| 1889 - 972 Seiten
...souveraine. Oui, continuai-je plus tristement, vous êtes ma reine, vous êtes la reine de France. » L. Ses regards semblaient me demander encore un autre titre. Je fus tenté de jouir du bonheur qui paraissait s'ofliir. Deux réflexions me retinrent : « Je n'ai jamais voulu devoir à une femme un instant dont... | |
| Jules-Antoine Taschereau - 1833 - 436 Seiten
...Oui, continuai-je plus tranquillement, vous « êtes ma reine, vous êtes la reine de France. » Ses regards semblaient me demander encore un autre titre....jamais voulu devoir une femme à un instant dont elle pût se repentir, et je n'eusse pu supporter l'idée que madame Czartorinska se crût sacrifiée à... | |
| Jules-Antoine Taschereau - 1833 - 958 Seiten
...êtes la reine de France. » Ses regards semblaient me demander encore un autre titre. Je fus tente de jouir du bonheur qui paraissait s'offrir. Deux...jamais voulu devoir une femme à un instant dont elle pût se repentir , et je n'eusse pu supporter l'idée que madame Czartorinska se crût sacrifiée à... | |
| Jules Antoine Taschereau - 1833 - 448 Seiten
...reine de France. » Ses regards semblaient me demander encore un autre titre. Je fus.tenté de jouif du bonheur qui paraissait s'offrir. Deux réflexions...jamais voulu devoir une femme à un instant dont elle pût se repentir, et je n'eusse pu supporter l'idée que madame Czartorinska se crût sacrifiée à... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1853 - 464 Seiten
...certain jour, d'abuser de la tendre préférence que lui témoignait la reine : « Jo fus tenté, dit-il, de jouir du bonheur qui paraissait s'offrir. Deux...jamais voulu devoir une femme à un instant dont elle peut se repentir, et je n'eusse pu supporter l'idée que M»'e Czartoryska se crût sacriliée à l'ambition.... | |
| Armand-Louis de Gontaut duc de Biron - 1858 - 502 Seiten
...souveraine! Oui! (continuai-je plus tristement), vous êtes ma reine, vous êtes la reine de France ! — Ses regards semblaient me demander encore un autre titre,...de jouir du bonheur qui paraissait s'offrir. Deux raisons me retinrent ; je n'ai jamais voulu devoir une femme à un instant dont elle pût se repentir... | |
| Armand-Louis de Gontaut duc de Biron - 1858 - 500 Seiten
...Oui ! (continuai-je plus tristement), vous êtes ma reine, vous êtes la reine de France ! — Ses regards semblaient me demander encore un autre titre,...de jouir du bonheur qui paraissait s'offrir. Deux raisons me retinrent ; je n'ai jamais voulu devoir une femme à un instant dont elle pût se repentir... | |
| Armand-Louis de Gontaut duc de Biron - 1858 - 402 Seiten
...plus tristement), vous » êtes ma reine, vous êtes la reine de France! » Ses regards sembloient me demander encore un autre titre, je fus tenté de jouir du bonheur qui paroissoit s'offrir. Deux raisons me retinrent ; je n'ai jamais voulu devoir une femme à un instant... | |
| Horace comte de Viel-Castel - 1859 - 722 Seiten
...chapitre qui lui est consacré a pour titre : Avances de Marie-Antoinette. « .... Ses regards sembloient me demander encore un autre titre, je fus tenté de jouir du bonheur qui paraissoit s'offrir.... Je n'ai jamais voulu devoir une Temmeà un instant dont elle pût se repentir!... | |
| Horace de Salviac comte de Viel-Castel - 1859 - 466 Seiten
...chapitre qui lui est consacré a pour titre : Avances de Marie- Antoinette. « .... Ses regards scmbloient me demander encore un autre titre, je fus tenté de jouir du bonheur qui paraissoit s'offrir.... Je n'ai jamais voulu devoir une femmeàun instant dont elle pût se repentir!... | |
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