Histoire de la vie privée, politique et militaire de Frédéric II roi de Prusse: Précédée d'un tableau abrégé de la situation de la Prusse...Bellizard, 1834 |
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Seite 50 - France a passé, jusqu'à présent, pour l'asile des rois malheureux ; je veux que ma capitale devienne le temple des grands hommes. Venez-y, mon cher Voltaire, et dictez tout ce qui peut vous y être agréable. Je veux vous faire plaisir; et, pour obliger un homme, il faut entrer dans sa façon de penser.
Seite 133 - J'ai dû être surpris d'un traité négocié, conclu, signé et ratifié avec un prince mon ennemi, sans m'en avoir donné la moindre connaissance. Je ne suis point étonné de vos refus de vous prêter à des mesures violentes et à un engagement direct et formel contre moi; mes ennemis doivent...
Seite 269 - C'étre, monsir, répondit Freytag, Fieucre de poëshie du roi mon gracieux maître. — Oh ! je lui rendrai sa prose et ses vers de tout mon cœur, lui répliquai-je, quoique après tout j'aie plus d'un droit à cet ouvrage.
Seite 269 - Schmid, condamné ci-devant à l'amende pour fausse monnaie, me signifièrent, de la part de sa majesté le roi de Prusse, que j'eusse à ne point sortir de Francfort jusqu'à ce que j'eusse rendu les effets précieux que j'emportais à sa majesté, a Hélas!
Seite 138 - La raison me dit de mettre promptement fin à une guerre qui n'a plus d'objet depuis que les troupes autrichiennes ne sont plus en Alsace, et depuis la mort de l'Empereur : les batailles qu'on donnerait désormais, ne produiraient qu'une effusion de sang inutile.
Seite 230 - J'ai respecté l'amitié qui vous liait à madame du Châtelet; mais après elle, j'étais un de vos plus anciens amis. Quoi! parce que vous vous retirez dans ma maison, il sera dit que cette maison devient une prison pour vous! Quoi! parce que je suis votre ami, je serais votre tyran! Je vous avoue que je n'entends pas cette logique-là; que je suis fermement...
Seite 380 - Dans cette triste situation , il ne me reste qu'à me porter à la dernière extrémité. Je vais combattre, et si nous ne pouvons vaincre, nous allons tous nous faire tuer. Je ne me plains point de votre cœur, mais bien de votre incapacité Quiconque n'a que peu de jours à vivre n'a rien à dissimuler.
Seite 230 - Je vous avoue que je n'entends pas cette logique-là; que je suis fermement persuade que vous serez fort heureux ici tant que je vivrai , que vous serez regardé comme le père des lettres et des gens de goût, et que vous trouverez en moi toutes les consolations qu'un homme de votre mérite peut attendre de quelqu'un qui l'estime. Bonsoir.
Seite 50 - Je veux vous faire plaisir; et, pour obliger un homme, il faut entrer dans sa façon de penser. Choisissez appartement ou maison, réglez vous-même ce qu'il vous faut pour l'agrément et le superflu de la vie; faites votre condition comme il vous la faut pour être heureux, c'est à moi à pourvoir au reste. Vous serez toujours libre et entièrement maître de votre sort; je ne prétends vous enchaîner que par l'amitié et le bien-être.
Seite 4 - Aucune, répondit le maréchal; mais ce qui m'embarrasse, Sire, c'est que je ne sais ce que nous ferons de cette Moravie.» Le Roi lui proposa de la donner à la Saxe, pour attirer par cet appât le roi de Pologne dans la grande alliance : le maréchal trouva l'idée admirable, et l'exécuta dans la suite.