Schriften von Helfrich Peter Sturz ...Weidmann erben und reich, 1786 |
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Beliebte Passagen
Seite 220 - O í ne ne la voyons plus qu'après fa toilette — • elle n'eft pour nous qu'une Dame parée qui a mis fon rouge et fes diamans. — Je ne trouve pas ces Idylles fans intérêt — j'aime cette (implicite, ces couleurs fraîches, ces tableaux vrais, tels que l'onde pure les réfléchit.
Seite 238 - Ne prétendez pas médire d'un chef-d'œuvre sur une traduction médiocre ; même une bonne n'en transmettrait pas toutes les beautés. Notre langue est trop pauvre et trop timide pour rendre toutes les nuances de celle que l'auteur a créée pour son poème, et même, j'ose le dire , notre cœur est trop dégradé pour sympathiser avec le sien ( ). — II est temps de rendre justice aux Allemands.
Seite 239 - II), nous briguons leur efjmc et leur amitié. Chés eux un homme de lettres eft fans état, et le premier Auteur parlera debout au dernier Comte de l'empire, s'il n'a d'au- ^ tre brevet, que celui de l'immortalité.
Seite 224 - ... vous frappe au moins et vous fait rire de bon cœur. Le Chevalier. Vous êtes fevere, l'Abbé. Ce peuple a cefle d'être barbare
Seite 236 - Avec une diftion plus élégante et un coloris plus velouté , cela feroit alTés drôle; mais il ya peu de goût dans l'enfemble ; ce font des épifodes mal coufues , une maigre invention fans incidens, et une monotonie qui excède, c'eft comme le fervice des reformés , tour à tour le fermon et les cantiques. Le perfonnage, qui attache le plus eft un diable charmant, le plus honnête garçon de là bas , et dont les qualités infernales font tout à fait aimables.
Seite 229 - Demoifelles , qui ont grand foin de le favoir par cœur. Les cagots en furent d'abord allarmés ; on crioit à la turpitude, à la corruption de la...
Seite 235 - ... on ya ajouté le jugement dernier. — Mais fans badiner, il y a des tirades, qui ne font pas mal, des chofes fortement fenties, des morceaux qui frifent le fublime. Avec une diftion...
Seite 232 - Le corps, dit-il, eft comme un linge mouillé, qui fe colle аих contours de l'homme intérieur. La nature n'a rien achevé fans y mettre fon étiquette ; il ne s'agit que de favoir lire et voilà à quoi il s'applique. La Marquife. C'eft délicieux — .
Seite 233 - Le Chevalier. Et même la mauvaife, mon cher Abbé— ce livre feroit dangereux en France ; un roi qui l'auroit étudié feroit trembler fes courtifans. Que l'on en plaifante tant qu'on voudra, il y adu vrai dans le fyfteme de l'auteur.
Seite 221 - Mais nous pourrions à la rigueur nous en pafier — lorsqu' on eft riche de fon propre fond , on a tort , il me femble , de fouiller dans toutes fortes de mines pour trouver un peu d'or. — Quant à vos Allemans , Chevalier , je les honore , puisque Voue les protégés; maie ce'nx qui nous arrivent, pour apprendre les belles manières font parfois bien péfans