serait facile d'obtenir le double attrait du feuillage et des fruits, en laissant au centre de la touffe des branches de l'année précédente, qui fleuriraient et fructifieraient, tandis que la taille courte, appliquée aux branches extérieures, donnerait l'ampleur

et la grâce du feuillage à la phériphérie.

C'est surtout traité en plante isolée, par ce dernier procédé, que le S. r. plumosa se montrera paré de tous ses avantages. Éd. ANDRÉ.

Le Comité de floriculture, seul, a eu à se prononcer sur la valeur de quelques Orchidées apportées par M. Driger, jardinier chef au pensionnat des Frères de Passy. Ces plantes, au nombre de quatre, étaient: un Cattleya Mossiæ, un Oncidium divaricatum, un Miltonia vexillaria et un Dendrobium Draconis.

M. Bergman, de retour d'un voyage en

photographies des principaux sites de cette contrée si pittoresque et si curieuse. Une vue de la maison de campagne de Linné, à Hammaroy, qui a abrité le grand savant pendant une partie de sa vie, nous a vivement intéressé, ainsi que la chute du Nid, près de Trondhjem, et la chute de Handolsforsen, large de 50 mètres et encadrée par d'énormes rochers surmontés de Sapins, spectacles grandioses qu'il est impossible d'oublier quand on les a vus une fois.

Décidément nous sommes en pleine morte saison. Il est vrai que l'approche du cinquième Concours, à l'Exposition universelle, a empèché beaucoup d'horticulteurs d'envoyer leurs produits et aussi d'assister à la séance.

Comité de floriculture.

M. Ed. André déposait sur le bureau un rameau fleuri d'une belle espèce nouvelle, ou du moins à lui inconnue, de Loasa à fleurs jaunes, introduite par lui lors de son voyage dans l'Amérique du Sud. Cette plante a fleuri, pour la première fois, cette année, dans ses serres de Lacroix.

En envoyant également une ramification du régime d'un Caryota qui ressemble au C. sobolifera, mais que l'insuffisance des échantillons qu'il a reçus de Menton ne lui a pas permis de déterminer d'une façon précise, M. Ed. André faisait connaître un fait horticole très-intéressant. Il s'agit de la floraison en plein air de ce Caryota, à Menton; il a supporté tous les hivers depuis cinq ans en pleine terre, sans aucun abri. C'est très-probablement le premier cas de floraison d'un Caryota que l'on ait jusqu'ici observé dans le midi de la France, voire même en Europe. On sait, en effet, que ces plantes, toutes originaires des îles de la Sonde, de la Nouvelle-Guinée et de l'Australie tropicale, sont, par conséquent, de serre chaude.

Un lot de six ou huit Glaïeuls variés appartenant au groupe des gaudavensis était présenté par M. David, jardinier à Savigny-surOrge. Ces plantes, qui étaient fort jolies et témoignaient d'une excellente culture, présen

taient un intérêt beaucoup moindre au point de vue de la nouveauté, en raison de la quantité considérable de belles variétés de Glaïeuls actuellement répandues dans le commerce.

Des observations qui ont été échangées au sujet du degré de rusticité des Glaïeuls rustiques de Lemoine, on pourrait conclure que ceux-ci, laissés en pleine terre l'hiver et couverts avec du paillis, ne sont pas à l'abri des gelées.

Il y a lieu, cependant, de ne pas trop se presser d'émettre un jugement et d'attendre, au contraire, plusieurs années avant de se prononcer définitivement.

Comité d'arboriculture fruitière.

A signaler l'envoi, par M. Lefort, de Meaux, d'une corbeille d'Abricots de la variété Blanchet. Ce fruit, que le Comité n'a pu juger par suite de son état de maturité incomplète, a le précieux avantage d'être gros, coloré et surtout très-précoce.

Comité de culture potagère.

