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EXEMPLE DE COMBINAISONS FLORALES POUR CORBEILLES OU PLATES-BANDES.

de Koeniga maritima fol. var. du côté du gazon, et de Fuchsia Sunray du côté du chemin. C'est un mélange charmant, ainsi que la grande corbeille en face, composée de Begonia ascottiensis, B. Berthe de Château-Rocher, B. Sermèse, entourés de Centaurea candidissima, puis d'Achyranthes Verschaffelti compacta très-noirs, d'un rang de Gnaphalium lanatum fol. var. et d'une bordure externe de Lobelia.

Voici, pour une pointe rectangulaire, une forme intéressante (fig. 170); elle est garnie de Pelargonium peltatum Madame Crousse et Albert Crousse et bordée de P. Bijou alternant avec des Begonia semperflorens elegans.

Citons encore un mélange très-réussi de Pelargonium Mistress Straug (qui remplace très-avantageusement le difficile Mistress Pollock) et de Lobélias bleus bordés d'Alternanthera aurea.

Dans l'intérieur du Jardin, nous voyons un joli mélange de Calcéolaires et de Pelargonium Destinée entourés de Coleus l'Été, à nervures rouge violacé sur fond jaune; puis, une belle corbeille de Begonia Vernon entremêlé de B. semperflorens rosea et alba et bordée de B. semperflorens elegans.

Comme bordure à un mélange de Pelar

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| gonium à fleurs rouges et de Pelargonium à fleurs blanches, nous remarquons un rang de Petunia phoenicea. La couleur rouge violacé des fleurs se marie bien avec le reste; aussi, nous avons toujours apprécié son emploi. Nous en avons vu jadis de charmantes combinaisons avec des Anthemis Étoile d'or, et regrettons que cette plante soit un peu délaissée.

Pour terminer notre revue, il nous reste à mentionner la garniture du grand parterre, devant la volière. La partie carrée du centre est garnie de Pelargonium Victor Millot entouré d'Ageratum mexicanum Tom Thumb, et bordée de Pelarg. Saleron à petites feuilles panachées, laciniées, alternant avec des P. Harry Hiower; les quatre angles sont plantés de P. Madame Thibaut, et, sur toute la longueur, on a distancé des Canna Geoffroy Saint-Hilaire, l'une des plus belles variétés récentes.

Les deux rectangles, sur le côté, sont garnis de Pelargonium Madame Colson, de couleur saumon, et entourés d'Ageratum Noémi, à fleurs roses.

Aux quatre angles, le beau Pelargonium Guillon Mangilli.

La bordure est la même que celle employée au carré du milieu. E. BRUNO.

EXEMPLE DE COMBINAISONS FLORALES

POUR CORBEILLES OU PLATES-BANDES

Dans un précédent numéro de la Revue horticole1 nous avons indiqué les principales variétés de plantes qui nous avaient le plus généralement servi à la composition de nos corbeilles. Nous donnerons aujourd'hui, à titre d'exemples, quelques combinaisons diverses pour corbeilles en plates-bandes, dont l'effet nous a paru satisfaisant.

Je ferai observer que la plupart de ces combinaisons ont été effectuées sur de grandes corbeilles et peuvent s'appliquer à de vastes plates-bandes. Pour ces dernières, il suffit d'ajouter dans la ligne médiane des groupes de plantes à feuillage, tels que Cannas à grandes fleurs ou autres plantes plus élevées, distancées à tous les 3 à 4 mètres afin de rompre l'uniformité de la longueur.

PREMIÈRE COMBINAISON. Pelargonium Paul Neyron, alternant avec P. Madame

1 Voir Revue hortcole, 1893, page 479.

de la Chevrelière, intercalés de Begonia Vernon, Iresine acuminata, Centaurea candidissima, Calcéolaire Triomphe de Verrières, Ageratum Lapis demi-nain bleu.

Les plantes à feuillage forment des points ou taches en opposition; le jaune fait opposition au bleu, le rouge au blanc, tout en tenant compte du port des plantes afin d'obtenir un ensemble harmonieux. Avec du goût, du tact et un peu d'expérience, on discernera de suite l'emplacement qu'occupera chaque plante, afin d'obtenir l'effet désiré. Cette corbeille peut se border par deux tours d'Iresine Souvenir de l'Exposition, à feuillage très-large, rouge cramoisi transparent, lequel se détachera. vigoureusement sur le feuillage vert des plantes à fleurs, puis s'entourer d'une bordure de Gnaphalium aureo variegatum, lequel sera crocheté et tenu pincé pendant la belle saison.

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EXEMPLE DE COMBINAISONS FLORALES POUR CORBEILLES OU PLATES-BANDES.

