Abbildungen der Seite
PDF
EPUB
[merged small][ocr errors][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small]

Rossiand, à Edverny (Seine-et-Oise). Méd. verm. (Cyclamens).

[blocks in formation]

mont, à Neuilly-sur-Seine.

las).

[blocks in formation]

Salomon, horticulteur, à fhomery (Seine-etMarne). — Méd. d'honneur, offerte par la Société (Chrysanthèmes); méd. d'or (Raisins de cuve); méd. or (Raisins de table); gr. méd. verm. (Chasselas de Fontainebleau).

Treyve (Marie), à Moulins (Allier). arg. (Amaryllis equestris).

Méd.

Vacherot, Horticulteur, à Boissy-Saint-Léger (Seine-et-Oise). — Gr. méd. arg. (Cyclamens).

Valand (Louis), à Liverdy (Seine-et-Marne). – Méd. br. (corbeilles de fruits); méd. br. (Poires). Vallerand, horticulteur, à Bois-Colombes (Seine). Gr. méd. arg. (plantes nouvelles inédites).

[ocr errors]

Vernier (Clodomir), chez M. Charmeux, à Chomery (Seine-et-Marne). — Méd. arg. (Chrysanthèmes).

Vilmorin-Andrieux et Cie, 4, quai de la Mégisserie, à Paris. — 2 méd. d'honneur, offertes par M. le Ministre de l'Agriculture (Chrysanthèmes); 2 méd. or (Chrysanthèmes); méd, or (légumes); gr. méd. verm. et gr. méd. arg. (Chrysanthèmes).

Vouette (Auguste), horticulteur, à Issy (Seine). Gr. méd. verm. (plantes vivaces); méd. arg. (belle floraison).

CORRESPONDANCE

Ne soyez pas

M. X. P. (Seine-et-Oise). surpris de voir les Poinsettia pulcherrima paraître dans les boutiques des fleuristes avec une large rosette de bractées écarlates au sommet de plantes basses. Pour obtenir ce résultat, on bouture des sommités florales, tout simplement, et la plante fleurit, sans pousser les longs rameaux dénudés que vous vous plaignez de voir sur les sujets plantés dans votre serre chaude. Pour raccourcir et rajeunir vos plantes, vous n'avez qu'à procéder à ce bouturage à chaud des extrémités, et à jeter ensuite les vieux pieds.

[blocks in formation]
[blocks in formation]

M. J. S. (Gard). La production d'un grand nombre de grappes sur une seule treille, sur un seul cep, comme celle que vous signalez, n'a rien qui doive vous étonner. Vous avez compté 176 grappes sur un seul cep. Cette année, nous avons récolté nous-même, à Lacroix (Indre-et-Loire), le nombre peu commun de 230 grappes de Chasselas doré sur un seul pied de Vigne. Nous l'avons fait photographier pour le publier avec une description.

[merged small][merged small][merged small][ocr errors][merged small]

CHRONIQUE HORTICOLE.

CHRONIQUE HORTICOLE

559

Chrysanthèmes à fleurs simples.

[ocr errors]
[ocr errors][merged small]

l'origine de la greffe herbacée en serre. hirsuta.

[blocks in formation]

Le greffage dans la mousse. Herniaria glabra et Nourriture des Broméliacées. - Fructifica- Une Pêche tardive. - Poirier Docteur Joubert. Des grosses Poi

- Identité des Cattleya aurea et Dowiana. tion de l'Araucaria imbricata.

res.

[blocks in formation]

Prune tardive musquée.
Exposition de Chrysanthèmes à Montpellier.
Nécrologie: MM. F. Parkman, Gressent et John Waterer.

Les Chrysanthèmes à fleurs simples. Parmi les plantes qui ont été les plus remarquées à la dernière Exposition de Chrysanthèmes de la Société nationale d'horticulture de France, à Paris, se trouvaient quelques Chrysanthèmes à fleurs simples venus directement du Japon.

L'une de ces plantes était exposée par M. Baltet, de Troyes, et attirait les regards par ses ligules tordues, blanc jaunâtre, entourant un disque jaune.

Mais la collection de ce genre qui a paru la plus curieuse a été celle de M. L. Paillet fils, horticulteur à Chatenay (Seine).

Ces plantes proviennent également de graines d'origine japonaise. Nous avons eu le loisir de les étudier en détail et nous en donnerons prochainement la description, en attendant que les plantes soient nommées et mises au commerce.