Six Cantaloups Prescot fond gris, six Concombres Télégraphe et dix Concombres blancs maraîchers, étaient présentés par M. Chemin, qui, à cet envoi, avait joint six pieds de Céleri blanc Chemin de toute beauté, blancs jusqu'à l'extrémité des pétioles. Si on considère que ces énormes Céleris proviennent de semis faits au premier printemps, on est forcé de reconnaître qu'il y a une avance de trois semaines sur la saison ordinaire.

H. MARTINET.

des collections nombreuses et complètes de Pelargonium à feuilles panachées pour massifs et bordures, ainsi que toutes les autres séries de genre, chez MM. Thibaut et Keteleer, horticulteurs à Sceaux. Toutefois, en faisant votre demande, n'oubliez pas de spécifier l'usage que vous voulez en faire, afin que l'on vous envoie exactement les plantes dont vous avez besoin. Dans le cas où vous tiendriez surtout à la couleur panachée des feuilles, il faudrait l'indiquer.

Pour les plantes à feuilles panachées qui se reproduisent de graines, il n'y a aucune règle certaine, et toutes les théories qu'on a faites sur ce sujet ont été très-souvent contredites par les faits. L'expérience est la seule règle, et encore elle est fréquemment mise en défaut.

M. de C... (Indre-et-Loire). La nicotine n'étant pas un produit homogène et pouvant varier dans sa composition, il est difficile, pour son emploi, d'en fixer les proportions. Néanmoins, en l'étendant de 8 à 12 p. 100 d'eau, vous avez la chance d'être dans une très-bonne moyenne.

No 3587 (Marne). Veuillez préciser votre demande. Formulée en termes généraux comme est la vôtre, cela nécessite des recherches qui ne sont pas de notre ressort. Toutefois, nous vous rappelons que la fleur de soufre projetée sur les parties attaquées par la grise est par excellence le remède pour guérir cette affection.

trée, à laquelle vous ajouteriez de la nicotine. Vous auriez peut-être plus de chance d'arriver à la destruction du délinquant en employant contre lui le nouvel insecticide Fichet.

M. A... (Cannes). Les cultivateurs de Mimosa deviennent de plus en plus rares, et les collections de ces plantes sont à peu près introuvables, actuellement. Ce qu'il y a de mieux à faire serait de s'adresser aux principaux horticulteurs d'Angers, d'Orléans, de Montpellier (M. Sahut, par exemple). Peutêtre en trouveriez-vous quelques espèces chez M. Rabouin, à Laval, et chez M. Lancezeur, à Rennes.

M... (Pyrénées-Orientales). Malgré la précision des détails dans lesquels vous êtes entré, nous ne pouvons dire quelle est l'espèce de Rosier à laquelle se rapporte votre échantillon à cause de son très-mauvais état.

Quant à votre observation sur le résultat produit sur vos fleurs d'Héliotrope, elle est des plus intéressantes, et nous serions heureux si, continuant vos expériences sur ce sujet, vous aviez l'obligeance de nous faire connaître vos nouvelles observations.

No 3702 (Orne). Vous trouverez des greffes du Pommier à cidre, la Reine des Pommes, chez M. Ch. Baltet, horticulteur, à Troyes (Aube).

L'Administrateur-Gérant: L. Bourguignon.

Trap. Georges Jacob, — Orléana

précoces.

Congrès bota

et concours.

spécialement à l'ordre du jour du Congrès :

On se rappelle tout ce qui a été dit au sujet de la construction de ces serres, dont la plantation, toute récente, ne peut encore meubler complètement l'immense vaisseau, et que nous nous proposons d'étudier en détail pour les lecteurs de la Revue.

A cette occasion, nous sommes heureux d'enregistrer la nomination de M. Maxime Cornu, le savant professeur de culture du Muséum, au grade de chevalier de la Légion-d'Honneur. Les travaux de M. Cornu, sur la botanique cryptogamique principalement, ses nombreuses et importantes études sur la question si grave du phylloxéra, ainsi que les services qu'il a rendus au Muséum depuis qu'il est à la tête des cultures, lui donnaient tous les droits à la distinction dont il vient d'être l'objet.

