Leibnizens mathematische Schriften, Bände 4-5

Cover
 

Andere Ausgaben - Alle anzeigen

Beliebte Passagen

Seite 85 - ... à les rendre plus exactes sans beaucoup de peine. Or comme il n'ya rien de si important que de voir les origines des inventions qui valent mieux à mon avis que les inventions mêmes, à cause de leur fécondité et par ce qu'elles contiennent en elles la source d'une infinité d'autres qu'on en pourra tirer par une certaine combinaison (comme j'ay coutume de l'appeller) ou application à d'autres sujets lors qu'on s'avisera de la faire comme il faut; j'ay crû estre obligé de faire part au...
Seite 85 - ... j'ay taché de transformer le cercle en une autre figure, du nombre de celles que j'appelle rationelles, c'est à dire dont les ordonnées sont commensurables à leurs abscisses. Pour cet effect j'ay fait le dénombrement de quantité de Métamorphoses, et les ayant essayées par...
Seite 110 - Je croy qu'il n'ya point de créature au dessous de la quelle il n'y ait une infinité de créatures, cependant je ne crois point qu'il y en ait, ny même qu'il y en puisse avoir d'infiniment petites et c'est ce que je crois pouvoir demonstrer.
Seite 304 - ... et des racines par le moyen des puissances: mais le public n'a pas encore la méthode de le délivrer des puissances impliquées par le moyen des racines pures. De même dans notre Analyse des transcendantes, on peut toujours délivrer le calcul a vinculo et des sommes par le moyen des...
Seite 134 - Eigentümlichkeit produciren, sondern auch die Auflösungen der Probleme finden lassen würde, und zwar nicht nach der bisherigen Willkühr , sondern vielmehr nach einer bestimmten Methode. Da bisher Niemand dergleichen versucht hatte, so sah sich Leibniz genöthigt, den Gegenstand von den ersten Anfängen an zu erörtern. Er geht hierbei von dem absoluten Raum aus, betrachtet die Lage eines Punktes in demselben, und entwickelt, wie durch Bewegung aus dem Punkt die Linie, aus der Linie die Fläche,...
Seite 304 - Notre méthode étant proprement cette partie de la Mathématique générale qui traite de l'infini, c'est ce qui fait qu'on en a fort besoin, en appliquant les Mathématiques à la Physique, parce que le caractère de l'Auteur infini entre ordinairement dans les opérations de la nature.
Seite 419 - Juvene praeclarum, et magna promittens inventa milii ostendit non pauca, Analytica et Geométrica, sane perelegantia. Die Leibnizischen Manuscripte aus der zweiten Hälfte des Jahres 1675 und aus dem Jahre 1676 zeigen zahlreiche Spuren von den gemeinsamen Arbeiten beider; auf demselben Blatte finden sich die Schriftzüge Tschirnhausens neben denen von der Hand Leibnizens. Wie bereits erwähnt, beschäftigte sich damals Tschirnhaus vorzugsweise mit der allgemeinen Auflösung der Gleichungen; auch...
Seite 254 - Galilei, pour servir d'essai d'une nouvelle analyse des infinis, avec son usage pour les logarithmes et une application a l'avancement de la navigation, Journal des Scavans 1692 = MSch.
Seite 275 - Car une telle équation n'est d'aucun degré connu; et le problème ne scauroit être plan, ni solide, ni quarré-quarré, ni sursolide etc. Et par conséquent pas une des lignes que Mr. Decartes veut que nous croyions seules géométriques, ne le peut construire. Ainsi il faut recourir aux lignes d'une nouvelle espèce, que j'appelle transcendantes, parce qu'il n'ya point de degré qu'elles ne passent. J'ajouterai qu'encore les telragonismes (excepté certain cas) dépendent de ces courbes et de...