...quoiqu'ils possédassent le fondement de l'invention; d'où il s'ensuit que si quelqu'un n'admet point les lignes infinies et infiniment petites à la rigueur...et comme des choses réelles, il peut s'en servir sûrement comme de notions idéales, qui abrègent le raisonnement; semblables à ce qu'on appelle...

...quoiqu'ils possédassent le fondement de l'invention; d'où il s'ensuit que si quelqu'un n'admet point les lignes infinies et infiniment petites à la rigueur...et comme des choses réelles, il peut s'en servir sûrement comme de notions idéales, qui abrègent le raisonnement; semblables à ce qu'on appelle...

...prendre une grandeur aussi petite qu'on veut.... D'où il s'ensuit que si quelqu'un n'admet point les lignes infinies et infiniment petites à la rigueur...et comme des choses réelles, il peut s'en servir sûrement comme de notions idéales, qui abrègent le raisonnement 1. » Et le lemme sur lequel s'appuie...

...passages de Leibniz, la lettre à Varignou publiée dans le Journal des Savants en 1702 : « Si quelqu'un n'admet point des lignes infinies et infiniment petites...et comme des choses réelles, il peut s'en servir sûrement comme des notions idéales, qui abrègent le raisonnement, semblables à ce qu'on appelle...

...entre le réel et l'idéal. à Varignon, 2 fév. 1702, 92-93 : «D'où il s'ensuit que si quelqu'un n'admet point des lignes infinies et infiniment petites...et comme des choses réelles, il peut s'en servir sûrement comme des notions idéales qui abrègent le raisonnement, semblables à ce qu'on appelle...

...sur une des justifications possibles des différentielles : « D'où il s'ensuit, que si quelqu'un n'admet point des lignes infinies et infiniment petites...et comme des choses réelles, il peut s'en servir sûrement comme des notions idéales qui abrègent le raisonnement, semblables à ce qu'on nomme racines...