Charles Darwin et ses précurseurs français: étude sur le transformismeG. Baillière, 1870 - 378 Seiten |
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
admet amblystomes analogues ancêtre axolotls botanistes Buffon caractères cause chap CHARLES DARWIN chiens choses conclusion conditions d'existence conséquences considérations croisement Cuvier d'autres développement différences distinctes doctrine de Darwin évidemment exemple existe expliquer faunes fécondité filiation fondamentaux formes fossiles Frédéric Cuvier générale génération spontanée genre Geoffroy Saint-Hilaire géologiques géryonies globe groupes Histoire naturelle Huxley hybrides hypothèse idées individus invoquer Isidore Geoffroy Isidore Geoffroy Saint-Hilaire j'ai l'auteur l'espèce l'hérédité l'homme l'hybridation l'origine des espèces Lamarck lapin léporides lutte pour l'existence Maillet mammifères manière ment métamorphose métissage modifications montrer morphologiques Muséum naissance natu naturalistes nature Naudin nombre observations oiseaux organisés origine ostéologiques paléontologie parfois passé phénomènes Philosophie zoologique physiologique pigeons plantes premier présente produit prototype QUATREFAGES question raison reptiles reste résultats résulte Robinet s'agit s'est sauvages savant anglais science sélection naturelle semble serait seule souche souvent surtout Telliamed tératologie théorie tion transformation type spécifique variation des animaux variétés végétaux vivants zoologique
Beliebte Passagen
Seite 50 - La production d'un nouvel organe, dans un corps animal, résulte d'un nouveau besoin survenu qui continue de se faire sentir, et d'un nouveau mouvement que ce besoin fait naître et entretient. — Troisième loi : Le développement des organes et leur force d'action sont constamment en raison de l'emploi de ces organes.
Seite 89 - Enfin il est clair que, si la multiplication des morues, des esturgeons, dont les œufs se comptent par centaines de mille, n'était arrêtée d'une manière quelconque, tous les océans seraient comblés en moins d'une vie d'homme.
Seite 57 - Parmi les corps vivants, la nature n'offre donc, à proprement parler, que des individus qui se succèdent les uns aux autres par la génération et qui proviennent les uns des autres. Les espèces parmi eux ne sont que relatives et...
Seite 323 - ... à quelques rares variétés bientôt disparues '. Si le milieu change, il est clair que les conditions de l'adaptation ne seront plus les mêmes. La sélection, s'accomplissant dans des conditions différentes, produira forcément des résultats plus ou moins distincts des premiers. L'organisme variera donc jusqu'à ce que l'harmonie soit rétablie ; mais, ce résultat obtenu, la lutte pour l'existence et la sélection naturelle reprendront inévitablement leur rôle primitif, qui est de pousser...
Seite 221 - L'Espèce est la collection de tous les individus qui se ressemblent plus entre eux qu'ils ne ressemblent à d'autres ; qui peuvent, par une fécondation réciproque, produire des individus fertiles , et qui se reproduisent par la génération, de telle sorte qu'on peut par analogie les supposer tous sortis originairement d'un seul individu...
Seite 245 - Et dès lors, si les circonstances lui sont favorables » et qu'aucun croisement avec le type de l'espèce ou avec » une autre variété ne vienne la troubler dans son évolu» tion, elle passe à l'état de race caractérisée, et imprime » son cachet à un nombre illimité d'individus.
Seite 2 - ... spectacle. Sur ce globe naguère désert et livré aux seules forces physico-chimiques, la vie se manifeste et déploie rapidement une surprenante puissance. Les flores, les faunes, apparaissent tout d'abord avec les traits généraux qui caractérisent aujourd'hui encore les règnes végétal et animal et la plupart de leurs grandes divisions. Presque tous nos types fondamentaux datent des plus anciens jours; mais chacun domine à. son tour pour ainsi dire. En outre, véritables protées, ils...
Seite 332 - Les espèces, dit-il, ne devant pas leur stérilité mutuelle à l'action accumulatrice de la sélection naturelle, et un grand nombre de considérations nous montrant qu'elles ne la doivent pas davantage à un acte de création, nous devons admettre qu'elle a dû naître incidemment pendant leur lente formation et se trouver liée à quelques modifications inconnues de leur organisation.
Seite 48 - La vie, par ses propres forces, tend continuellement à accroître le volume de tout corps qui la possède, et à étendre les dimensions de ses parties, jusqu'à un terme qu'elle amène elle-même.