Nous ne voulons aujourd'hui que signaler leur présence, et annoncer la prochaine mode des « Chrysanthèmes simples ». Elle n'est pas arrivée, mais elle arrive; on la sent dans l'air. Il y aura là une évolution dans le genre de celle des Dahlias simples; c'est fatal, nous pouvons le prophétiser avec

assurance.

[ocr errors]

des premiers. Les branches seront palissées d'une façon agréable. On pourra faire ces sortes de plantations au pied d'un mur déjà planté en espalier, arbres fruitiers ou Vignes. En cette saison, les feuilles étant à peu près tombées et le mur se trouvant dégarni, on ornera ainsi d'une façon nouvelle et tout à fait avantageuse ces parties du jardin qui n'offrent plus rien d'agréable à la vue.

Disposées de cette façon, les fleurs des Chrysanthèmes sont préservées facilement des gelées automnales au moyen d'un rideau de paillassons très-facile à établir, et que l'on peut placer et ôter à volonté.

On jouira en plein de cette floraison superbe, et l'on ornera d'une façon splendide les murs et les espaliers trop tôt dé

nudés.

Nous trouvons ce mode de culture signalé dans le Lyon horticole par une personne qui en a fait l'essai et qui déclare en avoir été des plus satisfaite; nos lecteurs pourront, l'automne prochain, expérimenter eux-mêmes les avantages qu'il présente, et juger de l'effet qu'il produit.

[blocks in formation]

Dès l'an prochain, nous verrons proba-signaler à nos lecteurs quelques variétés blement les Chrysanthèmes simples, c'està-dire à un ou deux rangs de ligules autour d'un disque central doré, faire leur apparition de divers côtés, en attendant leur triomphe et... leur déclin.

[merged small][merged small][merged small][merged small][ocr errors][merged small][merged small][merged small][merged small]
[blocks in formation]
[merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][ocr errors]

De l'origine de la greffe herbacée en serre. MM. Ketten frères, de Luxembourg, viennent, après diverses recherches, de découvrir que l'origine de la greffe herbacée en serre est française.

Quelques auteurs allemands avaient revendiqué cette innovation, soit pour les

Nous

Le greffage dans la mousse. avons déjà parlé plusieurs fois du greffage de la Vigne dans la mousse. On ne saurait trop insister sur ce mode de multiplication qui est excellent, s'il ne date pas d'hier. Nous apprenons que M. Cruzel (Théodore), du Lot-et-Garonne, qui a expérimenté ce procédé, a réussi au-delà de ses espérances.

Sur 1,000 plants opérés, 950 se sont parfaitement soudés, et les sarments ont atteint un développement moyen de 2 mètres.

Ce résultat est des plus intéressants et amènera certainement un grand nombre de greffeurs à user également du même procédé.

Il est à souhaiter que de semblables essais soient faits pour d'autres plantes de nos jardins et de nos serres; ils amèneraient, sans doute, d'heureuses innovations

et rendraient des services à l'horticulture.

Herniaria glabra et hirsuta. - Les

horticulteurs allemands, soit pour les horti-journaux horticoles belges, d'après de ré

culteurs luxembourgeois, mais sans, toutefois, pouvoir donner de preuves satisfaisantes à l'appui.

MM. Ketten frères ont trouvé la description des procédés primordiaux de cette multiplication, dans des documents publiés à une date où ni l'Allemagne, ni le Luxembourg, ni probablement même l'Angleterre, n'avaient des horticulteurs s'occupant de la multiplication forcée du Rosier.

Le document principal est un catalogue de 1845-1846 du plus ancien des rosiéristes, M. J.-P. Vibert; on y trouve un article critique sur la greffe forcée du Rosier dans lequel il est dit: « Comme il n'y a plus d'indiscrétion maintenant, je peux répéter les noms des horticulteurs qui ont indiqué les procédés de multiplication que j'énonce ici; ce sont MM. Paillet, Margottin, Berger, Lévêque et Jamin fils, de

Paris. »

Donc, en 1845, la greffe herbacée forcée était déjà pratiquée par les horticulteurs parisiens. Comme M. Vibert, qui était un homme instruit et ayant déjà une longue pratique, aurait connu et cité les autres horticulteurs français et étrangers qui pratiquaient également ce mode de multiplication s'il y en avait eu, il résulte que la greffe herbacée en serre est bien d'origine française.

