Abbildungen der Seite
PDF
EPUB

Religion, Législation, Statistique.

Synchronismes, etc.

ment des réfugiés de Londres et des sociétés se- puis Lady Tartuffe et la Joie fait peur, mieux crètes.

Voici, d'après le réquisitoire, les préparatifs qu'avait faits Pianori pour accomplir sa pensée parricide:

« Le 28 avril, Pianori sort de son domicile dans la matinée; il est armé jusqu'aux dents. Son pistolet double, chargé et amorcé, pend à sa ceinture; ses deux pistolets simples, également chargés et amorcés, sont placés dans les deux goussets de son pantalon; son couteau poignard y est également placé, et avec lui se trouve un rasoir bien aiguisé. Dans ses vêtements, il a aussi placé une casquette, afin qu'après le crime commis, s'il parvient à n'être pas arrêté, il puisse changer de coiffure et prendre plus sûrement la fuite. »

[blocks in formation]

[ocr errors]

(11 juillet). Loi qui autorise le ministre des finances à emprunter une somme de 750 millions. Le taux d'émission de cet emprunt fut fixé, pour le 4 1/2 p. 100 à 92 fr. 25 c., et pour le 3 p. 100 à 65 fr. 25 c. Le capital souscrit devait être payé de la manière suivante : un dixième au moment de la souscription, et le surplus de mois en mois, en dix-huit termes égaux, dont le premier échéant le 7 septembre suivant. La bonification qui résultait de cette division équivalait à une diminution de 2 fr. 79 c. sur le 4 1/2 p. 100, et de 1 fr. 98 c. sur le 3 p. 100. Ainsi le 3 p. 100 ressortait, en réalité, à 63 fr. 27 c., et le 4 1/2 p. 100 à 89 fr. 46 c. La souscription resterait ouverte du

accueillies.

(8 juillet). GRAnde Bretagne. - Érection, à Londres, au cours de Cheapside, de la statue en bronze de sir Robert Peel, en présence des membres de la corporation de la Cité de Londres, d'un grand nombre de savants et d'autres personnages. Cette statue colossale, de onze pieds deux pouces de hauteur, s'élève sur un piedestal de granit.

(18 août). Autriche. - Conclusion d'un concordat avec la cour de Rome. On sait quelle situation d'indépendance dangereuse avaient créée pour l'Église d'Autriche les lois qui remontaient au règne de Joseph II. Les tristes exemples d'une révolution récente avaient préparé le pays tout entier à un retour vers les idées religieuses, et l'empereur

François-Joseph comprit la nécessité de donner plus de force à l'autorité ecclésiastique. Après de longues conférences entre le cardinal Viale-Prela, nonce apostolique, et M. de Rauscher, archevêque de Vienne, un concordat fut signé le 18 août. Cet acte important comprend trente-six articles dont les principaux fixent d'une manière satisfaisante les rapports de l'État et de l'Église en Autriche avec le saintsiége.

[ocr errors]

(4 septembre). Inauguration, par un voyage d'essai, du premier chemin de fer californien (le chemin de fer de la vallée du Sacramento), qui n'avait encore à ce moment qu'un mille et demi de longueur.

-(8 septembre). Cinq généraux français succombèrent, comme nous l'avons dit, à l'assaut livré le 8 septembre sous les murs de Sébastopol. Jeunes encore, les généraux Rivet, de Pontevès, de Saint-Pol, Breton et de Marolles, avaient devant eux un brillant avenir. Nous empruntons à des sources offi

cielles les détails suivants sur chacun de ces chefs héroïques.

RIVET (Marie-Constant-Aphonse), né à Coblentz (Prusse), le 15 février 1810, de parents français, entra à l'école Polytechnique en 1829, et à l'école d'application de Metz, deux ans plus tard. Il fit ses premières campagnes en Afrique, dans l'arme de l'artillerie. Devenu

19'Siècle.

