Histoire naturelle generale et particuliere, Band 108chez F. Dufart, 1799 |
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
adhérent aigrette Albumen Albumen charnu angle anthères arbres arbrisseaux arbrisseaux à fleurs arrondies baie belle de nuit botanistes calice calice devient capsule cavité cellules alongées central centre circonférence CLASSE cloison cône corolle cotyledons courbé cylindre d'albumen Deuxième ordre devient un fruit dilaté divisions drupe écailles Embryon enveloppe espèces éta étamines fausses trachées fécondation feuilles filets fleurs à étamines fleurs composées fleurs en rose fleurs femelles fleurs hermaphrodites fleurs mâles florale fluides folioles forme fougères fruit capsule globuleux graines noix herbes à fleurs hermaphrodites horisontale hypogynes Juss l'anthère l'écorce l'embryon l'œillet l'ovaire lames ligneuse Linnæus lobes loges longitudinales membranes monocotyledones monoïque monopétales mouron rouge noeuds ombellifères organes ovaire ovale ovules pédoncule périanthe périanthe simple péricarpe périgynes périsperme pétales pétiole petites pissenlit pistil devient PLANTES DICOTYLEDONES poils polypétales quelquefois radicule réceptacle réunies s'alonge SECTION PREMIÈRE sessiles silique stigmate style sucs tems tige tissu cellulaire transversale très-alongées tubes vaisseaux valves végétal Vent
Beliebte Passagen
Seite 45 - ... plus considérable , et le pistil est trèsvisible. A mesure que les écailles s'écartent, les périanthes croissent; ils forment dans ces premiers tems un abri aux organes de la génération , et sans doute aussi ils les nourrissent en pompant les fluides aériens. Avant l'entier épanouissement de la fleur , les divisions 'de la corolle sont rassemblées autour des étamines ou des pistils; dans un grand nombre d'espèces, elles sont roulées toutes ensemble sur elles - mêmes ; dans d'autres...
Seite 358 - Decandolle nous ont appris que le reseau des feuilles étoit composé de mailles quelquefois très-alongées ; or, le réseau décrit par ces observateurs n'est autre chose que le tissu cellulaire que je décris, et dont aucun naturaliste , que je sache , n'a donné de notions exactes. La difficulté de saisir , à l'aide du microscope , les rapports existans entre des plans placés dans des directions différentes et à inégale distance , a fasciné les yeux des observateurs ; les membranes formant...
Seite 405 - J'ai donné plusieurs exemples de ce fait dans les développèmens qui ont précédé ces généralités : j'ai fait voir que, dans les tiges canelées, les sillons répondent à des portions de tissu cellulaire et sont recouverts de pores ; tandis que les parties saillantes répondent à des faisceaux de tubes et n'ont jamais de pores. Mes observations sur les dicotyledons seront une nouvelle confirmation de cette théorie.
Seite 397 - Dans ces circonstances le cotylédon, s'il ne recouvre point la planmle, est rejeté sur le côté et prend peu de développement ; il reste sous la terre et plongeant toujours dans le périsperme devenu liquide , il sert probablement à faire passer la liqueur nourricière dans l'intérieur de la plante. Mais s'il enveloppe absolument la plumule, pressé par elle, il ne cède point aussitôt; sa base se prolonge en une gaîne dans laquelle la jeune tige est emprisonnée. Cette...
Seite 400 - ... partie, pénétrée par les fluides qui s'élèvent de la racine vers le sommet de la plante, et modifiée par leurs mouvemens uniformes , s'alonge dans la direction des grands tubes, et forme autour d'eux une multitude de petits tuyaux auxquels j'ai donné le nom de tissu tabulaire. Ils sont...
Seite 261 - Jj g. 33. — Fleurs dont les étamines et les pistils ne sont pas entourés de pétales, ou bien gui sont entourés de parties que Tournefort ne regarde pas comme des pétales , parce qu'elles subsistent après la floraison, et ne sont pas ordinairement colorées comme les pétales des autres fleurs. SECTION PREMIÈRE. Des herbes qui ont les fleurs à étamines dont la partie postérieure du calice devient le fruit ; le cabaret , la poirée. SECTION DEUXIEME.
Seite 320 - Anthères fourchues on à deux cornes. La bruyère, l'andromède, l'arbousier, la pyrole, l'airelle. ORDRE QUATRIEME. LES CAMPANULACÉES. JuSS. Vent. Fruit à plusieurs loges , s'ouvrant par des trous situés, ou au sommet, ou à la base, sur les côtés-. Loges à plusieurs graines ; graines attachées à l'angle intérieur des loges. La campanule, le phyteuma, le lobelia. CLASSE X. PLANTES DICOTYLEDONES MONOPÉTALES.
Seite 384 - ... sommet. Plus les cellules sont voisines de ces filets, plus elles s'alongent, plus les membranes qui les coupent horisontalement sont éloignées les unes des autres , plus leur forme se rapproche de celle d'un tube, plus leurs pores sont apparens, plus ils sont^ distribués avec ordre et symétrie. Enfin...
Seite 7 - ... et ces rejetons séparés se nourrissent , croissent et se multiplient par eux-mêmes. On voit aussi les branches et les rameaux de plusieurs arbres se courber en voûte., jeter des racines dans la terre, qu'ils touchent de leurs extrémités supérieures , et se transformer en tiges. Mais on ne peut considérer cela comme une véritable reproduction : ce n'est encore que l'extension et le développement d'un même individu. Passons à un autre mode de propagation, qui est également commun à...
Seite 208 - La capsule , capsula, est un fruit à une ou plusieurs graines renfermées dans un péri(i) On dira, peut-être, que je réunis sous une même dénomination des fruits qui n'ont que des rapports fort éloignés ; ma,is j'observe que c'est au bota,carpe sec , à une ou plusieurs loges , et s'ouvrant à l'époque de la maturité d'une manière déterminée. On donne le nom de valves , valvœ , aux panneaux dont la réunion forme la capsule, et qui se désunissent lorsque le fruit est mûr. Une capsule...