Guides aux Collections de Plantes vivantes du Muséum national d'Histoire naturelle. Tome III. Arbres et Arbrisseaux utiles ou ornementaux, par A. GUILLAUMIN, docteur èsSciences, Sous-Directeur du Laboratoire de Culture, avec la collaboration de R. FRANQUET, Licencié-ès-sciences, assistant de la chaire de culture, 1 volume de 260 pages. Prix 7 fr. 50; franco 8 fr. 50. La Librairie agricole de la Maison Rustique, 26, rue Jacob, Paris (6) peut procurer cet ouvrage.

La Collection des guides aux collections de Plantes vivantes du Muséum, publiés sous la direction de M. D. Bois, professeur de Culture, avec une subvention de l'Académie des Sciences (fonds Loutreuil), vient de s'enrichir d'un volume nouveau. Le tome III, consacré aux Arbres et aux Arbrisseaux est dû à notre excellent collaborateur M. A. Guillaumin, qui en a rédigé la plus grande partie. Son collaborateur M. R. Franquet, est l'auteur des deux chapitres traitant des rapports des plantes avec le sol et des plantes entre elles par le greffage.

103

renseignements sommaires sur la taille, les qualités du bois, l'emploi, la couleur et l'odeur des fleurs.

Ce guide rendra d'incontestables services pour la visite des collections d'arbres et d'arbustes existant au Muséum, au Fruticetum, à l'Ecole de Botanique, dans les Labyrinthes, le Carré Officinal, les parterres et la ménagerie. Il sera également très utile aux pépiniéristes, aux professeurs, aux amateurs, à tous ceux qui s'intéressent aux arbres et aux arbustes.

Greffage des Arbres Fruitiers non compris la Vigne, par J. PINELLE, directeur de l'Ecole Nationale d'Horticulture de Versailles. Une bro chure (16,5 × 25,5) de 28 pages illust. de 30 photos, broché, franco 8 francs. (Bibliothèque « Agriculture et Progrès ». Librairie Lagrave. La Librairie Agricole de la Maison Rustique, 26, rue Jacob, Paris (6), peut procurer cet ouvrage.

Le greffage compte parmi les opérations horticoles les plus importantes et les plus utiles.

Dans cette excellente monographie abondamment illustrée, tous les professionnels et tous les amateurs trouveront la description des meilleurs procédés, ainsi que des renseignements précis sur les conditions de la réussite, la récolte, la conservation et l'expédition des greffes, enfin, les soins généraux à donner aux greffes.

La faiblesse relative des arrivages, durant la dernière quinzaine de mars, n'a pas rendu les demandes plus actives. Les cours demeurent stationnaires avec tendance à la baisse sur certaines primeurs dont la rareté est cependant très significative. C'est ainsi que les Fraises et Cerises forcées de la région parisienne n'atteignant plus des prix en rapport avec leur revient, seront bientôt complètement délaissées par nos primeuristes. Le fait est déjà accompli pour les Fraises forcées d'Antibes (Dr Morère et autres) aussi bien que pour les Quatre-Saisons si fameuses, dites de Marseille ou d'Hyères, dont il n'est pour ainsi dire plus question aux Halles centrales. Quelques belles caisses (2 kilos) de Chasselas doré (Thomery) sont encore demandées à 70 fr. le kilo, alors que les Raisins de serre de Belgique (noir, blanc et Muscat) tiennent leurs cours, suivant choix, de 30 à 70 fr. le kilo. A signaler, depuis les premiers jours de mars, les arrivages réguliers de Frankenthal et Foster's nouveaux, de même provenance, livrés directement chez les négociants en primeurs qui les offrent à 70 fr... la livre. Le fait le plus sensationnel à signaler est l'abondance des Raisins frais du Cap- en variétés rouges, noires et blanches également livrés à domicile par des transitaires et affi

F. L.

HARICOTS. Verts d'Espagne 1.750 à 2.100 francs; d'Algérie 1.850 à 2.600 fr. les 100 kilos. De Flins et Viarmes go à 155 fr. les 100 kilos; nouveaux de Nantes 2,25 à 3 fr. la botte.