Dates.

1855 (Janvier)

Événements politiques.

par suite du retard apporté par les Anglais à l'achèvement des travaux qui leur avaient été dévolus, elles sont forcées de rester muettes. Une seule batterie de mortier essaye de répondre aux projectiles de toute sorte dont l'ennemi accable incessamment nos tranchées.

Le général Canrobert veut sortir à la fois de son inaction et de son incertitude; il expose, en conséquence, à lord Raglan, la situation des attaques françaises, et le prie de lui donner l'état des siennes. Le général en chef de l'armée anglaise lui envoie, en réponse, un rapport très-circonstancié sur la réduction de ses effectifs ; il en ressort la nécessité, pour nos troupes, de décharger nos alliés d'une partie de la besogne qui leur a été attribuée.

On ne peut donner l'assaut en face de nos lignes si les ouvrages anglais ne sont en mesure de battre victorieusement les formidables batteries de l'Arsenal et du Redan, qui pulvériseraient nos colonnes. Aussi, arrête-t-on que le corps d'observation, augmenté d'une brigade, prendra une partie du service fait actuellement par l'armée anglaise, qui aura alors deux jours et deux nuits de repos pour un jour et une nuit de travail.

Le colonel de Cissey et le commandant Vico procédaient, le 13 janvier, au remplacement des Anglais par les Français sur le plateau d'Inkermann.

Nos parallèles sont tellement rapprochées de la place, qu'on a été obligé de modifier, depuis le 1er janvier, le service des tranchées comme suit:

Au lieu d'un bataillon de réserve, c'est un bataillon de piquet qui occupe la maison du Clocheton, point central des tranchées, où les troupes de garde et les brigades de travailleurs reçoivent leur ration supplémentaire d'eau-de-vie. Le bataillon de réserve, formant un effectif de quatre cent cinquante à cinq cents hommes, se tient sur la gauche, en arrière des batteries 1 et 2.

On compte chaque jour sept bataillons de garde à la tranchée, plus un bataillon de chasseurs à pied, employés comme tireurs, et disposés sur tout le développement de la parallèle la plus avancée pour entretenir le feu de la mousqueterie. En outre, un poste de deux cents hommes, placé dans le ravin des Anglais, rélie nos attaques de droite à la gauche des alliés; une compagnie de francs-tireurs de cent cinquante hommes est répartie sur différents points favorables au tir de précision, et, chaque nuit, deux compagnies du bataillon de volontaires font le service d'éclaireurs.

Le chiffre des travailleurs quotidiennement commandés dans les différents corps est de trois mille; on les distribue par escouades sur divers points, pour pratiquer de nouveaux boyaux de communication, ou pour construire l'emplacement de nouvelles batteries, ou réparer les parapets endommagés par le feu de l'ennemi. Leur nombre augmente quand besoin est, et dépasse quelquefois quatre mille.

La garde de tranchée est divisée en trois commandements: la droite, le centre, la gauche, dévolus à des colonels ou lieutenants-colonels. Il y a chaque jour un général de tranchée, pris dans les brigades du corps de siége.

Les ouvrages français se divisent en deux attaques : celle de droite, qui comprend depuis le bastion central jusqu'à la batterie des casernes, en englobant le bastion du Mât; celle de gauche, qui s'étend depuis la Quarantaine jusqu'au bastion central. Le colonel Raoult, ou son premier aide-major, le commandant Faure, accompagne le général dans ses explorations quotidiennes.

Religion, Législation, Statistique.

Synchronismes, eto.

1

18 au 29 juillet. Si le montant des souscriptions dépassait 750 millions, elles seraient soumises à une réduction proportionnelle, jusqu'au chiffre de 50 fr. de rentes, qui ne serait pas réductible. Les payements par anticipation seraient admis pour toutes les souscriptions qui ne dépasseraient pas 1,000 fr. de rente, et seulement à partir du jour de

la remise des certificats de l'emprunt.

