16 JUILLET 1929

dans la Chronique horticole de notre numéro du 16 mai, page 411, la suivante a été ajoutée :

Des moyens à employer pour empêcher, dans une certaine mesure, la propagation des maladies cryptogamiques par les outils de taille, de greffage et d'élagage.

Réunion des directeurs de jardins publics de France.

Le 26 mai dernier de nombreux directeurs et jardiniers en chef de jardins publics de France se sont réunis à Paris, dans une des salles de l'Hôtel de la Société nationale d'Horticulture de France mise gracieusement à leur disposition par la dite Société.

Après un échange de vues sur les buts et la composition de l'Association en voie de formation, sur l'administration, le fonctionnement et les moyens d'action de celle-ci, un projet de statuts a été soumis à l'assemblée et adopté. L'Association a pris pour titre :

Association Amicale des Fonctionnaires et Employés techniques des Services de jardins publics de France et des Colonies.

Il a été décidé que tout technicien de nationalité française dont la fonction est de gérer des que parcs ou jardins accessibles au public ces jardins relèvent des Administrations publiques. de l'Etat, des départements ou des communes d'administrations privées, telles que villes d'eaux, Sociétés d'Horticulture, etc., ou d'établissements d'enseignement placés sous le contrôle de l'Etat, peut demander son admission à l'Association.

La cotisation annuelle a été fixée à 20 francs. Un bureau provisoire a été constitué : Président E. Le Graverend, directeur des jardins de la Ville de Rouen.

Vice-Présidents: MM. Lelay, ingénieur des Services horticoles de la Ville de Paris, Wendling, jardin er en chef des parcs, jardins et pépinières de Trianon, à Versailles.

Secrétaire-Trésorier: M. Cuisance, directeur des jardins et promenades de la Ville d'Orléans.

Divers moyens d'action de l'Association ont été ensuite envisagés, entre autres : la publication de notices et de circulaires pouvant éventuellement affecter la forme d'un bulletin.

Le tableau récapitulatif des renseignements donnés par 32 chefs de jardins publics venant de paraître, l'assemblée a décidé de l'adresser à chaque adhérent sitôt l'envoi du montant de la cotisation.

Adresse du Secrétaire-Trésorier: 28, rue d'Illiers, à Orléans.

Conférences d'Horticulture par T. S. F. Nous rappelons que la Société nationale d'Horticulture de France a organisé une série de Conférences d'Horticulture par T.S.F. Elles sont faites aux P.T.T. tous les jeudis, de 20 h. 15 à 20 h. 30.

1er août, M. Lécolier.

Jin fruitier.

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Les fleurs

Travaux d'été au jar

8 août, M. Duprat. Le jardin paysager. 15 août, M. Potrat. Semis de légumes d'hiver et de printemps.

Avis concernant le taux des bourses à l'Ecole nationale d'Horticulture de Versailles.

A compter du 1er janvier 1930, le taux des bourses à l'Ecole nationale d'Horticulture de Versailles sera porté à 2.700 fr. par an. Conformément aux prescriptions du décret du 23 juin 1930, ces bourses pourront être fractionnées par quart, moitié ou trois quarts.

Exposition internationale d'Horticulture à Angers en 1930.

La Société d'Horticulture d'Angers et du département de Maine-et-Loire commence à organiser présentement une Exposition internationale d'Horticulture, en collaboration avec les Compagnies des Chemins de fer d'Orléans et de l'Etat. Cette exposition, qui aura licu à Angers du 18 au 29 juin 1930, coïncidera avec le Congrès de la Société Française des Rosiéristes.

Nous apprenons que les demandes des exposants éventuels sont déjà nombreuses; la Société est dès à présent assurée de collaborations qui permettent d'espérer que l'Exposition aura un éclat tout particulier.

Exposition d'Horticulture

à Clermont-Ferrand.