PRUNEAUX.

kilos.

RAISIN.

Du cap Muscat 30 à 35 fr.; Malaga sec 8 à 12 fr.; raisin de serre muscat 30 à 70 fr.; blanc 40 à 60 francs; noir 30 à 50 francs le kilo. CITRONS. D'Espagne (40 à 65 francs); d'Italie (28 à 50 fr.) le cent.

Le marché des légumes a été faiblement approvisionné durant toute la dernière quinzaine de mars, le temps étant trop frais pour la « verdure » et les Choux-fleurs. Le Midi expédie peu, non seulement parce que la végétation s'y trouve sensiblement retardée, mais surtout parce que des courtiers étrangers, notamment allemands, y font de gros achats sur place. En fin de mars la vente était notamment plus ferme pour les Choux-fleurs de la Manche et d'Angers, les Pommes de terre et Carottes nouvelles d'Algérie et aussi sur les Choux d'hiver de la région parisienne. Par contre, une baisse sensible touchait les Asperges, Endives belges, Haricots et Pois d'Espagne et d'Algérie et surtout les Chicorées de la région d'Hyères et les Laitues de Perpignan. On cotait fin mars :

ARTICHAUTS. D'Espagne 75 à 125 fr.; d'Algérie 120 à 200 fr.; marocains 50 à 105 francs. ASPERGES. En vrac 850 à 1.850 fr. les 100 kilos; vertes de Villaure 15 à 65 fr. la botte de 2 kilos environ; diverses 10 à 60 francs. CAROTTES. De Nantes et Sully-sur-Loire 125 à 145 fr.; de Chevreuse 110 à 145 fr.; nouvelles d'Algérie 195 à 250 fr. les 100 kilos; nouvelles de Nantes dites « grelot »>, 1 à 3,25 la

botte.

OIGNONS. En grains (285 à 350 francs); d'Egypte 175 à 225 fr. les 100 kilos.

Pois.

Verts en provenance d'Algérie (325 à 575 fr.); mange-tout 425 à 525 fr.; dito d'Espagne 420 à 520 fr.; verts d'Espagne 525 à 750 francs; dito Var 550 à 950 francs les 100 kilos. POMMES DE TERRE. Hollande commune 62

à 67 fr.; blanche commune 35 à 45 fr.; Saucisse rouge de Paris et de Bretagne 64 à 75 francs ; « Rosa» de Bretagne et du Loiret 80 à 95 fr.; nouvelles d'Algérie 270 à 305 fr.; nouvelles rouges d'Espagne 300 fr. les 100 kilos.

SALADES. Chicorée de la région hyéroise 365 à 39o fr. les 100 kilos; Scarole de même provenance 145 à 260 fr.; Laitue de Perpignan (240 à 360 fr.) les 100 kilos; dito de Nantes 425 à 540 fr. les 100 kilos; romaine de châssis de la région parisienne 0,50 à 2 fr. 75 pièce.

TOMATES. D'Algérie 425 à 610 fr. les 100 kilos; des Canaries 40 à 50 fr. le caisson de 6 kilos net. DIVERS. Aulx 95 à 240 fr., 100 à 260 fr. les 100 kilos; Radis de Nantes et d'Orléans 30 à 95 francs; Salsifis d'Orléans 400 à 450 fr. les 100 kilos.

Marché aux fleurs bien approvisionné et vente active.

