Friedrich Wilhelm I. König von Preussen: Bd. Nachträge zum 1. [und] 2. Bde.: Friedrich der Grosse als Kronprinz. Fortsetzung des Urkundenbuch zum 2. Bd

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Beliebte Passagen

Seite 140 - et de ma vie, je crois que le bon Dieu ne me damnerait pas pour cela, et ayant pitié de moi, en échange d'une vie misérable, m'accordera le salut. Voilà ce que le désespoir peut faire penser à une jeune personne, dont le sang n'est pas si rassi que celui d'un septuagénaire.
Seite 140 - et puisque les choses sont ainsi, vous pouvez faire savoir d'une certaine : façon au Duc, arrive ce qui peut, que je ne la prendrai jamais. J'ai été malheureux toute ma vie, et je crois que ' c'est mon destin de le rester, il faut se patienter, et
Seite 152 - ciel m'a bien voulu mettre, je trouve que j'ai plus que je ne mérite, et je fais consister mon plus grand bonheur dans la connaissance que j'en ai. Néanmoins, je n'oublie pas mes bons amis qui contribuent à m'assurer ma sécurité et je vous prie par conséquent de faire bien mes assurances d'amitié au Comte de
Seite 151 - C'est pourquoi, si je me marie en galant homme, c'est à dire, laissant agir Madame, comme bon lui semble, et faisant de mon côté ce qui me plait, et vive la liberté'. Vous voyez mon cher général, que j'ai le
Seite 164 - en attendant, je vous en prie instamment, mon très cher et généreux ami, votre précieuse amitié, et votre assistance. Continuez à me tirer de mes peines, comme vous avez commencé si dignement, et comptez sur toute l'estime et la reconnaissance qu'un honnête homme vous doit, l'ayant tiré de tant
Seite 184 - au Souverain, car, quoique je ne le croie pas fort sincère sur mon chapitre, je vais mon grand chemin, sans me défier de lui, puisque je n'ai rien à me reprocher, puisque la triste expérience m'a fait voir dans le monde, que la meilleure politique que je pourrais avoir,
Seite 171 - le plus faux, et pour lequel j'ai le plus d'aversion, il n'a ni honneur, ni foi, et la supercherie est son unique loi; son intérêt, et la division des autres, est son étude. Je l'ai appris au camp de
Seite 164 - me rendra sage. Je fais tout mon possible pour le devenir, mais je ne crois pas que Catón fut Catón comme il était jeune. Conservez-moi, en attendant, je vous en prie instamment, mon très cher et généreux ami, votre précieuse amitié, et votre assistance. Continuez
Seite 152 - se point contenter d'un juste-milieu, qui est à mon avis l'état le plus heureux, car le trop de grandeur est à charge et fatigue infiniment, et l'indigence rabaisse trop une certaine noblesse, qui se trouve ordinairement pour base de nos caractères, mais je m'estime heureux dans la situation,

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