régler à volonté en ouvrant plus ou moins les ouvertures du bas.

Chez M. Vanoni, avenue de Saint-Mandé (1), on a vitré hermétiquement et disposé seulement quelques petits châssis pour donner de l'air et enlever l'excès de chaleur. Mais il faut compter avec le soleil, qui chauffe sans permission et parfois outre mesure. Dans ce cas, ces châssis et les registres de sortie sont insuffisants pour enlever cet excès de chaleur, et nous croyons qu'il est préférable de pouvoir donner de l'air à volonté, car les plantes souffrent toujours d'une trop grande chaleur sous verre.

Là aussi, on a adopté de petites serres hollandaises, afin de pouvoir travailler et soigner convenablement, sans être obligé d'ouvrir les châssis, ce qui est le défaut des bâches ordinaires. Mais il y a une chose aussi essentielle aux plantes que l'air et la chaleur c'est la lumière, et tous les jardiniers savent combien les plantes aiment d'être près du verre; que les Radis, la petite Laitue, les Melons, etc., cultivés à un mètre du vitrage, s'étioleraient sans produire ou ne donneraient que des résultats défectueux; qu'au contraire, ces mêmes plantes, les feuilles collées au verre, même brûlées là par le soleil ou abîmées par le froid et l'humidité, donneront malgré cela des résultats magnifiques. De là la nécessité d'avoir des serres trèsbasses ou plutôt des bâches pour des cultures telles que Salades, Radis, Carottes, Fraisiers, Melons, etc., et d'autres plus élevées pour des Haricots, Pommes de terre, ChouxFleurs, Pois et autres plantes d'une stature plus élevée. En outre, en élargissant les serres, qui chez M. Vanoni sont un peu étroites, on gagne de la place, on diminue la pente, et la lumière est plus égale et plus rapprochée.

M. Vanoni a organisé pour l'eau un système qui devrait faire partie intégrante de ce genre de travail, au lieu d'être seulement un accessoire souvent inexécuté, par suite d'une mauvaise question d'économie.

Il a adapté le long de la cheminée, à quelques mètres de terre. un réservoir où l'eau se trouve légèrement échauffée. De là, par

611

des conduits, il l'a distribuée dans ses serres, où l'on arrose et bassine au moyen de tuyaux. percés, dans le genre de ceux employés pour le mouillage des gazons. Ce procédé, susceptible de perfectionnement, a des clefs ou cannelles permettant de mouiller telle ou telle partie ou longueur, a un grand avantage, par cette raison, des plus importantes en horticulture comme partout, que l'opération est facile et se fait bien, tandis qu'un ouvrage difficile et incommode se fait presque toujours mal ou parfois pas du tout. En outre, l'eau est tiède, et tous les jardiniers connaissent les ennuis causés par les mouillages de primeurs, lorsque l'eau chaude manque ou est difficile à avoir. Il faut faire tiédir de l'eau dans des arrosoirs à l'avance, ce qui ne peut se faire que lorsque cette culture n'est pas considérable; ou si l'on a des serres chauffées au thermosiphon, on se sert de l'eau chaude pour réchauffer un peu celle du dehors, sans trop s'inquiéter de faire l'analyse de ces eaux-là. Mais quand ces chauf fages manquent! On peut dire, et on l'a dit souvent, que l'eau était une question capitale pour la culture, surtout celle des primeurs; c'est vrai.

Ce système paraît excellent pour la culture forcée, et nous avons vu des résultats superbes en Haricots, Pommes de terre, Fraisiers et Concombres; à l'avenue de Saint-Mandé, on aurait eu de beaux Melons, même dans ces serres évidemment trop hautes pour cette culture.

Reste la question capitale la dépense comme installation et entretien. Il ne serait pas inutile d'avoir là-dessus des données parallèles sur ces frais et ceux occasionnés par les mêmes cultures au fumier. Peut-être même qu'en répartissant ces dépenses sur un certain nombre d'années, on arriverait à un résultat économique préférable, au point de vue surtout des produits obtenus d'une façon plus assurée. Là, il n'y a que l'expérience, que la presque nouveauté du système n'a encore pu produire, qui puisse éclairer complètement la question.