C'est avec plaisir également que nous avons vu décerner les palmes d'officier d'académie à M. L. Henry, surveillant des cultures de plein air du Muséum.

Société pomologique de France. La 31 session de la Société pomologique de France s'ouvrira à Paris, le 16 septembre prochain, à deux heures, sous les auspices de la Société nationale d'horticulture de la rue de Grenelle, 84.

Pour bénéficier de la réduction de moitié que les Compagnies de chemins de fer accordent sur les transports des membres de la Société, les demandes devront être adressées à M. le Président de la Société pomologique, au palais des Arts, à Lyon. Indépendamment des questions concernant l'administration de la Société et les fruits mis à l'étude, le programme com

16 AOUT 1889.

1o Les variétés de Poiriers et de Pommiers, parmi celles adoptées par le Congrès, qui sont le plus spécialement destinées à la culture, soit en espalier, soit en haute tige, soit en formes restreintes pour le plein vent;

2o L'élevage du Pommier à cidre en pépinière ;

3o Les variétés de Pommes à cidre dont l'association produit le meilleur cidre;

4o Les insectes qui portent préjudice aux arbres ou à leurs fruits; le meilleur procédé de préservation;

50 La tavelure des fruits; les moyens de la prévenir ou de la guérir;

6o Les causes de l'insuccès du sulfatage des Vignes contre le mildiou;

7o Les sous-sols qui sont le plus favorables aux arbres fruitiers; ceux qui le sont le moins.

Congrès botanique de 1889. - Nous rappelons à nos lecteurs qu'un Congrès botanique aura lieu à Paris, du 20 au 25 août prochain, au siège de la Société botanique de France, rue de Grenelle, 84.

Le Congrès sera ouvert le 20 août, à deux heures.

Le jury du groupe IX à l'Exposition universelle. Nous avons donné la composition du bureau du jury de groupe qui doit ratifier les décisions des jurys des classes 78, 79, 80, 81, 82, 83, et est composé, on le sait, des présidents, vice-présidents et secrétaires des jurys de classe.

Plusieurs de nos lecteurs nous ayant manifesté le désir d'avoir la liste complète des membres du jury du groupe IX, nous nous empressons de la publier en entier.

Bureau. Sir Colville Barclay, président; M. Freiwald, vice-président; M. Hardy, rapporteur; M. Sohier, secrétaire.

Membres. MM. Ed. André, Ch. Joly, Horace de Choiseul, Villard, Moser, Curé, Joret, Duvillard, Baltet, Mussat, Le Paute, Demontzey, Rivet, Duchartre, Chantin et Truffaut.

16

Traitement du Blackrot. Dans le numéro du 16 juillet de la Revue horticole, nous signalions l'apparition du Blackrot dans différents vignobles du Midi. Des expériences ont été entreprises à ce sujet à Aiguillon, sous la direction de M. Prillieux et avec le concours de M. Lavergne.

Il résulte de ces essais et surtout d'études faites par M. Fréchou, que l'invasion du Blackrot peut être prévenue par l'emploi des sels à base de cuivre, additionnés ou non de chaux. Mais « on ne le guérit pas >>.

Des expériences ont été faites avec des poudres et des bouillies à des doses différentes: 3 kilog. de sulfate de cuivre et 2 kilog. de chaux; 5 kilog. de sulfate de cuivre et 3 kilog. de chaux; 9 kilog. de sulfate de cuivre et 15 kilog. de chaux, et enfin avec des bouillies additionnées de la nouvelle substance inventée par M. Lavergne et appelée sporivore. Ces dernières contiennent de 500 grammes à 2 kilog. de sulfate de cuivre et quantité égale de chaux, additionnés de 1 kilog. de sporivore.

