 | Jean-Baptiste de Boyer d' Argens - 1735 - 324 Seiten
...iérieufement. Ma Mère me répondit qu'elle ne s'oppofoit point à mon mariage. Mais que mon Père ni elle ne pouvoient me rien donner. Que n'étant pas d'humeur à planter des choux dans leurs terres, il leur falloit du bien pour vivre à la ville, ainfiqu'il convenoit au rang que mon Père... | |
 | Jean-Baptiste de Boyer Argens (marquis d') - 1735 - 326 Seiten
...leur fcrois obligé d'y ptnfer férieu fement : maniere me répondit qu'elle ne s'opofoit point à mon mariage, mais que mon pere ni elle ne pouvoient me rien donner «que n'étant pas d humeur à planter des choux dans leurs terrcs,il leur falloitdu bien pour vivre à la ville , ainfi... | |
 | Jean Baptiste de Boyer (marq. d'Argens.) - 1755 - 364 Seiten
...mère me répondit qn'elte nes'opofoic point a mon mariage. Mais que mon père ni elle ne poavoient me rien donner. Que n'étant pas d'humeur à planter des choux dans leurs terres,il leur falloitda bien pour vivre à la ville , ainfi qu'il convenoit an rang que mon père... | |
 | Gustave Desnoiresterres - 1869 - 1030 Seiten
...mère me répondit qu'elle ne s'opposait point à mon mariage, mais que mon père ni elle ne pouvaient me rien donner; que, n'étant pas d'humeur à planter des choux dans leurs terres, il leur fallait du bien pour vivre à la ville, ainsi qu'il convenait au rang que mon père... | |
 | Gustave Le Brisoys Desnoiresterres - 1871 - 534 Seiten
...mère me répondit qu'elle ne s'opposait point à mon mariage, mais que mon père ni elle ne pouvaient me rien donner; que, n'étant pas d'humeur à planter des choux dans leurs terres, il leur fallait du bien pour vivre à la ville, ainsi qu'il convenait au rang que mon père... | |
 | Gustave Le Brisoys Desnoiresterres - 1871 - 544 Seiten
...mère me répondit qu'elle ne s'opposait point à mon mariage, mais que mon père ni elle ne pouvaient me rien donner; que, n'étant pas d'humeur à planter des choux dans leurs terres, il leur fallait du bien pour vivre à la ville, ainsi qu'il convenait au rang que mon père... | |
 | Gustave Le Brisoys Desnoiresterres - 1871 - 544 Seiten
...mère me répondit qu'elle ne s'opposait point à mon mariage, mais que mon père nielle ne pouvaient me rien donner; que, n'étant pas d'humeur à planter des choux dans leurs terres, il leur fallait du bien pour vivre à la ville, ainsi qu'il convenait au rang que mon père... | |
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mon mariage. Mais que mon pere ni elle ne pouvoient me rien donner. Que n'étant pas d'humeur à planter des choux dans leurs 