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DEUXIÈME COMBINAISON. - Pelargonium | nifolia mélangé de Statice Armeria et de Monsieur d'Aostis ou Comtesse Lejeas, fleur rose violet intense très-florifère, alternant avec Ageratum Perle blanche deminain, fleur se tenant bien au-dessus du feuillage ou alternant avec le P. Avalanche, | à fleur blanche simple intercalé d'Iresine acuminata, Begoniaas cottiensis ou Berthe de Châteaurocher, Centaurea candidissima, Lantana Mademoiselle Lili, fleur rose pur sans mélange, et Pelarg. Madame Thibaut, semi-double, rose vif.

Cette corbeille pourra se border avec quatre rangs d'Alternanthera tricolor ou A. amœna, et deux tours de Pyrethrum aureum selaginoides, à port nain. Cette combinaison différera entièrement de la précédente; le bleu et le jaune ayant été supprimés, le contraste sera parfait en tous points par la teinte rose violacé variée, dominante, relevée de blanc.

TROISIÈME COMBINAISON. Bégonias tubéreux erecta, race érigée à grandes fleurs en mélanges de rouges, blancs, roses, saumonés et jaunes, bordés du Bégonia Bruanti alba et cerclé de deux tours du Bégonia subpeltata à feuillage violacé, à fleurs roses, très-rustique à mi-ombre.

QUATRIÈME COMBINAISON. Bégonias tubéreux erecta à grandes fleurs rouges de même nuance, intercalés de fortes plantes de Centaurea candidissima entre lesquelles seront intercalées, tous les 80 centimètres, des jeunes plantes d'Acacia lophantha ou Abutilons à feuillage panaché, lesquelles seront réparties pour ne pas former confusion en donnant accès à l'air et au soleil. Cette corbeille pourra se border par le Bégonia semperflorens nain blanc on un Pélargonium nain blanc panaché, ou encore par la variété de Lantana très-nains Farandole, jaune foncé doré.

CINQUIÈME COMBINAISON. Begonias frutescents en mélange, en tenant compte des variétés les plus haut placées dans le centre et en faisant donner les variétés à fleurs blanches intercalées du Lobelia cardinalis Queen Victoria à feuillage pourpre et à fleur rouge vermillon. Cette corbeille pourra se border par le Gnaphalium microphyllum crocheté et pincé pendant la belle saison. Il sera facile de faire des combinaisons d'une seule variété des Bégonias indiqués dans la liste des frutescens, bordés avec une plante quelconque, légère cependant, qui s'harmonise avec le port des Bégonias.

SIXIÈME COMBINAISON. Bégonia rici

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Bégonia semperflorens blancs et roses,
bordé du Bégonia Vernon en double tour
ou du Bégonia Victor Lemoine.
SEPTIÈME COMBINAISON.
Salvia In-
génieur Clevenad ou S. précoce Bruant,
intercalé de touffes de Gaura Lindheimeri,
bordés d'un rang d'Agératums demi-nains
bleus Lady Matheson, d'un rang d'Agéra-
tums nains bleus et de deux tours du
Chrysanthemum coronarium Aurora ou
de l'Eillet-d'Inde nain simple Légion-

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race Bruant demi-nain, à grandes ombelles bleu foncé alternant avec des Lantanas variés à fleurs rouges et jaunes et jaune pur, demi-nains comme port de plantes et forme de fleurs. Ces deux plantes sympathisent entièrement; leurs couleurs, diametralement opposées, forment des contrastes éclatants. On pourra, tous les 60 à 80 centimètres, intercaler des Montbretia Pottsii à fleurs orangé rouge, qui émergeront au-dessus des autres plantes et allègeront en quelque sorte l'ensemble un peu rigide et compact de celles-ci. L'on pourra entourer cette corbeille par une variété de Pélargoniums à feuillage panaché blanc ou bronzé ou une variété de Pélargoniums nains à fleurs rouges, tels que Tom-Pouce, Destinée, Étincelle, Mademoiselle Lili, alba

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LES GENTIANES VIVACES.

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pectivement et intercalés de Cannas à grandes fleurs, en plaçant les grandes variétés dans le centre et en graduant en venant sur les bords, avec bordure d'un tour de Bégonias discolor, cerclée de deux tours de Bégonia Bruanti blanc ou corbeille de Cannas à grandes fleurs distancés, intercalés de Bégonia ricinifolia, Gaura Lindheimeri, bordé en Pélargoniums Paul-Louis Courier, Agératums nains bleus et illet d'Inde pulchra nana à fleurs doubles et par taches de chaque variété formant opposition en bordure de 50 centimètres au moins.

Toutes les plantes désignées dans ces combinaisons sont franchement remontantes et se soutiennent jusqu'aux gelées sans qu'on soit obligé de remplacer certaines espèces, à condition de leur donner les soins nécessaires durant la période active de végétation. L'examen de ces soins fera l'objet d'un prochain article.

LES GENTIANES VIVACES

NUMA SCHNEIDER.

