Oeuvres, Band 1Lefevre, 1821 |
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... poétique ; soit , ce qui est beaucoup plus vraisemblable , que cette I Le Commentaire de Brossette ne parut qu'en 1716 , cinq ans après la mort de Boileau ; mais il s'en occupoit depuis 1698 . tâche excédât la mesure de ses forces , le ...
... poétique ; soit , ce qui est beaucoup plus vraisemblable , que cette I Le Commentaire de Brossette ne parut qu'en 1716 , cinq ans après la mort de Boileau ; mais il s'en occupoit depuis 1698 . tâche excédât la mesure de ses forces , le ...
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... poétique , au Lutrin , et aux belles Épitres de Boileau . Il suffit de lire Pope avec quelque attention , pour se convaincre de la sincérité de son admiration pour Despréaux ; il l'imite souvent , et lui prend quelquefois des vers tout ...
... poétique , au Lutrin , et aux belles Épitres de Boileau . Il suffit de lire Pope avec quelque attention , pour se convaincre de la sincérité de son admiration pour Despréaux ; il l'imite souvent , et lui prend quelquefois des vers tout ...
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... poétique , qu'un versifica- teur ; que d'Alembert , obligé par les fonctions de sa place de louer publiquement Boileau , ait captieuse- ment semé , dans le corps même de l'Éloge , et sur - tout dans le volume de notes qui l'accompagnent ...
... poétique , qu'un versifica- teur ; que d'Alembert , obligé par les fonctions de sa place de louer publiquement Boileau , ait captieuse- ment semé , dans le corps même de l'Éloge , et sur - tout dans le volume de notes qui l'accompagnent ...
Seite xiii
... poétique ; soit , ce qui est beaucoup plus vraisemblable , que cette I Le Commentaire de Brossette ne parut qu'en 1716 , cinq ans après la mort de Boileau ; mais il s'en occupoit depuis 1698 . tâche excédât la mesure de ses forces , le ...
... poétique ; soit , ce qui est beaucoup plus vraisemblable , que cette I Le Commentaire de Brossette ne parut qu'en 1716 , cinq ans après la mort de Boileau ; mais il s'en occupoit depuis 1698 . tâche excédât la mesure de ses forces , le ...
Seite xiii
... poétique , au Lutrin , et aux belles Épîtres de Boileau . Il suffit de lire Pope avec quelque attention , pour se convaincre de la sincérité de son admiration pour Despréaux ; il l'imite souvent , et lui prend quelquefois des vers tout ...
... poétique , au Lutrin , et aux belles Épîtres de Boileau . Il suffit de lire Pope avec quelque attention , pour se convaincre de la sincérité de son admiration pour Despréaux ; il l'imite souvent , et lui prend quelquefois des vers tout ...
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Seite 260 - D'un si noble travail justement étonné, Ne bénira d'abord le siècle fortuné Qui, rendu plus fameux par tes illustres veilles, Vit naître sous ta main ces pompeuses merveilles ? Cependant, laisse ici gronder quelques censeurs Qu'aigrissent de tes vers les charmantes douceurs.
Seite 126 - C'est ce que tout lecteur eut toujours droit de faire. Tous les jours à la cour un sot de qualité Peut juger de travers avec impunité ; A Malherbe, à Racan préférer Théophile Et le clinquant du Tasse à tout l'or de Virgile.
Seite 93 - De tous les animaux qui s'élèvent dans l'air , Qui marchent sur la. terre , ou nagent dans la mer , De Paris au Pérou, du Japon jusqu'à Rome, Le plus sot animal, à mon avis, c'est l'homme.
Seite 144 - C'est que sur le calcul, dit-on, de Cassini*, Un astrolabe en main, elle a, dans sa gouttière, A suivre Jupiter passé la nuit entière*. Gardons de la troubler. Sa science, je croi, Aura pour s'occuper ce jour plus d'un emploi : D'un nouveau microscope on doit, en sa présence, Tantôt chez Dalancé faire l'expérience ' ; Puis d'une femme morte avec son embryon 11 faut chez du Verney * voir la dissection. Rien n'échappe aux regards de notre curieuse.
Seite 37 - Maudit soit le premier dont la verve insensée Dans les bornes d'un vers renferma sa pensée, Et, donnant à ses mots une étroite prison, Voulut avec la rime enchaîner la raison ! Sans ce métier, fatal au repos de ma vie, Mes jours pleins de loisir couleraient sans envie.
Seite 34 - A peine as-tu parlé qu'elle-même s'y place. Mais, moi, qu'un vain caprice, une bizarre humeur. Pour mes péchés, je crois, fit devenir rimeur, Dans ce rude métier où mon esprit se tue. En vain, pour la trouver, je travaille et je sue ; Souvent j'ai beau rêver * du matin jusqu'au soir.
Seite 77 - Car, sitôt que du soir les ombres pacifiques D'un double cadenas font fermer les boutiques; Que, retiré chez lui, le paisible marchand Va revoir ses billets et compter son argent; Que dans le Marché-Neuf tout est calme et tranquille, Les voleurs à l'instant s'emparent de la ville. Le bois le plus funeste et le moins fréquenté Est, au prix de Paris, un lieu de sûreté.
Seite 47 - Notre hôte cependant s'adressant à la troupe : Que vous semble, at-il dit, du goût de cette soupe? Sentez-vous le citron dont on a mis le jus...
Seite 256 - En cela, comme en tout, le ciel qui nous conduit, Racine, fait briller sa profonde sagesse. Le mérite en repos s'endort dans la paresse : Mais par les envieux un génie excité Au comble de son art est mille fois monté.
Seite 127 - Un clerc , pour quinze sous , sans craindre le holà , Peut aller au parterre attaquer Attila ' ; Et, si le roi des Huns ne lui charme l'oreille , Traiter de visigoths tous les yers de Corneille.