S'il ne nous est pas possible d'indiquer | l'origine du Sutherlandia floribunda, ce que nous pouvons affirmer, c'est que c'est une très-jolie plante, qui mérite pleinement la qualification floribunda qu'on lui a donnée. Elle se couvre sur toutes ses parties de grandes fleurs d'un très-beau rouge qui produisent un effet splendide et font de cette espèce un des plus beaux ornements. C'est une plante dressée, raide, très-ramifiée, qui (1) V. Revue hort., 1870, p. 248.

J. BATISE.

atteint 45 à 50 centimètres de hauteur. Ses feuilles sont alternes, imparipennées, à folioles nombreuses, petites, oblongues, vert foncé en dessus, soyeux blanchâtre en dessous par des poils argentés, poils qui du reste existent sur toutes les parties de la plante et donnent à l'ensemble une teinte gris blanc qui forme un frappant contraste avec la belle couleur rouge des fleurs, ce que démontre, du reste, la figure coloriée cicontre.

Bien qu'à la rigueur on puisse cultiver le Sutherlandia floribunda comme annuel, et que dans le Midi il puisse en effet être considéré comme tel, néanmoins sous le climat de Paris on doit le regarder comme bisannuel. Voici comment il convient de le cultiver :

En juin ou juillet on prépare à l'ombre un petit coin de terre legère à laquelle on mélange du terreau de bruyère. On y sème les graines qui germent promptement. Lorsque les plants ont acquis quatre à cinq feuilles, on les repique soit isolément dans un godet de 6-8 centimètres, soit par trois ou par quatre dans des godets de la même dimension, si l'on veut en faire des potées; les pots doivent être bien drainés. Quant à la terre, elle doit être légère et siliceuse. Un sol argilo-siliceux, ou mieux une terre rendue telle par un mélange de terre franche et de terre de bruyère, est ce qu'il y a de mieux. Après qu'elles seront repiquées, on placera les plantes dans un coffre sous des chassis où on les privera d'air pendant une huitaine de jours, puis on en donnera un peu en graduant, de manière à ce que les plantes puissent supporter le grand air au bout d'environ vingt à trente jours. Vers la fin de septembre ou le commencement d'octobre, ces plantes seront pincées à 4-5 centimètres de leur base, afin de les faire ramifier; puis, quelques jours après, on leur fera subir un rempotage. Les plantes isolées seront mises dans des pots de 12 à 15 centimètres ; celles destinées à former des potées ou touffes seront placées dans des pots de 15 à 16 centimètres. Quand arriveront les premiers froids, les plantes devront être abritées sous

des châssis. Pendant l'hiver, les soins seront semblables à ceux qu'on donne aux Giroflées les préserver de la gelée et d'un excès d'humidité, ce à quoi l'on parvient en donnant le plus d'air et de lumière possible. En mars, sitôt que les gelées ne seront plus à craindre, on pourra livrer à la pleine terre les plantes qui auront été mises isolément en pots; elles commenceront à fleurir à la fin d'avril et continueront jusqu'en août, tandis que celles qui ont été mises plusieurs ensemble, de manière à en former des potées, pourront subir un second rempotage, si cela est nécessaire. Ces plantes seront conservées dans une serre tempérée près des vitres ou dans des coffres sous des châssis, où elles fleuriront à partir de la fin de mars ou du commencement d'avril, formant ainsi des potées d'une beauté peu commune, dont il est même difficile de se faire une idée et dont on pourrait tirer un excellent parti, car à cette époque de l'année, les fleurs sont trèsrares. Nous signalons ce fait aux horticulteurs qui travaillent particulièrement pour alimenter le marché aux fleurs.

Dans les pays méridionaux, où les hivers sont très-doux, il est très-probable que le S. floribunda pourrait être cultivé en pleine terre, où alors il acquerrait de plus fortes dimensions et où il pourrait même devenir sous-ligneux.

Cette plante est encore très-nouvelle; nous l'avons admirée l'an dernier dans les cultures de MM. Vilmorin, Andrieux et Cie, rue de Reuilly, où pendant plus de trois mois elle attirait les regards de tous les visiteurs. E.-A. CARRIÈRE.