à l'alpiniculture que ces brillantes filles des hauteurs sont venues prendre place autour de nos demeures. Longtemps les amateurs de plantes alpines, peu nombreux d'abord, hésitants, tâtonnants, accordaient à ces bijoux si délicats de petits rochers modestement cachés dans un angle retiré du jardin. Mais depuis qu'un Edouard André, qu'un W. Robinson leur ont donné la sanction de leur autorité grande et les ont consacrées par leurs écrits et par leurs exemples, l'alpiniculteur est devenu plus hardi et réclame pour ses protégées la première et la meilleure place dans le jardin ou dans le parc, si superbes peuvent-ils être !

Si le genre Androsace1 peut être consi- | plates-bandes et des rocailles. Et c'est grâce déré comme le plus alpin de tous, les Gentianes, elles, forment un groupe essentielment montagnard. On en trouve, il est vrai, sur les haut sommets de la région des neiges comme dans les marécages de quelques plaines; mais la grande généralité de ces plante habite les régions montagneuses des deux hémisphères. Les fleurs, généralement grandes, parfois très-grandes, relativement aux dimensions de la plante, les teintes richement colorées de leurs corolles, leur forme gracieuse ou le port architectural de quelques espèces leur ont, depuis plusieurs siècles, valu d'enthousiastes descriptions, et ouvert à beaucoup d'entre elles les portes des jardins de nos pères. C'est en 1596, suivant Paxton 2, que le Gentiana lutea fut introduit dans les cultures anglaises, et la date d'introduction. du G. acaulis est si ancienne, qu'on ne la peut préciser.

Mais ce n'est guère que depuis le commencement de notre siècle, et particulièrement depuis 1850, que les Gentianes, sortant de l'enceinte des jardins botaniques, ont été utilisées pour la décoration des jardins, des

1 Voir Revue horticole, 1893, p. 47. 2 Paxton's Botanical Dictionary.

Les Gentianes appartiennent à la famille. des Gentianées, qui est bien caractérisée, et qui comprend 49 genres, dont le genre Gentiana est de beaucoup le plus important, car il contient près de 100 espèces. Ces plantes sont dispersées dans les régions montagneuses des deux hémisphères; la grande majorité d'entre elles vit sur les montagnes de l'hémisphère boréal, les Alpes, l'Himalaya, la Sibérie, les montagnes de l'Amérique du Nord, ou bien dans les régions arctiques. On en retrouve plusieurs sur les Andes de l'Amérique du Sud, en Tas

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manie, en Australie, en Nouvelle-Zélande. Je ne sache pas qu'il y en ait en Afrique, sauf pourtant sur les montagnes de la zone méditerranéenne.

Ce sont généralement des plantes vivaces, à racines charnues, contenant des sucs très-amers. Il y a à peine une trentaine de Gentianes annuelles, et leur culture n'offre pas grand intérêt pour la grande majorité des amateurs.

Au point de vue purement cultural, les Gentianes vivaces se divisent en 4 sections comprenant :

1er Groupe Gentiana lutea, renfermant des espèces à racines plus ou moins fortes, à port élevé, pouvant servir à l'ornementation des plates-bandes comme à celle des rocailles, ou propres à la décoration du jardin pittoresque.

2e Groupe G. acaulis, plantes basses, à racines moins fortes, plus particulièrement adaptées à la culture en rocailles, mais convenant également à celle de pleine terre, à la condition de leur donner un sol spécial.

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Gentiana lutea, L. Plante élevée, à tige dressée, haute de 1 mètre à 1m 50 et parfois davantage; feuilles larges, amples, ovales, opposées, formant un vrai buisson sur le sol, longues parfois de 35 à 40 centimètres et larges de 15 à 20, fortement nervées, d'un vert glaucescent, les caulinaires étagées à une distance de 25 à 30 centimètres et allant en diminuant dans leur dimension de la base au sommet; fleurs jaunes, disposées en faisceaux à l'aisselle des feuilles et formant un long épi dressé et interrompu. Juillet-septembre.

Son port est noble et majestueux, son aspect est vraiment architectural, et tout dans cette belle espèce contribue à lui donner un air de grandeur qui fait qu'en la voyant on ne peut s'empêcher de la nommer, avec l'Anglais enthousiaste, « a glorious plant ». Elle est d'un grand effet dans les rochers, les pelouses vallonnées des jardins pittoresques; on peut aussi l'isoler dans les parterres du parc naturel. Dans la rocaille, il lui faut un mélange de bonne terre franche et de terreau de feuilles, le

tout additionné de sable. Elle exige le soleil et un sol calcaire, profond, meuble, riche en humus. Ce sont ses racines qui fournissent la liqueur si réconfortante qu'on nomme la Gentiane. Elle ne se multiplie que par semis et n'aime pas à être transplantée, une fois mise en place. Au jardin alpin nous la semons en novembre, la plaçons sous châssis froid et elle lève en marsavril; nous repiquons en mai-juin, toujours sous châssis froid, et en août nous plaçons les jeunes plants dans des godets où ils sont maintenus aussi longtemps que possible pour la vente et l'expédition. Nous avons remarqué que chaque blessure apportée aux racines provoque un ralentissement et même une perturbation dans la croissance de la plante.

