 Il étoit admirable de ne regarder entre les biens des garçons que les belles qualités & les fervices rendus à la patrie. Celui qui étoit le plus riche de ces fortes de biens , choififlbit une fille dans toute la nation.  Die Gewalt der Liebe, in Erzählungen - Seite 93von August Heinrich Julius Lafontaine - 1799Vollansicht - Über dieses Buch
 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1749 - 392 Seiten
...dans toute la Nation. L'amour , la beauté , la chafteté , la vertu. , la naiflance , les richefles même , tout cela, étoit pour ainfi dire, la dot de la vertu. Il feroit difficile d'imaginer une recompenfe plus noble , plus Êrande , moins à charge à un petit... | |
 | Charles Louis de Secondat “de” Montesquieu, Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1758 - 516 Seiten
...fille dans toute la Nation. L'amour , la beauté, la chafteté , la vertu , la nauTance , les richefles même , tout cela étoit , pour ainfi dire , la dot de la vertu. Il feroit [a] Frag. de Nicolas de Damas , tiré de Stolée dans le Recueil de Conftantin Porphyrogenete.... | |
 | Alexandre Deleyre - 1759 - 282 Seiten
...fervices rendues à la patrie. L'amour , la beauté, la chafteté, la vertu , la naiflance , les richefles même ; tout cela étoit , pour ainfi dire , la dot de la vertu. Sous le régne de S. Louis, on ne pouvoit pas coucher enfemble la premiere nuit des noces , ni même... | |
 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1764 - 470 Seiten
...fortes de biens , choififlbit une fille dans toute la nation. L'amour , la beauté , la chafteté , la vertu , la naiflance , les richeffes même , tout cela étoit pour ainfi dire la dot de la vertu. Il feroit difficile d'imaginer une récompenfe plus noble , plus grande , moins à charge à un petit... | |
 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1769 - 606 Seiten
...dans toute la nation. L'amour, la beauté , la chafteté ,.la verru , la naiffance , les richefles même » tout cela étoit , pour ainfi dire , la dot de la vertu. Il feroit difficile d'imaginer une récompenfe plus noble , plu» grande , moins a charge à un petit... | |
 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1781 - 614 Seiten
...choififlbit une fille dans toute lanation. L'amour , la beavtté , la chafteté , la vertu, lanaiflance, les richeffes même , tout cela étoit, pour ainfi dire , la dot de la vertu. Il feroit difficile d'imaginer «ne récompenfe plus noble, plus grande, moins à charge à un petit... | |
 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1784 - 612 Seiten
...fille dans toute la nation. L'amour, la beauté, la chafteté, la vertu , la naifïance , les richefles même , tout cela étoit , pour ainfi dire , la dot de la vertu. Il feroit difficile d'imaginer une récompenfe plus noble> plus grande, moins à charge à un petit... | |
 | Louis Damours - 1784 - 504 Seiten
...toute fa. » nation ; l'amour, la beauté, la chaf» teté , la vertu, la naiflance, les ri» chefles même, tout cela étoit, pour » ainfi dire, la dot de la vertu ; il » feroit difficile d'imaginer une récom» penfe plus noble , plus grande , » moins à charge... | |
 | Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1790 - 442 Seiten
...ces fortes de biens, choififfoit une fille dans toute la nation. L'amour, la beauté, la chafteté, la vertu, la naiflance, les richeffes même, tout...cela étoit , pour ainfi dire , la dot de la vertu, II feroit difficile d'imaginer une récompenle plus noble, plus grande, moins à charge à un petit... | |
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