Dans le numéro d'avril 1871 de la Revue horticole, je viens de lire un éloge bien mérité de la Poinciana Gilliesii; mais si cet admirable arbuste a besoin, à Paris, de l'abri de l'orangerie pendant l'hiver, nous sommes assez favorisés ici (à Nantes), ainsi, du reste, que M. Lebas, l'auteur de l'article, le fait présumer, pour pouvoir jouir, en pleine sécurité, de toute sa splendeur à l'air libre, avec ou même sans la garantie d'une simple couche de feuilles sèches.

Ses graines mûrissent très-bien chaque année, et les semis fleurissent dès la deuxième ou troisième année, le plus souvent.

Notre but, en écrivant ce petit article, est surtout d'attirer l'attention des amateurs qui cultivent cette belle plante sur la nature du sol qui lui convient le mieux.

Pendant bien des années, quelques horticulteurs de Nantes cultivaient cet arbuste en terre de bruyère et en pot, qu'ils rentraient l'hiver. Le résultat était médiocre ; les plants

étaient chétifs, prenaient peu de développement et fleurissaient avec parcimonie.

Depuis, ils ont agi différemment, planté en plein air, dans une terre forte et sans aucun mélange, et le résultat a surpassé leurs espérances.

Pour en donner une idée, je citerai un pied de Poinciana (chez M. Jules Bruneau, horticulteur bien connu) qui mesure 3 mètres environ de hauteur, sur 2 mètres de diamètre, et sur lequel il n'est pas rare de compter jusqu'à cent grappes de fleurs épanouies en même temps.

Je le répète, on ne peut rien voir de plus splendide. Le seul petit inconvénient, c'est de ne voir ce bel arbuste prendre de feuilles qu'en juin.

A. BOISSELOT.

Orleans, imp. de G. JACOB, cloître Saint-Etienne, 4.

De la fécondation artificielle, 76. Liqueur styptique de Thomson, 130.- Antigonon leptopus, 165. Alloplectus vittatus,

227. M. Année, 246.

BOISBUNEL. Poire Président Mas, 209. Poire Maréchal Vaillant, 390. rouennaise hâtive, 551.

BOISSELOT (A.).

Fécondation et hybridation artificielle, 524. — Poinciana Gilliesii, 612. BONCENNE. Euphorbia Jacquinia flora, 94. BOSSIN. Le Pois-Fève, 47. Observations sur quelques variétés de Melons, 91. - Haricot Bossin, 105. Un mot sur quelques Cucurbitacées, 166. Bonnes variétés de Laitues, 204. Chicorée de la Passion, 259. Corbeilles et massifs de plantes annuelles, 265. Taille du Pêcher en forme tabulaire, 297. Procédé pour détruire les fourmis dans les melonnières, 350. Jacinthes et autres Oignons à fleurs (culture forcée des), 397. Plantes potagères divisées en trois séries pendant le siége de Paris, 435. - ChouFleur Impérial, 459. Sur l'origine de la Poire Belle-Angevine, 547. Destruction du puceron lanigère, 587. BOUTTEVILLE (L.-de).

mènes des fruits, 162.

Sur certains phéno

BOUVET (E.). — Fructification du Fraisier Myatt's prolific le 25 novembre, 604. BRIOT.

Nettoyage des arbres fruitiers, 151. — Multiplication des Lilium auratum à l'aide d'écailles, 200.- Raphiolepis ovata, 348. Prunus prostrata, 371. — Álthea frutex, 376. Des Pterocarya au point de vue de l'ornement, 387. Evonymus radicans variegata, 418. Gymnocladus canadensis, 436. Abelia triflora, 510. Spartium junceum,

599.

Bordures des jardins, 585. Chronique horticole (2e quinzaine

de décembre), 5. — Pêcher à bois jaune, 11. Ampelopsis tuberosa et Ampelopsis napiformis, 16. Chronique (1re quinzaine de janvier), 21. Hebeclinium urolepis, 30. Culture du Muguet, 33. Plante nouvelle, 40. — Chronique (2e quinzaine de jan