Voilà qui fait honneur à nos rosiéristes.

cents articles, croient avoir été les premiers à préconiser les Herniaria comme plantes d'ornement pour bordures ou parterres pendant l'été. Nous en avons, cependant, à plusieurs reprises, parlé dans la Revue horticole en reconnaissant à ces

plantes les mérites qu'elles peuvent offrir pour nos jardins.

Nous rappellerons que l'on peut s'en servir avec succès dans la mosaïculture, pour former des bordures, des petits gazons, des fonds de parterre, où les Herniaires conservent toujours la plus grande régularité de végétation. Leur résistance aux grandes sécheresses ajoute encore à ces qualités, car on peut les employer à tapisser et couvrir de verdure les rocailles

desséchées.

Identité des Cattleya aurea et Dowiana. Une opinion que nous avions déjà émise, il y a quelque temps, vient d'êre renforcée par un fait signalé dans le Gardeners' Chronicle.

Nous avions prétendu que les Cattleya aurea et Dowiana sortaient d'une seule et même espèce.

Le journal anglais signale l'exemple d'un C. aurea ayant sur une inflorescence deux fleurs, l'une rappelant le C. Dowiana, aux sépales pourprés et aux veines dorées si caractéristiques du labelle; l'autre, le C. aurea, dont les sépales ne présentent aucune trace de pourpre et dont les veines

CHRONIQUE HORTICOLE.

dorées des côtés du labelle s'élargissent jusqu'au moment où le pourpre dispa

raît.

C'est ce qui nous prouve que ces deux variétés ne sont que deux formes d'une même espèce.

Nourriture des Broméliacées.-M. Chevalier, jardinier-chef au Jardin botanique de Liège, où il cultive la superbe collection de Broméliacées autrefois réunie par notre ami Édouard Morren, et qui ne cesse de l'enrichir, reecommande pour la culture de la plupart de ces plants, l'emploi des petites mottes et des feuilles qui restent après avoir tamisé la terre de bruyère. Les Broméliacées qui, comme les Nidularium, Billbergia, Achmea, Tillandsia, etc., n'exigent que peu ou pas de nourriture aux racines, se trouvent fort bien de ce sol factice.

Fructification de l'Araucaria imbricata. Notre collaborateur, M. F. Sahut, horticulteur à Montpellier, possède dans ses pépinières de grands Araucaria imbricata, sur lesquels des cônes femelles se montrent depuis le printemps dernier.

Nous signalons ce fait, qui est assez commun en Bretagne, mais rare dans le Midi, où l'on n'avait constaté, jusqu'à présent, que la fructification des A. excelsa et Bidwilli dans la région niçoise, mais non celle de l'espèce chilienne, qui n'y prospère pas aussi bien que dans nos provinces maritimes de l'Ouest de la France.

Une Pêche tardive. — M. J. Laperrière

signale, dans le Lyon-Horticole, une Pèche très-tardive appelée Tardive du Montd'Or.

Ce fruit, dit-il, reste sur l'arbre jusque vers la fin d'octobre. On le cueille lorsque les premiers froids se font sentir, et il se conserve, dans le fruitier, jusqu'à la findécembre où il finit de mûrir.

Cette variété est donc à ajouter aux collections de Pêchers pour prolonger la jouissance de ces beaux et bons fruits.

Nous avons déjà, comme Pêches très-tardives, les variétés Salway et Belle de SaintGeslin qui vont jusqu'à la Toussaint; il sera bon de les comparer à la nouvelle venue.

[blocks in formation]

561

C'est un arbre vigoureux, très-fertile, que l'on pourra greffer sur franc ou sur Cognassier.

Le fruit est assez gros, bien fait, pyriforme ventru. Le coloris, vert clair passant au jaune paille, est ponctué fauve et éclairé de rose au soleil.

Chair fondante; eau abondante, d'un goût sucré, relevé d'un parfum agréable.

Nous reproduisons naturellement cette description de l'éditeur de cette nouveauté. Cependant, cet arbre nous paraissant présenter des avantages sérieux, nous tenons à le signaler à nos lecteurs.

M. Burvenich

Des grosses Poires. rappelle, dans le Bulletin d'arboriculture de Gand, qu'il existe un préjugé, assez répandu, d'après lequel les grosses Poires sont généralement mauvaises. C'est une erreur. Cela vient que l'on a jugé par comparaison avec les anciennes variétés de Poires d'un gros volume qui n'avaient, en effet, d'autres mérites que leur dimension

colossale et dont on se servait surtout comme fruit d'apparat.