OEillets de serre, la douzaine 10 à 60 fr.; Roses de serre, la douzaine 15 à 40 fr.; Tulipes de Paris 5 à 9 fr.; Mimosa du Midi, le panier 40 à 50 fr.; Violettes de Parme, la botte 9 à 15 fr.; Anémones du Midi 1 à 8 fr. la douzaine; Narcisses, le panier, 40 à 55 fr.; OEillets d'Antibes 10 à 90 fr. la douzaine; OEillets du Midi, ordinaires, le panier 20 à go fr.; Violettes Boulot du Midi, 2 à 3 fr. la botte; Pensées du Midi, le cent de bouquels 10 à 16 fr.; Violettes ordinaires du Midi, le panier, 15 à 40 fr.; Lilas de serre la demi-gerbe, 25 à 70 fr.; la botte 15 à 30 fr.; Giroflées du Midi, le panier 40 à 60 fr.; Anthémis du Midi, le panier, 30 à 50 fr.; Roses Safrano du Midi, le panier, 60 à 85 fr.; Roses Druschki du Midi, le panier, 180 à 300 fr.; Roses Brunner du Midi, le panier, 100 à 250 fr.; Roses Christy de Paris, 10 à 40 fr. la douzaine; Renoncules du Midi, la douzaine 1,50 à 5 francs; Violettes de Paris, 20 à 40 fr. le cent.: Myosotis de Paris, 4 à 6 fr. la botte; Coucous de Paris 1 à 2 fr, la botte; Giroflées de Paris 3 à 5 fr. la botte; Muguet de Nantes, 20 à 30 fr. la botte de 50 brins. La vente du Buis fut particulièrement animée le 1er avril par la fête des Rameaux. Deux mille ballots furent débités aux Hal'es à 150-200 fr. les 100 kilos. Ils provenaient, en majeure partie de Seine-et-Marne, Seine-Inférieure, de Poitiers et de Dijon.

FRANÇOIS CHARMEUX.

tal de la Seine, pépiniériste à Bourg-la-Reine, a été élu, au second tour, député de la Seine (7 circonscription de l'arrondissement de Sceaux).

Il nous est fort agréable de souligner ce succès, qui honore à la fois M. Nomblot, l'Horticulture française, dont il est l'une des éminentes personnalités et l'Ecole nationale d'Horticulture de Versailles dont il est l'un des plus brillants anciens élèves.

M. Nomblot, dont on connaît l'activité, la puissance de travail, la grande compétence en Horticulture et la parfaite connaissance des questions économiques qui s'y rattachent, saura prendre, à la Chambre des députés, la défense énergique des intérêts horticoles. Les horticulteurs, qui se réjouissent de voir arriver l'un des leurs au PalaisBourbon, se joindront à nous pour adresser au nouvel élu de la Seine nos plus sympathiques félicitations.

Exposition internationale d'Horticulture à Anvers.

Une grande exposition internationale d'Horticulture, organisée pour commémorer le 100° anniversaire de la fondation de la Société royale d'Horticulture et d'Agriculture d'Anvers, aura lieu dans la grande Salle des fêtes de la ville, place de Meir, à Anvers, du 9 au 16 septembre 1928. Cette exposition coïncidera avee une « Foire Coloniale ». Seront admis les professionnels, les amateurs, les Sociétés d'Horticulture, les Institutions de Botanique, les Ecoles d'Horticulture et d'Agriculture.

Les exposants sont priés de faire parvenir au Secrétariat Général de la Société, rue du Moulin, 28, à Anvers au plus tard le 15 août, une demande de participation.

Manifestations florales

au Jardin des Plantes de Rouen.

Le Service des jardins de la ville de Rouen organise, cette année, deux manifestations florales au Jardin des Plantes :

:

Du 17 au 24 mai la Semaine du Pois de senteur;

Du 9 au 16 septembre : la Semaine du Dahlia. Les collections de ces deux plantes seront associées aux compositions florales d'été. La visite s'échelonnera sur une promenade de 1.000 mètres. Pour le Pois de senteur, la collection la meilleure variété de chaque coloris

recomman

dée par la Société nationale anglaise des Pois de senteur, sera répartie en isolés dans les platesbandes du jardin français. Dans le jardin fleuriste seront présentées les cultures en unitige à la très grande fleur; en pots.

L'étiquetage sera traité en détails; de plus, les 'méthodes de culture seront indiquées sur tableaux, situés près de chaque groupe.