A l'occasion du Congrès Pomologique, la Société d'Horticulture et de Viticulture du Puy-deDôme organise une grande exposition de produits maraîchers, fleurs, fruits, arbustes. Cette exposition se tiendra à Clermont-Ferrand du 19 au 23 septembre.

Les demandes de participation doivent être adressées à M. le Président de la Société d'Horticulture et de Viticulture du Puy-de-Dôme, 4, rue Pascal, à Clermont-Ferrand.

Exposition internationale d'Horticulture à Courtrai (Belgique).

Cette exposition organisée par la Société Royale d'Horticulture « De Vereenigde Hoveniers »), se tiendra du 14 au 16 septembre dans les Grandes Halles et Théâtre de la ville de Contrai. L'onverture afficielle aura lieu le samedi 14 septembre à midi.

Sont admis comme exposants: les professionnels, les amateurs, les Sociétés d'Horticulture, les Institutions de Botanique, les Ecoles d'Horticul ture et d'Agriculture, belges et étrangères.

Les exposints sont priés de faire parvenir au Secrétaire, M. J. Callens, Grand Place, 1, Courtrai, an plus tard le 15 août 1999, leur demande de participation.

Exposition d'Horticulture à Anzin (Nord).

Le Cercle Horticole de la Vallée de l'Escaut,

les Cercles Horticoles des Etablissements d'Escautet-Meuse et de la Franco-Belge, organisent à Anzin les 28, 29 et 30 septembre prochain, une exposition d'Horticulture et un Concours d'apports du jardin familial,

Les exposants devront envoyer leur demande à M. Renard, secrétaire de l'Exposition, 219, avenue Dampierre, à Valenciennes.

Congrès et expositions horticoles.
à Besançon.

La Société d'Horticulture du Doubs organise, à l'occasion du Congrès de la Fédération des Sociétés d'horticulture de l'Est et de l'Est Cential, une exposition régionale (Doubs, Jura, HauteSaône et Territoire de Belfort), fruitière, maraîchère et florale, produits des jardins ouvriers.

Cette manifestation aura lieu les 28, 29 el 30 septembre.

Des emplacements gratuits sont à la disposition des propriétaires, amateurs et professionnels. Renseignements au secrétaire général, 59, rue des Granges, Besançon.

Exposition d'Horticulture

de Montchanin-les-Mines. La Société d'Horticulture de Saône-et-Loire, à Chalon-sur-Saône, organise une Exposition départementale d'horticulture, qui se tiendra à Montchanin-les-Mines (Saône-et-Loire), du samedi 21 septembre au dimanche 22 septembre 1929 inclus.

Exposition d'Horticulture de Noyon (Oise).

La Société d'Horticulture de l'arrondissement de Compiègne organise à Noyon, du 1 au 16 septembre prochain, une exposition générale d'Horticulture: fleurs, fruits, légumes, art floral, apiculture et toutes industries s'y rattachant.

Adresser les demandes d'admission à M. G. Régnier, président de la Société, à Noyon (Oise). Centre d'apprentissage horticole des Pressoirs-du-Roi,

Une promotion d'Elèves-jardiniers, ayant fait trois ans d'apprentissage, va sortir, au début d'août, de l'Ecole d'Horticulture des Pressoirs-duRoy. Les retenir de suite, en indiquant conditions au directeur de l'Ecole, par Champagne-surSeine (Seine-et-Marne).

Voici, pour nos lecteurs et abonnés, qui nous demandent de toutes parts des garçons jardin'ers, une excellente occasion de s'en procurer. Comptoir Parisien d'engrais et de produits chimiques: Visite de l'Usine et des jardins d'essais de Sartrouville,

M. Jacques Delafon, le sympathique Dire.teur du Comptoir Parisien d'engrais et de produits chimiques avait invité de nombreuses personnes à visiter, dans l'après-midi du 4 juillet, l'Usine et les Jardins d'essais de Sartrouville, en Seine-etOise. Un service spécial d'autocars les transporta de Paris à Sartrouville.

