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CHRONIQUE HORTICOLE

Exposition universelle de 1900. formations au Ministère de l'agriculture. Concours général agricole en 1891. pressoir, et marcs de Poires et Pommes. sur Anthemis frutescens.

La Commission horticole de l'Exposition de 1900. Le service d'inVisite du Ministre de l'agriculture aux serres de Bailleul. Jardin botanique de Buenos-Aires. Emploi des fruits de Un nouvel ennemi de la Vigne. - Chrysanthèmes greffés Chrysanthème nouveau Madame Garbe. Rosa rugosa Regeliana, — Prune Kanawa. Bouturage du Mina lobata. Prune tardive musquée.· le midi de la France. Rosiers nouveaux. Hybride d'Aubergine et de Tomate. Expositions diverses.

ticide. d'Or.

- Exposition universelle de Lyon en 1894.
Nécrologie: MM. Paul Giraud et Madelain.

Exposition universelle de 1900.- La commission chargée de donner son avis sur l'emplacement de l'Exposition universelle de 1900 s'est prononcée à l'unanimité pour le Champ-de-Mars. L'Exposition embrassera non seulement le Champ-de-Mars, le Trocadéro, le quai d'Orsay et l'Esplanade des Invalides, comme en 1889; elle comprendra, en outre, le Palais de l'Industrie des ChampsÉlysées, le Cours-la-Reine et le quai de la Conférence, qui seront reliés à la rive gauche de la Seine par un large pont en face de l'hôtel des Invalides. Elle aura ainsi, d'après les évaluations de M. Bouvard, directeur des services d'architecture, une surface de plus de cent hectares, largement suffisante pour toutes les installations.

M. Eug. Tisserand, conseiller d'État, directeur de l'agriculture, est délégué, sous l'autorité du commissaire général de l'Exposition universelle de 1900, pour organiser, dans la section de l'agriculture, les expositions particulières de l'administration centrale et des établissements qui en dépendent. L'organisation de l'exposition de l'agriculture ne pouvait être remise en de meilleures mains.

La Commission horticole de l'Exposition de 1900. La Société nationale d'horticulture de France a pris l'initiative de la nomination d'une Commission chargée des études préparatoires de la section horticole à l'Exposition universelle de 1900. Les instigateurs de cette idée ont eu pour but de provoquer d'abord une consultation générale de l'horticulture française sur l'emplacement futur de l'Exposition horticole. Des propositions avaient déjà été faites qui tendaient à installer l'horticulture à Vincennes, ou à Versailles, ou sur tout autre terrain que le cœur même de la grande Exposition du siècle. C'est cet ordre d'idées qu'il s'agit d'abord de combattre.

1er DÉCEMBRE 1893.

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La Commission, dont nous avons l'honneur de faire partie, a donc été convoquée et s'est réunie jeudi 23 novembre, à trois heures et demie du soir, à l'hôtel de la Société nationale d'horticulture, 84, rue de Grenelle, à Paris, sous la présidence de M. Vitry. Après quelques communications préparatoires, l'assemblée a voté la convocation de la Commission pour le jeudi 14 décembre, à l'effet de procéder à la nomination de son bureau.

Nous ferons connaître à nos lecteurs ce qui se passera à cette séance, et nous publierons, à cette occasion, la liste des membres de la Commission.

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Visite du Ministre de l'agriculture aux serres de Bailleul. A l'occasion de son dernier voyage à Douai, M. Viger, ministre de l'agriculture, accompagné de M. Eug. Tisserand, directeur de l'agriculture, du préfet du Nord et d'autres hauts fonctionnaires, a visité, le 13 novembre, les magnifiques serres à Vignes que notre collaborateur, M. Anatole Cordonnier, a installées à Bailleul (Nord), et qui sont maintenant en plein rapport.

