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L'ÉCOLE PRATIQUE D'ARBORICULTURE DE LA VILLE DE PARIS.

niste-collecteur Wallich parmi les plantes de l'Inde. C'est peut-être celui qui nous occupe. Il paraît avoir été envoyé à M. Ambroise Verschaffelt, de Gand, par un de ses collecteurs, au nombre de deux exemplaires seulement, vendus à un amateur très-distingué, M. Beaucarne. L'une de ces plantes fut achetée par M. de la Devansaye à la vente de la collection Beaucarne, après décès; l'autre est échue à M. Vervaet, l'horticulteur-orchidophile bien connu. On ne posséderait donc actuellement, en Europe, que deux plantes de

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cette magnifique variété, qui peut être considérée comme une des plus belles, sinon la plus belle, de tous les V. tricolor aujourd'hui cultivés.

En même temps qu'il nous adressait une inflorescence de V. t. Wallichii, M. de la Devansaye y ajoutait d'autres formes de choix de sa collection de Vandées, qui paraît être la plus complète que l'on connaisse actuellement, et il y ajoutait la liste de ce qu'il possède en espèces et variétés appartenant à ce genre. En voici la nomenclature complète :

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Voici donc 47 espèces et variétés diverses | très-polychrome! Nous aimerions voir appartenant à un seul amateur, sans compter d'autres espèces décrites dans les auteurs et qui ne paraissent pas avoir été introduites. Avec de tels éléments, il y aurait de quoi écrire et publier une bonne monographie botanico-horticole des Vanda. Combien il serait désirable de voir fixer ne varietur la question de spéciéité des Vanda suavis et tricolor, qui semblent bien ne constituer qu'un seul et même type spécifique, assez polymorphe et surtout

M. de la Devansaye entreprendre cette
tâche, en apparence un peu compliquée,
mais que sa collection de fortes plantes,
qui ont presque toutes fleuri déjà, lui faci-
literait singulièrement. Cela serait d'autant
plus agréable aux amateurs que ces su-
perbes Orchidées de serre chaude sont
d'une culture relativement facile et de flo-
raison abondante et soutenue, quand on
sait leur appliquer le traitement qui leur
convient.
Éd. ANDRÉ.

L'ÉCOLE PRATIQUE D'ARBORICULTURE DE LA VILLE DE PARIS

Située tout près de la « Porte-Dorée », sur l'avenue Daumesnil, à l'entrée principale du bois de Vincennes, l'École pratique d'arboriculture de la Ville de Paris offre aujourd'hui au promeneur un but des plus agréables, et à l'amateur de plantes un lieu d'études particulièrement intéressant.

On y trouve, en effet, un grand nombre des éléments végétaux, ligneux et herbacés, concourant à l'ornementation de nos jardins. L'ancienne École d'arboriculture a été depuis quelques années entièrement remaniée, et le verger d'autrefois a fait place à un Arbo

retum très-complet disposé symétriquement. mais de la façon la plus heureuse pour l'étude.

Certaines essences, telles que les divers arbres pleureurs, les arbres fastigiés ou pyramidaux, les Noisetiers à feuilles pourpres, les Erables Negundo panachés, les Sureaux à feuilles dorées, etc., y sont en outre groupés sur des points choisis des pelouses, et tout en y formant un excellent motif de décoration, ils fournissent une occasion des plus faciles et des meilleures pour les étudier comparativement.

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L'ÉCOLE PRATIQUE D'ARBORICULTURE DE LA VILLE DE PARIS.

De vastes pelouses ont aussi été ménagées, sur lesquelles sont dessinées des corbeilles et plates-bandes que l'on garnit pendant la belle saison avec les plantes les plus propres à l'ornement des massifs.

A l'entrée principale se trouve une large avenue venant se terminer au pied d'un massif de Conifères mêlées d'Érables à feuilles panachées et formant un rideau agréable à l'œil; les côtés, munis de trottoirs, sont plantés d'une ligne des arbres les mieux. adaptés à la formation des avenues, un de chaque essence. Nous signalerons parmi ceux qui sont ordinairement les moins employés Acer eriocarpum, Liriodendron tulipifera, Ulmus parvifolia, Alnus cordifolia, Pterocarya stenoptera, Cedrela sinensis, Gymnocladus canadensis, Sophora japonica, etc.

Une large plate-bande exhaussée borde les trottoirs; dans cette plate-bande sont plantés, de distance en distance, des arbustes montés sur tige, tels que: Syringa Josikaa, Forsythia viridissima, Ribes palmatum, Staphylea colchica, Buddleia curviflora, Hibiscus syriacus variés, Prunus triloba, etc.