Dès son arrivée, la caravane fut agréablement surprise par l'élégant jardin français admirablement fleuri, qu'encadrent les divers bâtiments de l'Usine; les murs de ces derniers sont eux-mêmes

complètement couverts d'Ampelopsis Veitchii, de sorte que les ouvriers sont au milieu de la verdure et des fleurs.

Reçus par MM. Jacques Delafon, Henri Routier et Cormier, les invités visitèrent successivement, sous la conduite des chefs de service, le Laboratoire d'analyses et de recherches, les ateliers où l'on prépare les engrais composés, les insecticides variés, les bouillies anticryptogamiques, les provendes pour les volailles. Ils curent sous les yeux le matériel perfectionné utilisé pour le broyage et le mélange des engrais: ils recurent, en outre, toutes explications utiles.

Les visiteurs, parmi lesquels se trouvaient un certain nombre de dames, furent ensuite appelés à se rassembler dans une salle ornée de feuillages et de fleurs pour y déguster une coupe de champagne. Dans un toast charmant, M. Jacques Delafon salua et remercia l'assistance composée en grande partie de clients de l'établissement.

Après ce gracieux intermède, la visite continua par le jardin d'essais et se termina par le petit et fort joli jardin alpin créé il y a deux ans par notre excellent collaborateur M. S. Mottet. Les invités furent frappés par la vigueur et la parfaite santé des plantes (Pommes de terre, Haricots, etc.) du jardin d'essais; par la belle teinte verte des gazons; on leur montra des Poiriers chlorotiques en voie de guérison, grâce à des pulvérisations de solutions spéciales.

En se retirant, les invités remercièrent individuellement M. Jacques Delafon et emportèrent de cette intéressante visite le plus agréable souvenir. Ecole d'Horticulture du Jardin d'Essai du Hamma, à Alger.

Cette Ecole, créée en 1918, au Jardin d'Essai du Hamma, à Alger, reçoit annuellement de 19 à 15 élèves européens ou indigènes, âgés de 14 à 18 ans. Ils doivent être pourvus au moins du certificat d'études primaires.

Le régime de l'école est l'internat gratuit; à titre exceptionnel, des élèves d'Alger ou d'Hussein-Dey peuvent être admis comme externes dans des conditions déterminées. La durée des études est de trois ans et à l'expiration de la troisième année, le certificat d'instruction horticole est délivré aux élèves qui ont satisfait aux examens.

Pour tous renseignements complémentaires et pour les demandes d'admission, s'adresser à M. le Jardinier en chef du Jardin d'Essai du Hamma, à Alger.

Ecole d'Agriculture et de Viticulture
de l'Oisellerie (Charente).

Les examens d'admission à l'Ecole d'Agriculture auront lieu cette année plus tôt que d'habitude pour donner satisfaction aux demandes plusieurs fois présentées. La date est fixée au lundi 12 août à Angoulême.

Le programme détaillé donnant tous renseignements utiles est adressé gratuitement sur demande faite à M. Goiniard, directeur de l'Ecole à l'Oisellerie, par la Couronne (Charente).

Dévas'ations à l'Ecole d'Horticulture
de Saint-Mandé (Seine).

Nous avons reçu la note suivante :

« Je suis allé, ces jours-ci, à l'Ecole d'Horticulture de Saint-Mandé et j'ai constaté avec peine la façon dont on l'avait saccagée pour l'Exposi tion coloniale, alors qu'on disposait de terrain en face et à côté. On a supprimé notamment, l'avenue des arbres d'alignement plantée par Chargueraud avec un exemplaire de chaque essence, quelque chose d'unique! »

Ces renseignements sont malheureusement exacts; nous en avons eu, depuis, la confirmation. Il est profondément regrettable que les autorités qualifiées n'aient pas fait tout le possible pour assurer la conservation de cette belle avenue d'arbres dont nous ne pouvous plus maintenant que déplorer la disparition.