Hortensia Vallota grandiflora, 50. vier), 41. Pomme de terre Reine-de-Mai, 46. Mme Mézard, 57. - Plante nouvelle (Quercus Libani), 58-60. Chronique (1re quinzaine de février), 61. Cerise grosse de Verrières, Sécateur facile, 72. Nouvelles espèces de Conifères, 73. Episcia tessellata, 75. Bibliographie, 80. quinzaine de février), 81. seaurii, 90. Bibliographie, 93. crenata candidissima plena, 95. présentée sur une Poire, 95. Chronique (1re quinzaine de mars), 101. Ravages du Kermès de la Vigne en Crimée, 106. truosité produite par le Brassica Quetierii, 108. Pêche plate, 111. Greffe des pommes de terre, 117. · Cryptomeria nigricans, 119. Chronique (2e quinzaine de mars), 121. Evonymus alatus, 125. A propos du Diospyros costata, 131.- Chronique (1re quinzaine d'avril), 141. Poirier de Preuilly, 151. — Cupressus Mac-Nabiana, 155. Plante nouvelle, 160. Chronique (2e quinzaine d'avril), 161. Robinier parasol Villevielle, 180. Chronique (1re quinzaine de mai), 181. Cupressus Lambertiana depressa, 191. nouvelle forme de Chou, 194. Sureau Yèble, Bibliographie, 198. Plante nou

Dianthus barbatus nigricans, 200. Chronique (2e quinzaine de mai), 201. Du forçage de la Vigne, 206. bicontortus, 207. Tsuga Roezlii, 217. Des Houx au point de vue de l'ornement, 219. -Plantes méritantes pas assez connues, 220.Chronique (1re quinzaine de juin), 221. vages du Kermès de la Vigne en Crimée, 229. Exposition d'horticulture à Versailles, 235. Poire grise, 238. Chronique (2e quinzaine de juin), 21. Sur la culture géothermique, 248. Soufflet injecteur Pillon, 249. — Staphylea colchica, 257. Garrya macrophylla, 260. Chronique (1re quinzaine de juillet), Begonia incarnata, 266. Begonia magnifica, 271.- Quercus Haas, 279. - Bibliographie, 280. Chronique (2e quinzaine de juillet), 281.

Ananassa monstrosa, 288. Pêcher Madeleine à feuilles de Saule, 291. Thermomètre piquet, 297. Les Chênes de l'Europe et de l'Orient, 300. Chronique (1re quinzaine d'août), 301. Philadelphus primulaflorus, 305. Quelques observations sur la spéciéité, 308. Bowenia spectabilis, 315.Fructification au Muséum du Cerasus Fontanesiana, 319. - Bambusa flexuosa, 320. Chronique (2e quinzaine d'août), 321.Chamaerops excelsa, 329. Quercus pyrami, Biblio335. - Buddleia curviflora, 337. graphie, 338. Malus cerasifera præcox, 340. Delphinium denudatum, 340.-Plantes nouvelles, 340. Chronique (1re quinzaine de septembre), 341. Culture du Chamaerops excelsa, 359. Plantes nouvelles, 360. Chronique (2 quinzaine de mars), 361. Cytisus Adami pendulum, 370. Aux entomologistes et aux jardiniers, 371. Hebeclinium urolepis, 374. Impatiens glanduligera, 375. Amorpha pendula. 378.

Quelques mots sur les Brugnoniers, 379. Plantes nouvelles, 380. Chronique (20 quinzaine de juin), 381. Amygdalopsis Lindleyi, 388. De la fécondation artificielle, 390. Altea frutex, 395. Plantes nouvelles, 400. Chronique (1re quinzaine de juillet), 401. Tricyrtis pilosa, 407. Diospyros costata, 410. Quelques espèces d'Agnus castus, 415. Chronique (2e quinzaine de juillet), 421. Fraise docteur Morère, 428. Dimorphisme présenté par le Persica versicolor, 430. Morphologie végétale, 434. Les Chênes de l'Europe et de l'Orient, 437. Persica striata, 439. Chronique (tre quinzaine d'août), 441. Malus Torringo, 451. Plantes nouvelles, Chronique (2e quinzaine d'août), 461. Conservation des Radis, 470. Poire Emile d'Heyst, 470. Tamarix plumosa, 471. Prunus tenerrima, 473. Daphne salicifolia. 480. Chronique (1re quinzaine de septembre), 481.- Albizzia rosea, 490.

460.

