Cosmographie moscoviteJ. Techener, 1858 - 179 Seiten |
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appellent apres auant auec auoient auoir auoit ayent Basile bastie bestes Borysthene cause cecy celuy ceste chasteau cheuaux chose chrestiens congnoissance Constantinople costé Czeremisses d'auec d'icelle d'vn d'vne deuant Dieu diuers eglises enuoya espousa estant esté estoit estre euesques eust faict fault feit feste fleuue forests fust grace Grecs habitans hault Hongrie huict i'ay iaçoit iadis iamais icelle Iean iour iusques Ivan Ivan III l'an mil cinq l'Eglise l'vn lieuës Lituanie Lituaniens Liuonie longne mesme metropolitain Michel mil cinq cens montaignes Moscouie Moscouite nommé nommee nomment nort Nouogardie octante païs paluz passe pauures peult peuple Plescouie Polonois pource pres present prestre prince principauté print prouince quoy region Rezan riuiere roy de Polongne Russie Russiens sainct Sarmatie sauuages sçauoir Scythes seigneur separe Smolenzko sort soubz souuent Suece suiets Tanaïs Tartares terre teste Thevet trouue Turc viuent Volga vray vsent Vvoldimerie
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Seite xii - A qui considère les événements que racontent les histoires dans leur origine réelle et première , dans leurs degrés , dans leurs progrès , il n'ya peutêtre aucun livre de piété (après les divins et après le grand livre toujours ouvert du spectacle de la nature) qui élève tant à Dieu , qui en nourrisse plus l'admiration continuelle, et qui montre avec plus d'évidence notre néant et nos ténèbres.
Seite vi - Espagne, ne fut d'abord qu'unjgnorant dont l'ordre se glorifioit peu. Mais, sans avoir pu lire Vico, Thevet gardoit empreinte dans son esprit cette vérité de l'immortel penseur : il sentoit confusément que la curiosité, fille de l'ignorance, peut être mère de la science : or, loin de jeter le froc aux orties, il le mit de côté, avec dessein de le reprendre, "puis il quitta le couvent et voyagea. — C'est réellement cette passion instinctive pour les choses curieuses, ce goût de recherches...
Seite 93 - Notre pays est grand et tout y est en abondance, mais l'ordre et la justice y manquent : venez en prendre possession et nous gouverner. » 1. Les Tchoudes dont il est ici question sont plutôt les Slaves colonisés dans le pays des Tchoudes, autour de Pskof et d'Isborsk.
Seite 142 - De toutes les coutumes hérétiques, il n'y en a pas de plus condamnable que celle de se raser la barbe. L'effusion de tout le sang d'un martyr ne saurait racheter cette faute. Raser...
Seite 37 - Regardez cette montagne, c;:r c'est ici qu'éclatera la grâce de Dieu ; ici brillera bientôt une immense cité, où le Seigneur aura de nombreux autels. » Puis étant monté au sommet de la montagne, il fit le signe de la croix et pria. C'est, en effet, au même endroit que fut fondée et bâtie la ville de Kiew.
Seite 96 - Olga , dit-il , fut en Russie comme le présage du christianisme , comme l'étoile du matin qui devance le soleil , comme l'aurore qui présage la lumière.
Seite 20 - ... reconnu , et qui cependant sont la nation même. Privés de tout par les lois, ils ne sont pas aussi dégradés au moral qu'ils sont socialement avilis; ils ont de l'esprit, quelquefois de la fierté; mais ce qui domine dans leur caractère et dans la conduite de leur vie entière , c'est la ruse. Personne n'a le droit de leur reprocher cette conséquence trop naturelle de leur situation. Ce peuple toujours en garde contre des maîtres dont il éprouve à chaque instant la mauvaise foi effrontée...
Seite 97 - Disons-lui donc en la glorifiant : Réjouis-toi , car tu as été pour nous le commencement de la connaissance de Dieu et de sa réconciliation avec ton pays. » — Elle est , en effet , la première en Russie qui soit entrée dans le royaume du Ciel et les Russes l'honorent comme leur devancière, car elle a pour eux invoqué la mort de nioimnc-Picu.
Seite 130 - Églises; il y mentionne tous les sujets de disensión qui les sépare, notamment en matière de discipline , prie humblement le pape de mettre fin à cette déplorable querelle, et le conjure de s'adresser à cet effet an patriarche de Constantinople, à tous les métropolitains de l'Eglise d'Orient : il déclare qu'il s'estimerait heureux de recevoir une réponse du saint-père , et termine '•i le priant d'agréer les humbles salutations des évêques , du clergé , du grand-duc , des boyards...
Seite 104 - Consenties a cette condition, les fiançailles de la princesse Sophie avec le prince de Moscou furent solennellement célébrées en présence de Sixte IV dans la basilique de Saint-Pierre, le 1 juin 1472.