Ecole d'Agriculture de Crézancy (Aisne). Les examens d'admission à l'Ecole d'Agriculture de Crézancy auront lieu au siège de l'Etablissement le samedi 3 août 1929.

Les candidats doivent être âgés de 14 ans au moins et de 18 ans au plus dans l'année de leur admission.

Pour obtenir le programme de l'Ecole ou tout autre renseignement, écrire à M. le Directeur de l'Ecole d'Agriculture de Crézancy (Aisne).

L'Horticulture française il y a 100 ans
Culture de l'ognon.

La troisième méthode mentionnée plus haut a été conseillée et mise en pratique par MM. Nouvellon et Lebrun de Meun, département du Loiret. Dans une terre bonne, sans excès, mais surtout bien saine, on sème en mars ou avril, excessivement épais; (M. Lebrun indique une livre de graine par toise carrée, ce qui nous paraît kcependant trop considérable); on arrose une seule fois, immédiatement après le semis. Si l'opération réussit, on obtient pour récolte une multitude de bulbilles grosses comme des pois et au-dessus, que l'on conserve l'hiver en lieu sain, comme d'autre ognon. Après l'hiver, on dispose son terrain en rayons espacés entre eux de 6 à 8 pouces, et l'on y plante les bulbilles une à une, à 3 ou 4 pouces de distance. Chacune d'elles devient un gros et bon ognon. Par cette plantation on évite tous les risques et les accidents auxquels sont sujets les semis en place; les soins minutieux de sarclage et d'éclaircissage sont remplacés par des serfouissages, bien faciles à donner et plus économiques; enfin MM. L. et N. assurent que par aucune méthode on ne peut obtenir des produits aussi considérables. La difficulté nous parait être d'obtenir au point convenable ces ognons petits-pois nécessaires pour la plantation. Dans les terres fortes, ou humides ou trop riches, ou bien dans un été pluvieux, il doit être malaisé d'y parvenir. Toutefois, cette méthode est ingénieuse et nous engageons les amateurs à l'essayer. Almanach du Bon Jardinier pour l'année 1829 (p. 192).

J'ai déjà cffleuré ce sujet ici; mais outre qu'il est toujours d'actualité et que nous sommes loin de l'avoir épuisé, je trouve, dans le numéro du Centenaire de la Revue horticole, une étude fort intéressante de M. Viaud-Bruand et qui peut passer, à bon droit, pour un acte de foi dans l'intuition horticole.

L'étude de M. Viaud-Bruant est tout entière consacrée aux Pelargonium zonale.

L'auteur donne une liste des variétés de ces plantes qu'il considère comme les meilleures et il les présente en huit groupes, chaque groupe correspondant à une couleur distincte. On a ainsi les Pélargoniums blancs, les rose clair, les rose vif, les saumons, les orangés, les rouges, les pourpres et les violets.

C'est ensuite que M. Viaud-Bruant écrit:

Dans la gamme incomparable ci-dessus, deux couleurs manquent : le jaune et le bleu. C'est vers l'obtention de ces coloris que sont orientés nos efforts; nous espérons y arriver en fécondant les orangés pour arriver au jaune et les violets pour arriver au bleu.

«La joie de l'artiste créateur de beauté est comparable à la joie du savant trouveur de vérités. Beauté vaut Vérité. »

Le distingué horticulteur poitevin a la certitude d'obtenir un Pelargonium zonale à fleurs jaunes et un autre à fleurs bleues dont il a vu (pour parler comme Platon) les modèles dans son cerveau.

C'est une certitude qui constitue une intuition, c'est-à-dire une de ces divinations instinctives, qui nous font découvrir des harmonies et des relations cachées.

Je ne vois rien qui s'oppose à ces obtentions. Il semble même que le Pelargonium zonale à fleurs jaunes est tout près de naître, par l'intermédiaire de la variété Jaune du Poitou, qui me paraît être un Pélargonium d'un rouge orangé plus près du jaune que Maxime Kovalewski, par exemple.