Les visiteurs ont beaucoup admiré les Vignes sous verre, où plus de 6,000 grappes de Raisins se trouvaient à divers états de maturité, et qu'ornaient également de véritables gerbes de Chrysanthèmes en fleurs.

Les serres de M. Cordonnier couvrent aujourd'hui une surface de près de 3 hectares; c'est une véritable usine à Raisins, à production régulière et de premier choix. Aussi le Ministre et les personnes qui l'ac

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Concours général agricole en 1894. Nous apprenons que le Concours général agricole en 1894 se tiendra à Paris, du 22 ́ au 31 janvier 1894, au Palais de l'Industrie.

Comme précédemment, l'horticulture y sera largement représentée et l'on nous assure qu'elle y aura, cet hiver, une importance plus grande que d'ordinaire.

Jardin botanique de Buenos-Aires. Notre collaborateur, M. Charles Thays, directeur des promenades publiques de Buenos Aires (République Argentine), vient d'achever l'installation du Jardin botanique de cette ville. C'est une œuvre importante, bien conçue, dont nous publierons prochainement le plan.

M. Thays vient d'adresser aux directeurs des jardins botaniques du monde entier, une circulaire leur proposant de faire avec lui des échanges de plantes et graines de la Flore argentine contre des végétaux de Teurs collections, destinées à l'ameublement végétal du nouveau jardin. Le climat de la République Argentine, dans cette région du rio de la Plata, est à peu près celui de la région de l'Oranger, et il est éminemment favorable à la culture des plantes de nombreuses contrées tempérées du globe.

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Emploi des fruits de pressoirs et marcs de Poires et de Pommes. A la séance du 25 octobre dernier de la Société nationale d'agriculture de France, il a été présenté un mémoire de M. Houzeau sur ce sujet.

En raison de l'abondance exceptionnelle des Poires et des Pommes à cidre, M. Houzeau recommande de faire du cidre pur qu'on pourra conserver plusieurs années, de sorte que l'on pourrait vendre les Pommes qu'on récolterait en 1894-1895.

Les cultivateurs auront, cette année, grand avantage dans bien des cas à distiller au moins une partie de leur cidre pur. Le rendement des cidres purs en eau-devie dépend naturellement de la force alcoolique initiale de ces cidres; il varie entre 9 et 12 p. 100 d'une eau-de-vie de 55 à 60 degrés.

M. Houzeau conseille encore aux cultivateurs de convertir les Pommes en vinaigre,

opération facile qui leur permettra d'obtenir du vinaigre à très-peu de frais. On provoque la fermentation acétique du cidre en y mettant un peu de mère de vinaigre ou de vieux levain de boulanger.

Enfin, M. Houzeau fait encore connaître les avantages que l'on peut retirer de l'emploi des marcs de Pommes et Poires épuisés pour l'alimentation du bétail.

Il peut, associé avec d'autres aliments, compenser dans une certaine mesure le manque de fourrage.

Un nouvel ennemi de la Vigne. Un nouvel ennemi de la Vigne vient de se montrer dans un terrain d'alluvions sableuses de la Loire, près de Varades.

On a constaté, sur les bourgeons de jeunes boutures américaines, la présence d'insectes au nombre de 5, 6 et quelquefois 10 par bourgeon, formant de de véritables boules de la grosseur d'un petit Pois. Les bourgeons de la partie souterraine étaient également attaqués.

On a reconnu dans cet insecte un Planiule, petite bestiole très-nuisible aux Fraisiers, Salades et autres plantes délicates, mais qui n'avait encore jamais été signalée comme s'attaquant à la Vigne.

Les sables d'alluvions de la Loire étant très-employés pour la multiplication de la Vigne, il est à craindre que le Blaniule ne dévaste les pépinières dont les plants seront ainsi à sa merci. On pense qu'un arrosage avec une solution de sulfo-carbonate de potasse sera suffisant pour se débarasser de cet insecte.