Le sol de la plate-bande est disposé en petits carrés garnis avec la collection des plantes cultivées par la Ville de Paris et employées à l'ornement estival des corbeilles et massifs dans les jardins. Signalons en passant le Périlla de Nankin, des Lobelia Erinus, le Gnaphalium lanatum, des Alternanthera, des Achyranthes, la Cinéraire maritime, des Pétunias, des Phlox de Drummond, des Pelargonium, notamment la jolie variété Mistress Pollock, à feuillage vert, pourpre et jaune, l'Echeveria secunda glauca, le Sempervivum arachnoideum, les Gazania splendens, Salvia splendens, Pyrethrum Parthenium aureum, des Ageratum, Lantana, Héliotropes et bien d'autres encore.

Derrière ces plates-bandes se trouve une contre-bordure étroite, également plantée de plantes herbacées vivaces ou annuelles et servant aussi d'école.

A gauche de cette allée, et abritée par de grands arbres, se trouve le groupe des plantes dites de terre de bruyère et dans lesquels les Aralia, Kalmia, Rhododendron, Magnolia conspicua, M. obovata, des Hydrangea, etc., croissent à merveille.

A droite est le petit bâtiment où se trouvent les salles d'études, bureaux, etc. Puis, viennent les larges pelouses dont nous

avons déjà parlé, toutes émaillées d'arbres et de corbeilles fleuries.

Derrière ces pelouses se trouve la trèsintéressante collection des arbustes, disposée en planches symétriques et où l'amateur peut venir apprendre à son aise à connaître les principaux arbustes rustiques qui ornent les parcs et les jardins. Citons, parmi les plus rares, les Cercidiphyllum japonicum, Idesia polycarpa, Chionanthus virginica, Neviusia alabamensis, Exochorda grandiflora, E. Alberti, Cytisus pilosus, Genista scoparia Andreana, Lonicera Alberti, Hovenia dulcis, etc.

Il est à peine besoin de dire que l'étiquetage y est fait et entretenu avec le plus grand soin; des étiquettes en porcelaine rendent en outre la lecture facile.

Derrière cette arbusterie vient l'Arboretum proprement dit qui, lui aussi, est disposé en planches larges et suffisamment espacées. Les affinités génériques y ont été observées, et on semble s'être attaché à réunir là les arbres cultivés pour l'ornement et le plus grand nombre possible de leurs variétés, celles qu'il est justement le plus difficile de trouver correctement déterminées et surtout réunies sur un même point, pour l'étude comparative. Citons, au hasard, quelques-unes des essences les plus rares et les plus intéressantes: Planera japonica, Pterocarya alata, Fraxinus excelsior monophylla, Xanthoceras sorbifolia, Phellodendron amurense, Maakia amurensis, Parrotia Jacquemontiana, etc.

Encore derrière l'Arboretum, et longeant presque la limite nord, se trouve une série de planches destinées aux leçons pratiques que l'on donne aux élèves et dont nous reparlerons plus longuement tout à l'heure.

A droite, et sur la limite ouest, se trouvent réunis les arbustes grimpants, parmi lesquels nous citerons les Chèvrefeuilles, les Vignes-Vierges, les Lierres, l'Akebia quinata, le Pueraria Thunbergii, dont les tiges atteignent une hauteur prodigieuse en une seule année, et surtout la très-intéressante collection de Clématites à grandes fleurs.

Du côté opposé, c'est-à-dire à l'est, existent des plates-bandes servant de pépinières pour les arbustes.

Le côté nord-ouest est limité par une haie de Thuya abritant certains végétaux qui redoutent le plein soleil, ou mis là en observation. Devant ces Thuya est construite une petite serre pour abriter de jeunes semis et quelques plantes délicates.

CULTURE FORCÉE DE LA LAITUE.

Parallèlement à l'École d'arbustes dont nous avons parlé, on a tracé une petite parlie française, dont le centre est entièrement gazonné et les côtés garnis de plates-bandes et de contre-bordures de plantes vivaces et bulbeuses.

Au midi de cette partie régulière et en se rapprochant de l'avenue du Bois se trouve l'École d'arboriculture fruitière, dont les murs, renversés il y a quelques années par un ouragan, sont aujourd'hui presque entièrement reconstruits. On peut y admirer les formes classiques de Poiriers, Pèchers, Pommiers, etc., et venir chaque année, au printemps, assister aux leçons pratiques de taille qui y sont données.

C'est avec regret que nous devons constater l'absence d'une École de Conifères, qui serait pourtant si intéressante; mais l'emplacement jusqu'à présent fait totalement défaut, et les spécimens qu'on a récemment plantés sur la partie longeant les fortifications ne sont point encore prêts d'être jugeables.

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Ce fait est regrettable, car la Ville de Paris, qui possède une collection de Conifères âgées et très remarquables dans ses annexes d'Auteuil, ne continue pas à collectionner ces beaux végétaux.