Elle appartient aux montagnes calcaires de l'Europe centrale et méridionale, entre 500 et 1,000 mètres.

On possède un certain nombre d'hybrides du G. lutea et des espèces voisines.

Gentiana alba, Mühl. (G. ochroleuca, Lims.). Plante dressée, roide, trèsglabre, haute de 30 à 40 centimètres; feuilles ovales-lancéolées, larges à la base de la tige, très-étroites au sommet; fleurs blanches, plus ou moins ponctuées de jaune ou de vert et réunies en capitule terminal. Juillet-août.

Régions montagneuses des États-Unis; culture des G. Pneumonanthe ou ascle

piadea. Rare dans les cultures.

G. Andrewsii, Griseb. Plante à tige dressée, haute de 40 à 50 centimètres, garnie de feuilles opposées, ovales-lancéolées, acuminées; fleurs presque sessiles, agglomérées en cimes terminales, à corolle d'un bleu violacé, longue de 3 1/2 à 4 centimètres, dont les divisions sont rapprochées à leur sommet de façon à donner à la fleur l'aspect d'un bouton à peine entr'ouvert. Juillet-août. États-Unis d'Amérique, dans les lieux humides et montagneux. On en possède une variété à fleurs blanches.

Tiges

Culture du G. Pneumonanthe. G. angustifolia, Michaux. flexibles et légères, hautes de 30 à 40 centimètres, garnies de feuilles linéaires, rigides, d'un vert foncé et luisant, terminées par 1 à 3 fleurs en forme d'entonnoir ouvert, d'un bleu d'azur et longues de 4 à 5 centimètres. On en possède une variété à fleurs blanc pur ou verdâtres. Juillet-août.

États-Unis, dans les forêts humides.

Culture du G. Pneumonanthe. Elle est rare dans les cultures du continent, car on

LES GENTIANES VIVACES.

vend très-souvent pour elle le Gentiana Saponaria ou le G. cruciata.

G. Bigelowii, A. Gray. Cette espèce est très-voisine du G. affinis. Feuilles étroites, linéaires, opposées, disposées sur une tige de 30 à 40 centimètres de haut, et dont la moitié supérieure est transformée en un long épi de fleurs alternant avec les feuilles à l'aisselle desquelles elles croissent. Corolles violettes, en forme de tube cylindrique et d'entonnoir à 5 lobes oblongs, aigus et ciliés sur les bords. L'épi floral est assez semblable à celui du Campanula spicata. Juillet-août.

Montagnes-Rocheuses, du Colorado au Nouveau-Mexique, entre 2,000 et 3,000 mè

tres.

Culture du G. lutea.

G. Burseri, Lapeyr. (G. hybrida, Vill.).— Plante à tige robuste, haute de 15 à 40 centimètres, à feuilles radicales, grandes, ovales-lancéolées, fortement nervées (5 à 6 nervures); fleurs grandes, jaune pâle, pointillées de pourpre à l'intérieur, sessiles et formant des faisceaux au sommet de la tige et à l'aisselle des dernières feuilles. Juin-juillet.

Chaine des Pyrénées, dans la région alpine.

Culture du G. lutea.

G. cruciata, L. Touffes de feuilles d'un vert gai, largement ovales-lancéolées, obtuses, veinées; tige d'abord rampante, puis dressée, haute de 25 à 30 centimètres, garnie de feuilles opposées et lancéolées; fleurs petites, nombreuses, réunies en fascicules terminaux, à corolle bleu d'azur, à 4 divisions ovales, aiguës et pâles en dehors. Juin-août.

Collines chaudes et calcaires de la région montagneuse dans l'Europe centrale et méridionale, l'Asie-Mineure et la Sibérie.

Culture du G. lutea: plein soleil, affectionne le rocher calcaire.

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G. macrophylla, Pall. Tige dressée, haute de 40 à 50 centimètres; feuilles radicales de 25 à 30 centimètres de long, les caulinaires plus petites; fleurs bleues, petites, nombreuses, réunies en capitules serrés et terminaux. Très-voisin du G. cruciata, dont il se distingue surtout par la dimension et la forme de ses feuilles, les dents de son calice, qui sont différentes et quelquefois au nombre de 5 (toujours 4 chez les cruciata), enfin par le fait que les lobes de la corolle sont dressés au lieu d'être étalés. Juillet-août. Culture du G. lutea.

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