Juglans intermedia quadrangulata, 493. Bibliographie, 498. Plantes nouvelles, 500. Chronique (2e quinzaine de septembre), 502.- Dimorphisme du Cerisier commun, 506. Abricotier de Schiras, 508. Pomme de terre de semis, 509. Sécateur Couvreux perfectionné, 515. Pêcher nain Aubinel, 518. Buxus Fortunei, 519. Cotoneaster reflexa, 520. Plantes nouvelles, 520. Chronique (1re quinzaine d'octobre), 521. Lychnis speciosa, 530. - Exposition d'horticulture de Meaux, 531. Prunus insignis, 534. Des semis combinés, 538. De la fécondation des Chênes, 539.

Sambucus Fontenaysii, 540. --- Chronique (2e quinzaine d'octobre), 541. Pêcher à bois jaune, 549. Amygdalus monstrosa. 549. Pêcher pyramidal, 557. Tomate Belle de Leuville, 558. Chronique (1re quinzaine de novembre), 561. Primula Japonica, 571. Les Chênes de l'Europe et de l'Orient, 572.- Amorphophallus Rivieri, 573.

Observation relative à la fécondation des Chamaerops, 577. Brugnon chinois, 577. Transformation du Persica dianthiflora, 578. Buddleia curviflora salicifolia, 580. Chronique (2e quinzaine de novembre), 581. Des fleurs pleines, 589. Picea excelsa Reymontii, 590. Malus floribunda, 591. Anomalie présentée par le Cypripedium Veitchianum, 595. Deux nouveaux Cypripedium, 598. Cytisus alba robusta, 599. Plantes nouvelles ou peu connues, 600. Chronique (Ire quinzaine de décembre), 601. Pseudolarix Kæmpferi, 608. Sutherlandia floribunda, 611.

GABRIEL. Nécrologic l'abbé Brou, 116. GAGNAIRE fils aîné. Froids de l'hiver 18701871, 424. — Lagerstræmia indica, 441. Eleagnus rotundifolia, 540.

GAILLARD. Raisin Mornen noir, 190. GENSOLLEN. Sur l'hiver de 1869-70, 62. GIBAULT. Encore le Tropæolum spit-fire, 374. Solanum dulcamara, 439.

GLADY (E.).

Arbres fruitiers du Midi, 201. — Les petits Pois à Bordeaux, 228.

GOSSELET.

Sur la pénétration des eaux plu

viales dans le sol, 495.

GOUJON (Is.). Pommes de terre hâtives, 468. GROENLAND. Revue des publications horticoles

de l'étranger, 27, 194.

GUÉROULT.

Thermostat-thermosiphon, 102.

Π

HAUGUEL. Encore l'Aponogeton distachyus, 180. - Le soudeur sans soudure, 586.

615

Androlepis Skinneri, 12.

nassa bracteata, 47.

Ana.. Nouvelles variétés de

--

Bégonias, 66. Un Pélargonium à grandes fleurs, franchement remontant, 125. Portea Kermesina, 230. - Justicia Lindeni, 250. Lucuma deliciosa, 336. Wallichia Caryotoides, 368. Clerodendron angustifolium,

379.

pendula, 486. MILLAUD. Lagerstræmia indica, 322. Marsdenia erecta, 400. Conifères nouvellement introduits, 427. Lobelia erinus Tom-Tom, 500.

Le Sarracenia variolaris, 223. MINUIT (C.). Quelques mots à propos du Comice horticole et viticole de Brioude, 178. Une promenade au Lioran, 215. Quelques mots sur l'hiver 1869-1870, 277. Sur l'hiver 1870-1871, 466. MONNIER et Cie (J.).

Chou-Fleur impérial, 501.

NARDY. Multiplication de la Vigne par bouture, 66. Culture des Eillets remontants,

241. NAUDIN.

-

Bibliographie, 19. Petites inventions horticoles, 34. Une tempête de neige dans le midi de la France, 85. - Pronostics pour l'été prochain la loi de M. Renou, 136. Oranger Mandarinier, 154. Cas d'hybridité dans le groupe des Quinquinas, 170. Rusticité du Livistona australis et de quelques autres Palmiers, 218. Comment on traite la botanique et les botanistes, 285.

Nouvelles expériences sur l'acclimatation des végétaux, 305. - Opinion de M. Bentham, sur la variabilité des espèces, 345. NEUMANN. Dahlia imperialis, 112. Iberis Gibraltarica, 330.