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A l'Exposition de Chrysanthèmes organisée le 12 novembre par la Société Royale de Flore et la Société Royale Linnéenne de Bruxelles, le public a pu admirer un phénoménal exemplaire de la variété Val d'Andorre, greffée sur Anthemis frutescens. Il mesurait 2m75 de diamètre et comptait 783 fleurs ! Cette gigantesque plante a été obtenue par M. Alexis Callier, de Gand, qui a introduit en Europe la méthode du greffage susdit. Il a fallu un wagon spécial pour transporter ce géant de Gand à Bruxelles. Arrivée au local de l'Exposition, la plante n'a pu être amenée à la place qu'elle devait occuper qu'au prix des plus grands efforts: des portes ont dû être démontées! La plante était vraiment superbe; elle formait un gigantesque et imposant bouquet fleuri.

A l'Exposition de Chrysanthèmes organisée,

CHRONIQUE HORTICOLE.

à la même date, par la Société Royale d'agriculture et d'horticulture d'Anvers, trois spécimens greffés ont été présentés. Le premier, la variété La Triomphante, mesurait 2 m 50 de diamètre plus de 450 fleurs en formaient un éblouissant bouquet; le second, Étoile de Lyon, de 1 mètre 25 centimètres, avait une centaine de fleurs, dont une trentaine de 18 à 20 centimétres de diamètre; toutes ces fleurs étaient d'un rose ultra-foncé: est-ce l'influence de la greffe combinée à celle de la lumière qui a produit cet effet? C'est ce qu'on ne saurait démêler encore. Ces deux superbes spécimenplantes appartenaient à M. Jean Everaerts. Un autre amateur, M. Henry Vanderlinden, avait réussi à obtenir un très bel exemplaire de Val d'Andorre, et M. H. Lunden, un de Rose Sibours.

Les amateurs belges se préparent à la culture des greffages pour l'Exposition universelle d'Anvers de 1894, qui se clôturera par une Exposition Internationale de Chrysanthèmes.

Mentionnons l'immense succès obtenu aux

deux Expositions susdites par M. Calvat, de Grenoble, avec ses admirables nouveautés se distinguant autant par les superbes coloris que par les dimensions exceptionnelles.

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Rosa rugosa Regeliana. — Cette magnifique variété fleurit en gros bouquets multiflores, au lieu de donner des pédoncules uniflores ou pauciflores comme le type. Quand nous l'avons publiée, en 1871', un botaniste qui s'est acquis une grande réputation dans la description et la classification. des Roses, M. Crépin, n'a pas même voulu y voir une variété du Rosa rugosa. Cette manière de voir était celle de quelqu'un qui ne connaissait pas la plante. Depuis 1871,

1 Rosa rugosa Regeliana, Ed. André, in Illustration horticole, 1871, p. 11, et 1872. p. 59 (double folio 43).

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nous la cultivons à côté d'autres formes de cette espèce, et toujours elle est restée constante dans sa floraison en gros corymbes de magnifiques fleurs simples, rouge pon

ceau.

Dans le numéro du 1er septembre du Gartenflora, pp. 537 et 539, une figure et une description en sont données d'après des échantillons fleuris et fructifiés dans le jardin de M. Spath, à Rixdorf, près Berlin, qui a conservé le nom de Regeliana que nous avons donné à cette belle plante et qui la distingue des autres variétés.

Prune Kanawa. M. Bruant, horticulteur à Poitiers, et M. Croux, horticulteur à Sceaux, nous ont envoyé des fruits et des rameaux de cette variété japonaise qui a fructifié chez eux pour la première fois. Cette Prune étrange, qui rappelle le Myrobolan par sa belle couleur rouge, et qui a des feuilles de Cerisier ou de Pêcher, est une véritable curiosité.