Jusqu'à ce jour, les résultats obtenus à l'aide de ces diverses bouillies ont été à peu près identiques. Quatre traitements furent nécessaires pour enrayer la marche du fléau. Le premier fut fait le 20 mai; le deuxième, le 30 mai; le troisième, le 18 juin, et le quatrième, le 10 juillet.

Pendant la période comprise entre le premier et le quatrième traitement, la pluie ne cessa pas de tomber, ce qui annulait en grande partie l'effet des bouillies et favorisait le développement de la maladie. Enfin, le quatrième traitement, qui fut fait par un beau temps, arrêta l'invasion du Cryptogame.

Essais d'hybridation sur les Solanées. M. P.-V. Lamarre, horticulteur à Bayeux (Calvados), nous adresse une lettre qui nous paraît devoir intéresser nos lecteurs. En voici quelques extraits:

... J'ai lu avec un grand plaisir votre article sur la greffe des Pommes de terre. Cette greffe est surtout intéressante au point de vue scientifique, bien qu'elle puisse peut-être donner des résultats pratiques dignes d'intérêt, par exemple une Tomate-Pomme de terre.

J'ai fécondé trois fleurs de la Tomate naine hâtive par le pollen combiné des Pommes de terre Eil violet, Princesse de Galles, et une variété de semis, non encore nommée, à tu

Voici une autre fécondation à laquelle je me suis livré : j'ai fécondé la Douce-Amère (Solanum Dulcamara) par la Pomme de terre. Résultats jusqu'ici fruits bien conformés et arrivés à leur grosseur normale.

Dans le cas où cela vous serait agréable, je vous tiendrai au courant des résultats définitifs que j'aurai obtenus.

Les faits cités par M. Lamarre, sont tous très-diverses un peu en dehors de celles intéressants et il s'y trouve des expériences qu'on fait communément; il faut d'ailleurs reconnaître qu'aucun d'eux ne s'écarte des règles scientifiques. Nous serons heureux

d'être tenus au courant des résultats obtenus.

Le soufrage des végétaux. Au moment où sévissent soit l'oïdium, soit des parasites analogues, que le soufre détruit également, nous croyons bon d'indiquer un moyen simple et éonomique de projeter le soufre. L'appareil consiste simplement en une pomme d'arrosoir enlevée de son goulot. Une fois enlevée, on introduit le soufre dans l'intérieur de la pomme, et tenant celle-ci par le col, on secoue; le soufre, qui sort par les trous, couvre bientôt les ceps (sarments, feuilles et grappes) sur lesquels on l'agite d'une véritable nuée jaune.

Semis de noyaux de Pêches précoces. collaborateur, M. Boisselot, de Nantes, nous Au sujet des Pèches précoces, notre adresse les lignes suivantes :

Jusqu'à présent, que je sache, on n'avait pu réussir à faire lever les noyaux de Pêches précoces Amsden, Alexander, et beaucoup d'autres de ce genre, malgré de nombreux semis qui avaient été faits.

Cette année, M. de la Bastie a réussi sur plusieurs variétés, et il a attribué ce résultat à ce que l'an dernier les Pêches ont mûri beaucoup plus tard, par conséquent dans une saison plus chaude. Cette opinion est parfaitement la mienne; j'ajoute qu'ici, à Nantes, ces Pêches précoces, que je considère comme bien médiocres, étaient, l'an dernier, beaucoup plus belles et surtout meilleures; aussi ai-je récolté beaucoup de noyaux très-bons, ce qui ne m'était jamais arrivé.

Qu'en résultera-t-il? Obtiendrons-nous des variétés moins précoces, mais supérieures quant à la qualité?

