en riant, il faut avouer que le Ciel auroit dû vous faire naître dans l'état où il m'a placée. Vous auriez été un grand Comédien. Vous venez de Memoires et lettres de M. le Marquis d'Argens - Seite 5 von Jean-Baptiste de Boyer Argens (marquis d') - 1755 - 312 Seiten Vollansicht -
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