Les exemples ne manquent pas, de Poires volumineuses dont la bonté et la saveur ne le cèdent en rien aux variétés moins grosses. lême, Souvenir du Congrès, Directeur Telles sont Williams, Duchesse d'AngouAlphand, Fondante des bois, Beurré d'Arenberg, Beurre Clairgeau, etc. Dumont, Triomphe de Jodoigne, Colmar

Il est même à remarquer que, chez toutes ces Poires, la qualité est en raison directe les plus gros sont toujours les meilleurs. de leur grosseur, c'est-à-dire que les fruits Ceci se comprend surtout pour les fruits à chair graveleuse. Dans les petits fruits les concrétions sont abondantes, tandis que dans les gros les granulations sont noyées dans une quantité double et triple de chair.

1

La Prune Prune tardive musquée. Tardive musquée, dont nous avons parlé dans notre dernière chronique, a été obtenue de semis vers 1855, par Lyé-Savinien Baltet, et mise au commerce par ses fils, MM. Baltet frères, horticulteurs à Troyes, en 1859.

Le Congrès pomologique de France l'a admise parmi les fruits recommandables, et notre collaborateur, M. O. Thomas, dans son Guide pratique de l'amateur de fruits, la classe dans la première série de mérite, avec cette mention : « A notre avis,

[blocks in formation]

la meilleure Prune d'arrière-saison; elle | bousier (Arbutus Unedo et laurifolia), se recommande, en outre, par sa matura- l'Opuntia et la Fougère mâle (Polystichum tion lente et prolongée. >> Filix-mas).

[ocr errors][merged small]

A propos de la disette de fourrage.

La disette de fourrage que nous avons subie cette année, et que nous subissons encore malheureusement, a soulevé et mis à l'étude quantité de projets tendant à employer comme fourrage divers végétaux ligneux ou herbacés.

Après la « Sacaline », voilà M. Ch. Baltet, horticulteur à Troyes, qui recommande, dans le Journal d'agriculture pratique, le Peuplier de Caroline (Populus angulata), beau et grand arbre à développement rapide. Ses feuilles sont deux ou trois fois plus grandes que celles du Peuplier de Virginie ou Peuplier « Suisse ». Il reste couvert de verdure à l'automne quand les autres Peupliers sont déjà complètement dépouillés. Les premiers froids seuls font tomber ses feuilles.

Les essais fourragers du Peuplier de Caroline ont été tentés, avec un succès complet, dans les étables de la ferme de la Planche, appartenant à M. G. Huot, président du Comice agricole de l'Aube.

M. Doûmet-Adanson a présenté à ses collègues, dans une des dernières séances le la Société d'agriculture de l'Allier, comme échantillon de fourrage sec, une autre espèce de Polygonum (P. cuspidatum ou Sieboldi) du Japon.

Les animaux en mangent également les feuilles, mais l'abondance du fourrage que l'on constate dans la Sacaline n'atteindra pas, à beaucoup près, les mêmes proportions dans la Persicaire de Siebold.

M. L. Grandeau indique, dans le Journal d'agriculture pratique, la composition de trois plantes abondantes dans les régions méridionales, notamment en Corse, et qu'il croit appelées à rendre de réels services pour la nourriture du bétail.

Des essais d'ensilage de Fougères ayant été faits ont, paraît-il, donné les meilleurs résultats, et le bétail, qui dédaignait la Fougère à l'état vert et sec, s'est montré avide de la Fougère ensilée.

Il est donc bon d'attirer l'attention sur ces divers moyens de parer au manque de fourrages, et sur les bons résultats que des personnnes intelligentes sont parvenues à obtenir.

[merged small][ocr errors][merged small][merged small]

Du 1er au 7 mai;
Du 7 au 13 juin;
Du 12 au 18 juillet;
Du 4 au 10 août ;
Du 11 au 17 septembre;
Du 20 au 26 septembre.

Les demandes d'admission devront être adressées six semaines au moins avant la date fixée pour l'ouverture de chaque concours à M. J. Claret, concessionnaire général de l'Exposition, palais Saint-Pierre, à Lyon.

Le succès de l'horticulture à cette Exposition se présente déjà comme assuré. Les demandes d'exposants affluent; aux 10,000 fr. de subvention que le Comité a obtenu du Conseil général, sont venus s'a

Ces végétaux sont les feuilles d'Ar- jouter les 8,000 fr. que la Chambre de

« ZurückWeiter »