En somme, si le jaune n'existe pas à l'état visible, chez les Pélargoniums, il existe à l'état latent dans le rouge orangé, formé de rouge et de jaune mêlés (Koralewski, ViaudBruant, Poitiers orange, etc.); et c'est cette présence certaine, quoique dissimulée, du jaune qui permet d'espérer qu'un heureux semeur aura la chance de le dégager tout à fait, de le laver du rouge qui le change en orangé.

Qu'est-ce qui manque pour obtenir ce Pélargonium jaune ? Une méthode. Mais à défaut de méthode, nous avons l'intuition.

Henri Poincaré l'a dit : « C'est par la logique qu'on démontre, mais c'est par l'intuition qu'on découvre », et il compare un savant dépourvu d'intuition (un génétiste si vous voulez) à un écrivain ferré sur la grammaire, mais qui n'aurait pas d'idées.

Memoria sull'Agrume Bizaria, de Pietro NATI avec traduction du Dr Attilio Ragioneri. Une brochure 12×19 de 64 pages avec 2 planches hors texte, chez F. Battiato, éditeur à Catane (Italie). Prix: 8 lires.

La Bizarria, qui fait l'objet de ce mémoire, es! une Agrume qui offre cette « bizarre » particularité de porter sur les mêmes branches des Cédrats et des Oranges. Cet arbre fruitier est apparu il y a trois siècles environ, dans un jardin aux portes

GEORGES BELLAIR.

de Florence; il fut décrit par Pietro Nati, médeein, directeur du Jardin des Plantes et professeur de matière médicale de cette ville.

Son ouvrage est écrit en un latin élégant dont le Dr Ragioneri donne la traduction en face du texte original réimprimé. Nati croyait que ce phé nomène de la nature avait été produit par l'adhésion, ou greffe naturelle d'un Oranger et d'un Cédratier et que le produit aurait été un chybride de greffe ».

Le Concours international de Roses de Bagatelle a eu lieu par un temps magnifique le jeudi 20 juin. Le jury avait à examiner les 50 variétés nouvelles de Roses envoyées en 1928 par 23 rosiéristes de France et de l'étranger.

De même que l'année dernière, M. Chérioux, président de la Commission des Beaux-Arts du Conseil municipal de Paris, a dirigé les opérations du jury international comme le concours. On notait, parmi les jurés français, MM. Deville et Rébeillard, conseillers municipaux Alfred Nomblot, député de la Seine; Chambard, Cochet-Cochet, C. Defresne, Demorlaine, Dupeyrat, J. C. N. Forestier, Gravereaux, Guillot, Gaston Lévêque et Turbat. L'Amérique était représentée par une personnalité importante, M. Clark, président de l'American Rose Society, ancien gouverneur de l'Alaska. Parmi les autres jurés étrangers, se trouvaient MM.Van Oost, président de la « Société des Amis des Roses de Belgique », Dickson et Wallace (Angleterre), Mathieu Leenders (Hollande).

Le jury décerné les récompenses suivantes :

Médaille d'or des Roses françaises : Madame Pierre S. du Pont, hybride de thé, provenant de parents ayant tous les deux 50 0/0 de sang de Ophélia. Arbuste vigoureux, à feuillage ample, luisant, vert foncé. Très florifère. Le bouton, allongé et bien fait, est jaune de cadmium; la fleur épanouie, semi-double, creuse, est un peu plus pâle, jaune de chrome. A remporté le Prix Harding à la Société nationale d'Horticulture de France. Obtenteur: M. C. Mallerin, à Varces, par Le Pont-de-Claix (Isère).

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Médaille d'or des Roses étrangères : Président Deville (Fritz Mayat x Mme Budde), hybride de thé, de vigueur moyenne, à rameaux peu épineux, à feuilles luisantes assez fortement dentées. Tiges uniflores, assez courtes, de sorte que l'arbuste, extrêmement florifère. conviendra particulièrement pour faire des massifs. Le bouton est d'un beau