Neuere Geschichte des preussischen Staates, vom Hubertsburger Frieden bis zum Wiener Kongress, Band 1

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Seite 458 - J'ai vu, écrivait le prince, Marie-Thérèse pleurer sur les malheurs de la Pologne opprimée ; mais cette princesse, exercée dans l'art de ne point se laisser pénétrer, me paroît avoir les larmes à son commandement ; d'une main elle a le mouchoir pour essuyer les pleurs, et de l'autre elle saisit le glaive de la négociation...
Seite 325 - Kaunitz, qui se trouvait aussi à Neustadt, eut de longues conférences avec Sa Majesté Prussienne. Cet homme, avec un sens droit, avait l'esprit- rempli de travers : l'interrompre quand il parlait, c'était l'outrager ; au lieu de converser il dissertait, aimant mieux s'entendre discourir lui-même que d'écouter ce que les autres lui répondaient.
Seite 105 - Recueil des traités, conventions et actes diplomatiques concernant la Pologne (1762—1862).
Seite 296 - Léopold de Toscane le 18 décembre : « Les troubles entre l'Espagne et l'Angleterre, loin d'être terminés , paraissent plus sérieux que jamais, et une rupture paraît presque infaillible. On se disputera pour bien peu de chose ; en attendant, notre neutralité avec le roi de Prusse à ne pas souffrir de guerre en Allemagne est sûre, et cela nous tranquillise. En France, ils sont fort embarrassés, vu leur pitoyable état, et l'on a même parlé de rompre le pacte de famille et de laisser l'Espagne...
Seite 394 - could not have acted otherwise without embroiling Europe in a general war; that it was the dismemberment of Poland alone that prevented Austria from drawing the sword and brought on a coolness that subsisted between her and the court of Versailles".
Seite 458 - J'ai bien vu pleurer Marie-Thérèse , écrivait-il dans une lettre particulière au duc d'Aiguillon ; mais cette princesse me paraît avoir les larmes à son commandement : d'une main, elle a le mouchoir pour essuyer ses pleurs, et, de l'autre, elle manie le glaive de la négociation.
Seite 427 - the existence of such a treaty is currently believed and has never been positively contradicted . . . but that there is now a subsiding treaty actually existing, I can neither affirm nor deny".

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