Le succès dépassa toutes les prévisions. Le nombre des souscripteurs s'était élevé à trois cent seize mille huit cent soixante-quatre, le capital souscrit à trois milliards six cent cinquante-deux millions cinq cent quatre-vingt-onze mille neuf cent quatre-vingt-cinq francs (3,652,591,985), savoir souscriptions de 50 fr. et au-dessous, non réductibles, 231,920,155 fr.; souscriptions de 60 fr. et au-dessus, soumises à la réduction proportionnelle, 3,420,671,830 fr.

Les départements avaient fourni deux cent trente-six mille cinq cent soixante-dix-sept souscripteurs, et en souscriptions 1,118,703,535 fr. Les 2,533,888,450 fr. souscrits à Paris comprenaient 600 millions venus de l'étranger.

Le dixième déposé à Paris et dans les départements, à titre de garantie, formait un total de 365,259,198 fr.

Le ministre des finances put signaler avec raison, dans son rapport sur les résultats de l'emprunt (Moniteur du 31 juillet), ce caractère important de la manifestation nationale, qu'un déplacement aussi énorme de capitaux eût pu s'effectuer dans un temps si court, après deux emprunts récents, au milieu de complications extérieures si graves, après les crises alimentaire et épidémique traversées par le France, et cela sans causer la moindre perturbation dans les affaires, sans altérer le cours des valeurs. Car, contrairement à ce qui s'était vu dans tous les emprunts, celui-ci avait été salué par une hausse dans le prix de la rente, qui de 65 fr. 90 c., cours de la veille, s'était élevée au cours de 66 fr. 80 c.

L'accueil empressé que l'emprunt recevait en France se reproduisit en Angleterre. Les principales maisons de Londres ouvrirent des souscrip

officier d'ordonnance du général Bugeaud et nommé capitaine, il passa, en 1844, en qualité de chef d'escadron dans la cavalerie indigène d'Afrique, et se couvrit de gloire à la bataille d'Isly. Devenu lieutenant-colonel du 2 chasseurs d'Afrique, il dirigea quelque temps

après le bureau central des affaires arabes

et fut nommé colonel du 8 hussards, en 1848. Quatre ans après, il était général de brigade et quittait la subdivision de la Charente pour retourner en Afrique, où il remplit les fonctions de chef d'état-major général. Au commencement de cette année, il se rendit en Crimée pour y occuper le poste de chef d'état-major du 1er corps, et se distingua, le 1er mai, à l'attaque du bastion du Mât. La perte du général Rivet, que son mérite appelait aux plus hautes dignités de l'armée, fut vivement ressentie.

DE PONTEVES (L. J. B. Edm), est né à Marseille le 24 juin 1805. Sorti de l'école de Saint-Cyr en 1824, il fit la campagne d'Espagne, entra comme lieutenant dans la garde royale, puis servit longtemps en Algérie avcc distinction. En 1849, il passait à l'armée d'Italie, et était nommé, la même année, colonel du 75° de ligne ; général de brigade en 1854, il partait, au mois de juin dernier, à la tête d'une brigade de la garde impériale pour l'armée d'Orient.

DE SAINT-POL (Jules), né le 14 décembre 1810, à Reims, entrait à Saint-Cyr en 1827. Il fit la campagne de 1831 en Belgique, ser

vit quelque temps dans l'armée belge, puis passa aux zouaves en 1842. Il alla en Italie en 1851, comme chef de bataillon au 7° chasseurs à pied. Nommé lieutenant-colonel, il fit, en 1852, l'expédition de Kabylie à la tête du 2 régiment de la légion étrangère; devenu colonel, il commanda en cette qualité, en Crimée, le 3e de zouaves, et le 17 mars 1855, il était promu au grade de général de brigade; il s'était fait remarquer par sa bravoure, le 7 juin, à l'attaque du mamelon Vert.

