n'en peut mais (l), et sa fureur extrême Le fatigue, l'abat : le voilà sur les dents.
Seite 220 - Le Coche et la Mouche. DANS un chemin montant, sablonneux, malaisé, Et de tous les côtés au soleil exposé, Six forts chevaux tiraient un coche.