Oeuvres de Leibniz: Petits traités politiquesFirmin Didot Frères, 1865 |
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aber allen alles Allianz ambassadeurs anders atque auch autem Brandebourg celuy cercle de Bourgogne chose contractus daher dahin daß denen Diète Ecclesiæ einmal électeurs et princes endlich England enim entweder eorum Estats esté estre etiam etliche etsi fœdus Frankreich geben Geld gemacht Germaniæ gewißlich gleich gleichsam gradu prohibito große guerre hæc hingegen Holland Imperator inter jure kommen König können Krieg l'alliance l'Empereur laffen Land Leibniz leicht Lorraine Lothringen machen Macht mariage matrimonia matrimonium muß nicht oder ohnedas PHIL Philippsburg Piasti Pologne Pontificis posse potest potestate potestatem princes de l'Empire Principum Protestantium quæ quam quantum quod ratione Reich sacramenti sacramentum Schweden scilicet seculare securitatis serait seyn sich sollte sonderlich souveraineté souverains sowohl Spanien Stånde Suède sunt tamen tantum Teutschland theils thun Tripel-Allianz triple alliance valida viel vielleicht wåre weiß wenig werde wohl wollen würde
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Seite 347 - Eug. De sorte que chez vous Souverain ou Potentat est celuy qui se peut faire considérer en Europe en temps de paix et en temps de guerre, par traitez, armes et alliances. Phil.
Seite 345 - C'est à quoi Furstenerius a donné un nouveau jour en conciliant la pluralité des souverainetés avec l'unité de la République de l'Empire, ayant expliqué le premier la véritable définition de la souveraineté en tant...
Seite 371 - Enfin peut-on voir une marque plus essentielle de la souveraineté que le droit de faire des alliances confirmé dans le traité de Westphalie, et le droit de guerre et de paix qui appartient incontestablement à nos Électeurs et Princes ? Car ils peuvent déclarer la guerre à quelque prince...
Seite 347 - L'auteur pose sur fondement que souverain ou potentat est celuy qui est maistre d'un territoire assez puissant pour se rendre considérable en Europe en temps de paix et en temps de guerre, par traités, armes et alliances; qu'il n'importe pas s'il tient ses terres en fief, ni même s'il reconnoist la majesté d'un chef, pourveu qu'il soit le maistre chez luy...
Seite 127 - ... donnera à l'empire le caractère d'une personne civile ; on désespérera enfin d'établir cette monarchie rêvée de part et d'autre ; l'Europe conquerra le repos, cessera de fouiller dans son propre sein, et jettera enfin les regards du côté où se trouvent tant d'honneur, de triomphes, d'avantages qui ne coûtent rien à la conscience, et n'ont rien de désagréable aux yeux de Dieu. Ce sera l'heure d'une autre contestation, ayant pour objet, non de savoir comment l'un prendra à l'autre...
Seite 305 - Error, conditio, votum, cognatio, crimen, Cultus disparitas, vis, ordo, ligamen, honestas, Si sit affinis, si forte coire nequibis, Si sponsam rapias, si clandestinus inibis : Haec celebranda vêtant connubia, facta rétractant.
Seite 133 - Percini^cn nière à maintenir le repos de l'Europe, et à ce que le chef séculier de la chrétienté ne fasse plus qu'un avec son chef spirituel, qu'il exerce efficacement le rôle d'avocat de l'Église universelle, qu'il ne cherche que le bien général et, enfin, que sans coup férir il fasse rentrer les épées dans le fourreau.
Seite 3 - PROPOSITION. Le but du monde chrétien uni, et celui de la noblesse polonaise, sont dans un parfait accord. REMARQUE. Laisser opprimer la liberté de la Pologne est un grand danger pour le monde chrétien. Car c'est surtout du côté de la Pologne que l'Allemagne est ouverte aux barbares. C'est par laque les Tartares, faisant irruption dans la Silésie, firent un affreux carnage de la jeunesse polonaise, sous les ordres de son chef. Tamerlan menaça ces frontières, et récemment encore quelques...
Seite 133 - C'étaient là les sentiments qui animaient ces papes intelligents, qui ne redoutèrent ni travaux ni dépenses, toutes les fois qu'ils pouvaient espérer d'unir les potentats et de les amener à une ferme résolution contre l'ennemi commun. Rome comprend aujourd'hui qu'il n'ya rien à gagner à des guerres de religion, que cela ne fait qu'aigrir les esprits et les éloigner de la concorde nécessaire, pour que l'on se puisse apprécier en temps de paix, qu'il est bon de ne point se faire les uns...
Seite 185 - France, bon an mal an, reçoit plus de numéraire qu'elle n'en dépense , comparable eu cela a. l'if qui, de son ombre toujours croissante, étouffe les arbres voisins; il est notoire qu'elle ramasse des richesses immenses, qu'elle subjugue tous les autres pays par leurs propres armes; qu'elle pénètre, par la voie de la corruption, tous les secrets politiques ; qu'elle attire vers elle le plus grand nombre d'hommes de génie, et que, en détruisant l'aversion traditionnelle qu'on a contre elle,...