BRETON (Alexandre-Hippolyte-Félicité), né à Melun le 4 novembre 1805, sortit de SaintCyr en 1824 et fit la campagne de Morée. Nommé ensuite directeur du gymnase de la Flèche, il était en 1831 capitaine instructeur

19' Siècle.

Dates. 1855

(7 janvier)

(11 janvier)

Événements politiques.

A la nuit, le grand fanal du Clocheton s'illumine et guide les plantons envoyés au dépôt et les brancards de l'ambulance. Des vigies y veillent constamment, chargées d'annoncer les attaques de l'ennemi. Leur signal est répété par le clairon, dont les différentes sonneries, au nombre de trois, caractérisent l'événement : le garde à vous! donne l'alerte; le rappel indique une altaque; l'assemblée signifie que cette attaque est sérieuse. En outre, des fusées précisent la direction : des étoiles pour la gauche, des marrons pour le centre, des serpenteaux pour la droite. Deux de ces fusées annoncent le garde à vous, trois le rappel, quatre l'assemblée.

Tant de précautions ne sont que raisonnables, car les Russes multiplient les attaques nocturnes, excités par les popes qui leur disent que les soldats français, les mains engourdies par le froid, laisseront échapper leurs armes impuissantes, et s'offriront à leurs coups comme des boucs impurs au couteau du sacrificateur.

Le 5 janvier, quatre cents hommes d'élite du régiment de Minsk, conduits par leur colonel, sont repoussés dans leur tentative d'enclouer les pièces des batteries françaises établies aux abords du ravin du sud. Dans la nuit de ce même jour, cent cinquante volontaires des équipages de marine, à la tête desquels marche le lieutenant Zawalichine, en voulant attaquer l'ouvrage T, tombent au milieu d'un poste du 46° de ligne, qui les fusille à bout portant. L'arrière-garde de cette colonne, composée d'infanterie, se replie à cette première décharge sous les murs de la ville; l'artillerie des forts ouvre une terrible canonnade, et les matelots russes, pris entre deux feux, se débandent dans un désordre inexprimable; ils abandonnent sur les talus six morts et dix-sept blessés.

Dans la soirée du 7, une colonne russe de quatre cents hommes s'élance à l'escalade de nos parapets avec une telle vigueur qu'une quinzaine de Russes se trouvent en dedans de la parallèle sans coup férir. Trois compagnies du 1er bataillon du 46°, commandées par le chef de bataillon Julien, sont de garde sur ce point; elles observent un tel silence « qu'on entend battre son cœur,» selon l'expression d'un des soldats. Lorsque l'ennemi s'est engagé par masses dans l'étroit boyau de la tranchée, nos troupes se précipitent sur lui, tandis qu'une compagnie de réserve, commandée par le sous-lieutenant Kerdudo, l'attaque en flanc. Ne pouvant évoluer, les Russes sont culbutés et poursuivis l'épée dans les reins par le souslieutenant Kerdudo à la tête de sa compagnie. Ce jeune homme, à peine âgé de vingt ans, montre dans cette circonstance l'aplomb et l'énergie d'un vieux militaire. Il est mis par le général en chef à l'ordre du jour de l'armée, et ses collègues lui offrent un banquet.

Le jour même, une colonne ennemie passe la Tchernaïa et se dirige vers Sébastopol en rasant le bas des hauteurs d'Inkermann; mais les Anglais descendent des crêtes de leur cantonnement, et, par une vigoureuse attaque, la contraignent de rétrograder.

- On sait que la conférence du 28 décembre avait fixé un délai de quinze jours à la Russie pour l'acceptation pure et simple des quatre garanties suivant l'interprétation de la France, de l'Angleterre et de l'Autriche. Le 7 janvier, avant l'expiration du délai, le prince Gortchakoff rapporta l'acceptation de Nicolas Ir.

