Histoire du commerce du Levant au moyen-âge. Éd. fr., refondue et augmentée par l'auteur, publ. par F. Raynaud. 1

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Seite iii - Edition française refondue et considérablement augmentée par l'auteur, publiée sous le patronage de la Société de l'Orient latin par Furcy Raynaud. Leipzig, Otto Harrassowitz, 1885-1886.
Seite 90 - Arabes, Libi, Siculi noscuntur et Afri; — Haec gens est totum prope nobilitata per orbem. - Et mercanda ferens et amans mercata referre ». Nel sec.
Seite 103 - ... de Jean Comnène, également vidimé dans l'acte de Manuel, ce qui expliquerait le changement de mois. La troisième date nous donne l'année 1092, qui est bien tardive ; comment croire que les Vénitiens aient attendu onze ans? Je crois qu'on peut, avec Tafel, /oc. cit., adopter la date de 1082. plaçait tout d'un coup les Vénitiens hors de pair à l'égard de tous leurs concurrents. C'était une série innombrable de ports qui leur étaient ouverts sans qu'ils eussent dorénavant à payer,...
Seite 28 - Istakhri, est la ville frontière des Grecs; nos marchands y vont tous : toutes les étoffes de fabrication grecque, tous les brocarts qui sont importés chez nous passent par Trébizonde.
Seite 103 - ... l'Empire, devenaient tributaires de Saint-Marc. On a très bien marqué le caractère de ces faveurs dans le passage suivant : « Le point essentiel du diplôme était le privilège accordé aux marchands vénitiens de vendre et d'acheter sur tous les points de l'Empire grec sans être inquiétés parles agents des douanes, des finances ou des ports; interdiction était faite à ces derniers de visiter leurs marchandises ou d'exiger un impôt de ce chef au nom de l'Etat. Cette mesure 1. D'après...
Seite 103 - ... eussent dorénavant à payer, soit pour le stationnement de leurs vaisseaux, soit pour le débarquement et le déchargement de leurs marchandises; c'étaient d'immenses territoires qu'ils pouvaient parcourir sans avoir à payer de droits ni à l'importation, ni à l'exportation, ni pour l'achat, ni pour la vente. Cette concession de faveurs extraordinaires fut probablement pour les Vénitiens l'occasion d'un nouveau développement de leur activité commerciale dans l'Empire grec'.
Seite 366 - Les conciles généraux fulminèrent: dorénavant quiconque oserait vendre aux Sarrasins du fer ou des armes, des bois de constructions maritimes ou des vaisseaux tout construits, ou entrer au service des infidèles en qualité de capitaine de vaisseau ou de pilote, encourait l'excommunication et à cette peine...

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