Pour le Dahlia, il est prévu un programme analogue.

Aucune présentation ne sera faite en fleurs coupées ou sous abri.

L'Administration municipale rouennaise, très favorable à l'idée de diffusion de la fleur dans le

public, a prévu un programme de fêtes au cours de ces manifestations.

Nomenclature horticole.

Un Congrès international de botanique doit avoir lieu à Londres en 1930 A ce propos, le Dr Rendle, du « British Museum », suggère la création, dans chaque pays, d'un Comité d'étude qui comprendrait un certain nombre d'horticulteurs s'intéressant aux questions de nomenclature. Déjà aux Congrès précédents (Vienne 1905 et Bruxelles 1910), des règles ont été établies concernant la nomenclature horticole; mais quelques modifications ou additions peuvent, sans doute, être apportées. Les points suivants seront surtout à considérer :

1° L'avantage qu'il peut y avoir à conserver certains noms de plantes horticoles, bien qu'ils ne soient pas strictement conformes à la loi de priorité;

2o La nomenclature en ce qui concerne les genres de plantes pour lesquels il peut y avoir une opinion personnelle; tels que Cerasus ou Prunus; Malus ou Pyrus; Mahonia ou Berberis, etc. 3o La nomenclature des hybrides horticoles; 4° L'application des principes de priorité à ces plantes,etc., etc.

Pour répondre à cette suggestion, un Comité d'étude a été nommé au sein de la section des études scientifiques de la Société nationale d'Horticulture de France. Les personnes que ces questions intéressent voudront bien se mettre en rapport avec M. le professeur Bois, président de cette section.

Cours de Culture

au Muséum d'Histoire naturelle de Paris. M. D. Bois, professeur, a commencé ce cours le vendredi 27 avril 1928, à 10 heures, dans l'Amphithéâtre de Zoologie (1er étage), entrée rue Geoffroy-St-Hilaire, no 36, et le continuera à la même heure les mardis et vendredis suivants.

Il traitera le sujet suivant: Plantes à boissons exotiques et indigènes, histoire. culture, utilisation.

Ce cours sera complété par des excursions dans les Serres coloniales du Muséum, au jardin de Jussieu (Chèvreloup), près Versailles, aux Expositions d'Horticulture du Cours-la-Reine, à Paris. au Jardin-Ecole de la Société d'Horticulture de Montreuil-sous-Bois et au Jardin alpin de la Société d'Acclimatation.

Exposition horticole et maraîchère
à Rosendaël (Nord).

La municipalité de Rosendaël (Nord), organise, avec le concours d'horticulteurs et du Syndicat des maraîchers de la localité, une exposition d'Horticulture. Cette exposition aura lieu du 29 septembre au 30 octobre inclus sur la place de la Mairie.

Les horticulteurs et maraîchers français et étrangers, les fleuristes, les jardiniers d'amateurs et les pépiniéristes désirant prendre part à l'Exposition devront faire parvenir, avant le 1er septembre 1928, délai de rigueur, à M. le vice-prési

Deux cent cinquante Marronniers ont été ainsi enlevés et remplacés, à la fin de mars, par autant de Platanes pris sur les fortifications ou dans certaines voies où ils étaient trop serrés. L'opé ration a coûté environ 2.000 francs par arbre.

On aura ainsi, sur l'avenue des Champs-Elysées, des arbres vigoureux dignes de sa splendeur. Châtaigniers, Fougères et Genêts calcicoles.

On imprime encore couramment que le Châtaignier commun (Castanea sativa Mill.) et la Fougère commune (Pteris aquilina) sont des espèces essentiellement calcifuges, voire silicicoles, caractéristiques des terrains sans calcaire. Dans une communication à l'Académie des Sciences (Comptes rendus, tome 185, n° 3, p. 222-224, Paris 1927). M. Biéler-Chatelan Th. a signalé la présence de ces deux plantes et aussi celle du Genêt d'Espagne (Spartium junceum L.) dans des terrains plus ou moins riches en carbonate de chaux. Voici la conclusion de sa communication:

« Malgré leur préférence pour les terrains peu ou pas calcaires, voire siliceux, le Châtaignier commun, la Fougère commune et le genêt d'Espagne peuvent aussi se trouver là où le carbonate de chaux confère au sol une réaction alca

line. >>

Muséum d'Histoire naturelle : concours pour l'admission de jardiniers. Un concours pour l'admission de trois jardiniers permanents sera ouvert à l'Administration du Muséum d'Histoire naturelle, 57, rue Cuvier, le 15 juin.