ALGERIE. La tribu pillarde des Zegdou, dont le territoire est nommé par les

Synchronismes, etc.

Religion, Législation, Statistique.

tions publiques, et les capitalistes anglais se hâtè- à l'école militaire de Saint-Cyr. Parti comme rent d'y répondre.

(8 août). Ouverture d'un crédit extraordinaire de 300,000 francs pour les familles des militaires morts à l'armée d'Orient.

-(10 août). Promulgation de la convention conclue entre la France et les Pays-Bas pour la garantie réciproque de la propriété des œuvres d'art et d'esprit.

Promulgation de la convention conclue entre la France, la Grande-Bretagne et la Sublime-Porte pour la garantie d'un emprunt turc.

-

- (27 août). ÉCHAUFFOURÉE SOCIALISTE A ANGERS. -L'acte d'accusation raconte ainsi les péripéties de cette absurde et criminelle tentative:

<«< Minuit approchait, lorsque la police reconnut qu'un rassemblement séditieux commençait à se former sur la promenade du Mail. Aussitôt, quatre inspecteurs se glissent avec précaution sous l'ombre des arbres, et tout à coup, sans consulter le danger ni les chances d'une lutte possible, tous les quatre se précipitent résolûment, au pas course, sur un groupe composé d'une quarantaine d'hommes, qui presque tous étaient armés.

» Ainsi surpris à l'improviste, ces malfaiteurs ne devaient point songer à résister; l'heure de la lutte n'était point arrivée, et la commencer en ce moment eût été compromettre le succès d'une entreprise qui semblait assurée à l'heure convenue. Le groupe se dispersa donc aussitôt, chacun fuyant dans toutes les directions, et, profitant alors de leurs avantages, les agents de la force publique parvinrent à pratiquer successivement plusieurs

[merged small][merged small][ocr errors]

colonel pour la Crimée, il se distingua à la bataille d'Inkermann, et fut promu au grade de général de brigade le 24 mars 1855.

DE MAROLLES (Louis-Roger), né le 18 janvier 1808, à Batavia (Java), de parents français, entra à Saint-Cyr en 1824; il fit les campagnes d'Espagne, entra comme capitaine aux chasseurs à pied lors de la formation de ce corps, puis servit en Afrique et en Italie, où il prit part au siége de Rome. Le 1 mai 1854, il fut nommé colonel du 2o régiment de voltigeurs de la garde impériale et se fit remarquer par son intrépidité dans les combats de nuit livrés sous les murs de Sébastopol les 22, 23 et 24 mai. Il était, depuis un mois seulement, général de brigade, quand il est mort glorieusement dans l'assaut du 8 septembre.

-

(13 septembre). SUÈDE. Grave démonstration, à Calskrona, au sujet de l'extrême cherté des vivres. Les ouvriers des chantiers de la marine, au nombre de sept cents, se réunirent et envahirent en masse l'hôtel du gouverneur civil de la province. Ils déclarèrent à ce fonctionnaire qu'ils étaient venus pour solliciter des mesures efficaces contre les distillateurs qui accaparaient toutes les pommes de terre pour la fabrication de l'eau-de-vie. Le gouverneur les somma de retourner à leurs travaux, déclarant que s'ils s'y refusaient, il ferait prévenir l'amiral commandant en chef de la place. Les ouvriers finirent par céder à cette menace.

(2 octobre). Mort de l'agronome MATHIEU DE DOMBASLE. Il naquit au château de Dombasle, en Lorraine, en 1777, d'une famille noble, possédant une fortune territoriale considérable.Il mourut à Nancy, entouré de la plus forte somme de célébrité et de considération publique qui ait jamais été accordée à un agronome. La reconnaissance publique lui a élevé une statue en bronze sur une des places de Nancy. Les frais de ce monument ont été couverts par une souscription à laquelle a pris part toute la France agricole.

[blocks in formation]
« ZurückWeiter »