Le but de cette intéressante école est d'offrir au nombreux personnel que la Ville emploie pour la plantation et l'entretien de ses squares, ainsi qu'au public amateur (les cours étant publics et gratuits), un enseignement tout spécial, qu'on pourrait appeler « l'Horticulture ornementale de plein air ».

Mais on y forme aussi des élèves-apprentis; ces élèves sont externes, et, grâce au concours bienveillant du Conseil municipal de Paris, ils reçoivent gratuitement, en plus de l'instruction, le déjeuner et le goûter.

La durée des études est de trois années. L'enseignement qui est donné comprend l'horticulture générale et a pour but de mettre ces élèves à même de devenir de bons chefs de travaux de jardinage.

CULTURE FORCÉE DE LA LAITUE

La culture forcée de la Petite Laitue à graine noire, que les maraîchers pratiquent sur une grande échelle, se fait, par saisons successives, depuis septembre jusqu'en avril. Ils emploient généralement, en première et en dernière saison, la Laitue Gotte à graine noire (fig. 106), et, pendant la période la plus froide de l'hiver, la L. Crêpe à graine noire (fig. 107), qui a le grand mérite de n'avoir pas besoin

S. MOTTET.

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CULTURE FORCÉE DE LA LAITUE.

en ayant soin que la terre ne soit pas à plus de 8 à 10 centimètres du verre.

DEUXIÈME SAISON. La saison de Laitue qui suit doit être semée du 10 au 20 septembre, sous cloche froide, comme cidessus. On repique également sous cloche froide, à 24 par cloche, et le plant doit ainsi être bon à mettre en place fin octobre, sous châssis, sur les premières couches chaudes, qu'on prépare avec du vieux fumier gardé en tas et très-peu de fumier neuf. Les maraichers appellent ces premières couches « galettes » ou « couches de retourne », parce que ces couches sont destinées à être retournées et mêlées de nouveau de fumier neuf pour une autre saison de Laitue, quand celle-ci sera récoltée, c'est-à-dire du 5 au 10 décembre.

TROISIÈME SAISON. - On refait, en troisième saison, d'autres couches à la même place, après avoir enlevé les châssis et les coffres des couches précédentes, ainsi que

semée du 5 au 15 octobre et repiquée sous cloche, comme nous avons dit plus haut. Le Radis se récolte le premier, la Laitue après, vers la fin de janvier ou le commencement de février, et la Carotte donne ensuite sa récolte en mai.

QUATRIÈME SAISON. Lorsque les grands froids sont passés, on fait généralement des couches à Laitues sans châssis, épaisses d'environ 35 centimètres; on les charge de 10 à 12 centimètres de terreau, et l'on y installe trois rangs de cloches en échiquier. On plante sous chaque cloche & Laitues, avec une Romaine au milieu, et, jusqu'à la fin, on couvre et on découvre, suivant que la température baisse ou se relève. Les Laitues obtenues ainsi sont prêtes à enlever dans le courant de février et de mars. Le plant qu'on emploie dans ce cas provient de semis fait vers la fin d'octobre et il a été repiqué sur ados, sous cloche; dans les temps rigou

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le terreau. On met alors en chaîne, avec la fourche, en avant de la première couche, le fumier qui a servi; on apporte moitié de fumier neuf qu'on mêle avec ce dernier, et on remonte la couche; le terreau de la deuxième couche peut servir à charger la première, et ainsi de suite, mais généralement, quand on doit mettre de la Carotte avec les Laitues, il est préférable d'employer du terreau neuf. Une fois le terreau mis sur les couches, on herse avec la fourche, et l'on donne un coup de rateau pour bien égaliser la surface.

Au commencement de décembre, on sème là-dessus de la Carotte rouge très-courte à chassis ou de la C. rouge à forcer parisienne, puis, aussitôt après, du Radis demi-long écarlate très-hatif à courte feuille; on herse pour recouvrir le tout ensemble, et enfin on donne un coup de battoir pour plomber la couche. Cela fait, on met en place, par châssis, 36 pieds de Laitue crêpe à graine noire, qui a été

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reux, on le protège, comme d'habitude, en couvrant les cloches de paillassons, qu'on enlève quand le soleil donne dans la journée, et en entourant celles-ci de fumier court, sec et serré, qu'on fait au besoin monter jusqu'au haut des cloches.

On cultive aussi comme primeur, sous châssis froid, plusieurs autres Laitues: la L. Georges (fig. 108), la L. Gotte à graine blanche, la L. Passion et aussi, depuis quelques années, l'excellente L. Merveille des quatre-saisons (fig. 109). Ces diverses variétés se sèment sous cloche à froid, du 1er au 15 octobre; on les repique également sous cloche à froid, à raison de 24 à 30 pieds par cloche, et le plant est bon à mettre en place en décembre-janvier. Ces Laitues viennent à point après le travail de la culture forcée et avant la culture en pleine terre. On met ordinairement en place, sous châssis froid, 36 pieds de Laitue par châssis, et ensuite on plante 6 pieds de Chou-Fleur demi-dur de Paris ou de hatif de Pic

CULTURE DU FRAISIER DES QUATRE-SAISONS.

pus, ou bien 4 pieds de Chou-Fleur Lenormand à pied court, qui est plus volumineux.