En attendant que nous donnions une description complète de l'arbre et de ses fruits, nous en recommandons la culture, même comme arbre fruitier. En effet, ses

jolis fruits, semblables à de grosses Cerises, offrent une saveur toute particulière. « C'est une marmelade parfumée, renfermée dans un parchemin rouge, » dit M. Bruant. M. Croux trouve plutôt que c'est le goût d'une Groseille à Maquereau bien mûre, et nous sommes assez de son avis.

Toujours est-il qu'il faut déguster ces Prunes japonaises seulement lorsque la pulpe forme une marmelade enfermée dans une peau très-ferme; c'est alors seulement que leur parfum est entièrement développé, et que leurs fruits peuvent plaire aux personnes qui aiment des fruits trèsaromatisés.

Bouturage du Mina lobata. - C'est à M. Ém. Mouillère, jardinier en chef au château de Fréchines, par La Chapelle-Vendômoise (Loir-et-Cher), que l'on doit le succès que nous avons indiqué dans le bouturage de cette jolie plante grimpante.

M. Mouillère a fait récemment de nouvelles boutures, qui ont tout aussi bien pris que les premières, en laissant toujours. ses boutures munies d'un talon. Il compte 80 p. 100 de boutures reprises.

Dans cette nouvelle expérience, il a constaté qu'il ne faut pas bouturer le Mina à l'étouffée. Si l'on agissait ainsi, les boutures continueraient à s'allonger pendant quelques

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jours, s'épuiseraient et finiraient par périr | Kong. Entièrement nouveau pour nos jarsans former de racines. dins.

Nous rappelons qu'il ne faut bouturer que les pieds bien florifères.

Prune tardive musquée. Cet excellent fruit, qui pourrait presque être égal à la Reine-Claude violette comme forme, grosseur et saveur, est digne de toute recommandation. Nous venons d'en recevoir des échantillons de M. Croux, du Val d'Aulnay, qui ne laissent aucun doute sur ses hautes qualités et qui motivent une recommandation toute spéciale.

En voici la description:

Pédoncule fin et ferme, un peu arqué, long❘ de 15 à 18 millimètres. Drupe subsphérique ou un peu ovoïde, régulier, 4 centimètres de long sur 35 millimètres de large, légèrement déprimé au sommet, sans mucron apical, à cavité pédonculaire étroite; peau fine violet foncé à reflets violacés, fortement pruineuse, quittant bien la chair, qui est jaune verdâtre, transparente; eau abondante, sucrée, parfumée, savoureuse. Noyau ovale comprimé inéquilatéral, long de 20 à 22 millimètres, large de 15 millimètres, brun-rougeâtre clair, très-fortement caréné et sillonné rustiqué.

Nous conseillons fortement la culture de la Prune Tardive musquée, qui paraît un fruit de premier ordre, encore trop peu répandu.

Deux Palmiers pour le midi de la France. Nous tenons de M. Charles Naudin, de la villa Thuret, à Antibes, les très-intéressants détails suivants sur deux

Palmiers qui seront de précieuses acquisitions pour notre zone littorale méditerranéenne.

Voici ce qu'en dit M. Naudin:

J'ai reçu récemment des graines de deux Palmiers, de la Chine méridionale (HongKong), où, de loin en loin, on fait connaissance avec la neige et la gelée. C'est dire que nos deux nouveaux Palmiers seront tout acclimatés en Provence. Je vous en enverrai des graines (pas beaucoup), comptant sur votre habileté de semeur et sur votre bon outillage. Ces deux Palmiers sont:

1o Phoenix humilis, le même que j'ai cultivé à Collioure avec le plus grand succès, et dont j'ai souvent parlé sous le nom de Ph. Hanceana, qui rappelle celui de qui je tenais la graine. Ce nom d'humilis vaut ce qu'on voudra, dans un groupe de Palmiers où tout le monde s'embrouille.

