Œuvres de Frédéric le Grand: Œuvres philosophiquesImpr. royale, 1848 |
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Seite 212 - Qui méprise Cotin n'estime point son roi, Et n'a, selon Cotin, ni Dieu, ni foi, ni loi.
Seite xiii - L'Antimachiavel, ou Examen du Prince de Machiavel, avec des notes historiques et politiques. Sie war verfaßt vom •preußischen Kronprinzen Friedrich, seit Mai 1740 König von Preußen, und in seinem Auftrag redigiert von Voltaire. Der »Antimachiavel...
Seite 270 - États par eux-mêmes ; et ceux qui se reposent sur la bonne foi de leurs ministres , et qui se laissent gouverner par ceux qui ont pris de l'ascendant sur leur esprit. Les souverains de la première espèce sont comme l'âme de leurs...
Seite 238 - Le dépôt le plus précieux, qui soit confié entre les mains des princes, c'est la vie de leur sujets. Leur charge leur donne le pouvoir de condamner à mort ou de pardonner aux coupables ; ils sont les arbitres suprêmes de la justice.
Seite 296 - La guerre" est si féconde en malheurs, l'issue en est si peu certaine, et les suites en sont si ruineuses pour un pays, que les souverains" ne sauraient assez réfléchir avant que de l'entreprendre.
Seite 171 - ... du monde. Je demande ce qui peut porter un homme à s'agrandir, et en vertu de quoi il peut former le dessein d'élever sa puissance sur la misère et sur la destruction d'autres hommes, et comment il peut croire qu'il se rendra illustre en ne faisant que des malheureux?
Seite 144 - Il seroit donc plus juste , ce me semble, de plaindre les rois que de les condamner; ce sont les flatteurs , et plus qu'eux encore les calomniateurs , qui méritent la condamnation et la haine du public, de même que tous ceux qui sont assez ennemis des princes pour leur déguiser la vérité.
Seite 175 - On fait donc beaucoup mieux d'envoyer des troupes dans les pays que l'on vient de se soumettre, qui, moyennant la discipline et le bon ordre, ne pourront point fouler les peuples, ni être à charge aux villes où on les met en garnison. Je dois dire cependant, pour ne point trahir la vérité, que du temps de Machiavel les troupes étaient tout autre chose que ce qu'elles sont à présent...
Seite 163 - Spinoza sapait les fondements de la foi , et ne tendait pas moins qu'à renverser l'édifice de la religion; Machiavel corrompit la politique, et entreprit de détruire les préceptes de la saine morale. Les erreurs de l'un n'étaient que des erreurs de spéculation; celles de l'autre regardaient la pratique. Cependant il s'est trouvé que les théologiens ont sonné le tocsin et crié...
Seite 129 - La seconde question roule sur la confiance qu'un prince doit avoir, après s'être rendu maître d'un nouvel Etat, ou en ceux de ses nouveaux sujets qui lui ont aidé à s'en rendre le maître, ou en ceux qui ont été fidèles à leur prince légitime. Lorsqu'on prend une ville par intelligence et par la trahison de quelques citoyens, il y aurait beaucoup d'imprudence...