La Laitue doit partir du commencement d'avril au 20 du même mois; dès qu'elle

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est enlevée, on tapisse les pieds de ChouFleur de fumier vieux, et, au moyen d'arrosages fréquents, ceux-ci doivent arriver à point en juin ou juillet au plus tard. G. ALLUARD.

CULTURE DU FRAISIER DES QUATRE-SAISONS

Le Fraisier des Quatre-Saisons est, comme on sait, une race parfaitement remontante du Fraisier des bois ; c'est le Fragaria | vesca semperflorens, que l'on appelle aussi quelquefois, mais improprement, Fraisier des Alpes. Certaines variétés améliorées, telles que Janus, Duru, et celle à fruits blancs sont très-cultivées dans les jardins. Le Fraisier Gaillon (Quatre-Saisons sans filets) a été beaucoup pròné, mais il est

moins estimé.

La culture des Fraisiers des Quatre-Saisons n'est pas difficile; cependant, pour bien la réussir, il faut prendre un certain nombre de petites précautions que je crois bon de rappeler ici, touchant le mode de reproduction par coulant ou par semis, le choix des porte-graines ou la préparation des coulants, le semis, l'élevage des jeunes plants en pépinière, la mise en place et les divers soins culturaux que nécessitent les plantes jusqu'après la récolte; renseignements qui seront des détails connus de beaucoup de gens, mais qui pourront être utiles à d'autres.

La qualité la plus précieuse du Fraisier des Quatre-Saisons est d'ètre franchement remontant, et de produire depuis le commencement de juin jusqu'aux gelées, avec une faible diminution cependant vers la fin de juillet; de plus, le fruit est ferme et très-agréablement parfumé.

Une plantation ne doit pas être laissée plus de deux ans; plus longtemps, la récolte est trop faible. Aussi doit-on, pour n'en jamais manquer, en multiplier tous les ans; dans le même jardin il y aura donc des semis ou élevages destinés à la plantation de l'année suivante, des plantations d'un an et de deux ans. Ces dernières sont supprimées à l'automne après la récolte.

Le moyen de multiplication le plus employé est celui par coulants; le semis est pourtant préférable, lorsqu'il est bien soigné et que les graines ont été bien choisies. Examinons les deux modes de faire.

A. Multiplication par coulants. Tout d'abord on peut prendre ces coulants sur du plant d'un an ; ceux qui proviennent de pieds plus âgés donnent des plantes moins

productives. Au lieu d'enlever, au printemps, tous les coulants que les plantes ont produits, on en laisse deux ou trois, les plus beaux, par pied, et dans le courant de juillet on les enlève pour les mettre en pépinière. C'est le moyen le plus commode, mais le moins bon.

Ce qui vaut beaucoup mieux, c'est d'obtenir du plant sur des jeunes pieds provenant de semis, plantés et traités spécialement en vue de la production des filets. Pour cela, voici la marche à suivre : labourer convenablement, terreauter et affermir une planche assez large (environ 1 in 30); tracer deux rangs à 45 centimètres des bords, où l'on plantera du jeune plant de Fraisier venu de semis, alors qu'il a quatre ou cinq feuilles, en distançant sur le rang de 20 centimètres. Les filets se dirigent dans tous les sens sur la planche; on favorise l'enracinement en tenant le sol frais. Ce sont ces filets, enracinés et suffisamment forts, qui sont à la fin de l'été mis une fois ou mème deux fois en pépinière, comme nous le verrons plus loin.

Les Fraisiers obtenus ainsi sont moins vigoureux et moins feuillus que ceux obtenus par semis; mais ils donnent des produits très-beaux, et c'est un procédé très recommandable.

B. Multiplication par semis. Le Fraisier des Quatre-Saisons se reproduit fidèlement par semis; encore faut-il, pour cela, que la graine ait été bien récoltée à l'époque convenable et sur des pieds choisis. On doit récolter les graines en août, et sur des pieds qui, sans préjudice des autres qualités que nous allons indiquer, sont les plus productifs à cette époque de l'année; ceci dans le but de diminuer autant que possible l'intervalle de quasi-arrêt dans la production.

Les Fraisiers qui se font remarquer par un feuillage de moyenne ampleur, pas trop touffu, par des hampes florales nombreuses, fermes, dressées, et dépassant un peu les feuilles, par une fructification aussi continue que possible, par des fruits d'une belle forme allongée et bien parfumés sont

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