2o Le Caryota ochtandra, du docteur Hance, jadis consul d'Angleterre à Hong

Pour le Phoenix humilis, nous le connaissions déjà par quelques forts exemplaires, toujours très-rares, que l'on voit de loin en loin dans la région niçoise, où leur port nain et leurs jolis fruits produisent de très-agréables effets. C'est donc avec grand plaisir et un vifintérêt que nous le verrons se propager.

Mais pour le Caryota, c'est bien autre chose. Aucune espèce appartenant à ce genre n'a pu être essayée jusqu'à ce jour avec succès dans notre Midi. Toutes sont originaires de Java, des Philippines ou de l'Inde, moins le C. mitis que l'on dit de la Chine; ce sont donc presque toutes des plantes de serre chaude. Si réellement le C. ochtandra tient ses promesses, ses curieuses feuilles « prémorses », obliquement rangées au bord, produiront l'effet le plus pittoresque et le plus ornemental.

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CHRONIQUE HORTICOLE.

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Exposition universelle de Lyon en 1894. Nous apprenons avec plaisir que M. Francisque Morel, architecte-paysagiste de la région lyonnaise, a reçu le premier prix à la suite du concours ouvert à Lyon pour la transformation en jardin d'exposition des terrains concédés.

Nous applaudissons avec d'autant plus de satisfaction le choix du Comité organisateur, que nous avons eu le plaisir d'avoir autrefois M. F. Morel pour élève, et que le succès qu'il vient de remporter aujourd'hui, après les travaux importants qu'il a déjà exécutés, est une consécration précieuse de son talent.

Expositions diverses. L'Exposition de Chrysanthèmes, tenue à Grenoble cet. automne, a pleinement réussi.

Il convient de citer les semis et le lot de fleurs splendides de M. Calvat, auquel a été décerné le prix d'honneur; les semis trèsremarquables de M. Crozy (médaille d'or); ceux non moins beaux de M. Parent, de Chambéry (médaille de vermeil offerte par le Ministre de l'agriculture).

Cette Exposition a révélé des plantes de premier ordre et surpassé celles que l'on voit d'ordinaire comme grosseur de fleurs, choix de variétés et perfection du culture.

M. Dallé, l'horticulteur bien connu, a organisé dans ses serres de la rue PierreCharron, no 29, une exposition qui restera ouverte jusqu'au 5 décembre. Elle comprend des Chrysanthèmes nouveaux, des plantes de serres et d'appartements et une remarquable collection d'Orchidées.

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Dahlia Perle de la Tête-d'Or. Nous signalons à nos lecteurs une nouveauté qui paraît être d'un grand mérite. Le Dahlia Perle de la Tête-d'Or réunit toutes les qualités d'une « bonne plante ».

Fleur blanc pur, très-frais; pédoncule long et ferme, soutenant la fleur verticalement; feuillage ample; port compact.

Cette jolie plante, due aux semis de M. Chrétien, l'habile chef des cultures florales du parc de la Tête d'or, à Lyon, a été appréciée cette année de tous les visiteurs.

Nécrologie: M. Paul Giraud. - Notre collaborateur, M. Paul Giraud, est décédé à Saint-Barnabé (Marseille), entouré de sa nombreuse et respectable famille.

L'étude et l'amélioration des cultures fruitières ont occupé la plus grande partie de son existence; observant et notant tout avec une grande sagacité et un esprit pratique, il regardait comme un devoir de faire connaître à ses concitoyens le résultat de ses patientes études.

Sa vie a été un labeur continuel; il aimait avec passion la nature, et tout ce qui touche aux travaux des champs l'intéressait.

Dès le début de l'invasion phylloxérique, il fut un des premiers à étudier la lutte contre le fléau, et à employer le sulfure de carbone pour sauver sa collection de Vignes.

Depuis quelques années, il avait sérieusement étudié les diverses variétés de Vignes américaines, dont une, justement appréciée, porte son nom.

Nous perdons en lui un excellent collaborateur et un ami éprouvé, dont le souvenir restera gravé profondément dans notre mémoire.

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