Un examen pour l'emploi de dix jardiniers auxi liaires permanents sera ouvert au Laboratoire de Culture, 61, rue de Buffon, les 18 et 10 juin.

Pour s'inscrire à ces deux concours, s'adresser à M. le Directeur du Muséum d'Histoire naturelle, 57, rue Cuvier, Paris, avant le 30 mai. Exposition de Roses à Coutances (Manche). A l'occasion de la Foire de Coutances, la Société d'Horticulture de l'arrondissement de Coutances organise, pour les 26, 27 et 28 mai, une Exposition de Roses qui se tiendra dans le hall

de la Société.

Les horticulteurs et les amateurs de la ré

107

gion qui désirent participer à cette manifestation sont priés de bien vouloir réclamer le règlement à M. Contray, avocat, président de la Société, et à MM. Duval, architecte, et Lafosse, jardinier en chef de la ville de Coutances, commissaires généraux de l'Exposition.

L'origine de la Carotte et du Radis cultivés.

Contrairement à l'opinion ancienne de la plupart des botanistes de l'Europe centrale, que la Carotte cultivée est une simple race dérivée de la Carotte sauvage, il faut noter que Miller, dès 1708, fit remarquer l'impossibilité de transformer, par le simple moyen de la culture, la Carotte des terrains maigres en la forme des jardins; et Alex. Braun, en 1842, se prononça également contre l'identité des deux plantes.

Si le Daucus Carota L. n'est pas le type sauvage du D. sativa, quelle en est alors la vraie forme spontanée ? Comme Bertoloni (1837) et Godron (1848), M. Thellung est d'avis que toutes les Carottes cultivées sont issues du croisement des D. Carota et D. maximus; l'hybride s'est formé, dit-il, spontanément dans l'aire commune des parents et, grâce à sa racine charnue (ou la facilité de la former dans un terrain fertile) il a été pris en culture depuis l'antiquité.

Quand on étudie les Radis sauvages pour trouver le type du Raphanus sativus L., on voit que les R. maritimus Sm., R. Landra Moris, et R. rostratus DC., sont beaucoup plus voisins du Radis cultivé que le R. Raphanistrum L.; M. Thellung est donc d'avis que le R. sativus est issu du R. maritimus et R. rostratus qui possèdent une aire commune en Grèce et dans l'Asie-Mineure. (A. Thellung, Le Monde des Plantes, 3 sér., xxvIII, n° 50, 1927).

L'Horticulture française il y a cent ans.

« Les jardiniers de la Belgique sont dans l'usage de semer des Carottes et des Panais sur couche en novembre et janvier, ce qui les met à même d'en vendre dès le mois de mars; ces racines sont alors encore fort petites, mais très recherchées, très délicates. C'est une bonne spéculation à laquelle les jardiniers de Paris paraissent n'avoir pas encore pensé, et qui cependant leur serait très lucrative. »>

(Bon Jardinier 1828. « Revue Horticole »>, page XXVII).

Nécrologie.

M. Jules de Cock. Nous avons appris avee un profond regret, la mort de M. Jules de Cock, chevalier de l'Ordre de Léopold, décédé le 26 avril 1928 à l'âge de 82 ans.

Nous adressons à sa famille, et, en particulier, à son fils, notre ami M. Lucien de Cock, l'éminent et très distingué Secrétaire général de la Société royale d'Agriculture et de Botanique de Gand, nos plus vives condoléances.

H. MARTINET et F. LEsourd.