La reine des eaux (VICTORIA REGIA) à

dement et j'ai tout lieu d'espérer qu'ils arriveront à bonne maturité. Que résultera-t-il de cette fécondation?

de-Mars, dans un des bassins construits pour cet usage, près de la tour Eiffel, en face du pavillon du Brésil, on voit, s'étalant

sur les eaux, qui, pour la circonstance, sont maintenues à une température de 35 degrés, la magnifique Nymphéacée originaire du Brésil, qui a été dédiée à la reine Victoria, d'Angleterre. Elle est représentée par trois beaux sujets en très-bonne voie de développement. Avec elle se trouvent un Nénuphar à fleur blanche, quelques Pontederia crassipes et Pistia stratioides qui nagent dans le bassin et se promènent sur l'eau, grâce au renflement aérifère placé à la base du pétiole, où ils font l'office d'une sorte de vessie natatoire.

Rosa Godefroyana. Bien que trèsméritante et relativement nouvelle, cette Rose est encore rare dans les cultures. Issue de graines du Rosa Pissardi, elle n'a cependant rien de commun avec celui-ci ; ses rameaux, très-vigoureux, sont érigés et rappellent ceux des Bengales; ils se terminent toujours par une inflorescence ombelliforme composée de fleurs nombreuses, grandes, semi-pleines, à boutons rosés qui passent au blanc pur; de plus, ces fleurs sont excessivement et surtout agréablement odorantes. Ajoutons que la plante est très - remontante, qu'elle se force parfaitement, et que ses boutons allongés sont entourés d'un calyce frangé qui les dépasse sans les cacher complètement, laissant voir le rose tendre, qui forme, avec le vert frangé du calyce, un contraste des plus agréables. Si, dans des massifs de Rosiers Bengales, on mélange des Rosa Godefroyana, on obtient des oppositions

heureuses. Greffées rez terre ou sur racine, les plantes, alors plus vigoureuses, sont aussi plus floribondes que lorsqu'elles sont franches de pied. C'est une plante trèsméritante, et dont nous n'hésitons pas à recommander la culture.

plantés dans mon jardin, il existe, en fait de feuillage rouge ou plus ou moins pourpre, des Noisetiers, des Épines Vinettes, un Örme et un Hêtre, qui sont là depuis une vingtaine d'années. Depuis cette époque, j'ai toujours remarqué que les hannetons ont une prédilection toute particulière pour mon Hêtre à feuilles pourpres; ils en sont même si friands qu'ils dévorent toutes ses feuilles : cette année, encore, ils n'en ont pas laissé UNE SEULE! Fort heureusement pour moi, les yeux stipulaires se sont développés et ont ainsi produit un nouveau et abondant feuillage, de sorte qu'aujourd'hui mon arbre est de toute beauté.

Quant aux Noisetiers à feuilles pourpres, ils ont été à peine touchés par ces maudits coléoptères, qui ont complètement respecté l'ÉpineVinette et l'Orme à feuilles pourpres.

Doit-on, de ce fait, conclure que les hannetons nés à Orléans n'ont pas la même sensibilité de palais que ceux qui ont vu le jour dans nos parages, et notamment chez moi ?

Nous estimons qu'il ne faut pas conclure; recueillons seulement les observations, nous verrons plus tard, quand l'expérience sera jugée suffisante.

Ravages d'un insecte sur les bulbes. de Narcisses. Il arrive fréquemment que les bulbes de Narcisses, surtout ceux provenant d'introduction, ne donnent aucune pousse au moment de la végétation. Dans la plupart des cas, c'est à la présence d'un insecte, le Merodon equestris, que le mal doit être attribué.

La larve de cet insecte, qui est longue de près d'un centimètre, vit dans l'intérieur du bulbe qu'elle ronge; on la sent trèsfacilement en pressant le sommet du bulbe, qui est alors mou et spongieux.

Un excellent moyen de détruire cette larve est de plonger ces ognons de Narcisses dans l'eau pendant huit jours, ce qui est plutôt utile que nuisible à la plante.

En ce qui concerne la pourriture des bulbes, occasionnée le plus souvent par le contact d'un engrais un peu trop actif, la transplantation annuelle est le meilleur moyen de l'éviter.