Dictionnaire historique et biographique des généraux français, depuis le onzième siècle jusqu'en 1820, Band 3L'auteur, 1821 |
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Seite 342 - Dénués de tout, vous avez suppléé à tout. Vous avez gagné des batailles sans canons, passé des rivières sans ponts, fait des marches forcées sans souliers, bivouaqué sans eau-de-vie et souvent sans pain. Les phalanges républicaines, les soldats de la liberté, étaient seuls capables de souffrir ce que vous avez souffert; grâces vous en soient rendues, soldats!
Seite 342 - ... et souvent sans pain. Les phalanges républicaines, les soldats de la liberté, étaient seuls capables de souffrir ce que vous avez souffert; grâces vous en soient rendues, soldats! La patrie reconnaissante vous devra...
Seite 398 - Les efforts extraordinaires, citoyen général, que l'Autriche et la Russie viennent de déployer, la tournure sérieuse et presque alarmante que la guerre a prise, exigent que la république concentre ses forces. Le Directoire vient, en conséquence, d'ordonner à l'amiral Bruix d'employer tous les moyens qui sont en son pouvoir pour se rendre maître de la Méditerranée et pour se porter en Egypte, à l'effet d'en ramener l'armée que vous commandez.
Seite 413 - Camarades , s'écrie-t-il au milieu des boulets qui soulèvent la terre sous les jambes de son cheval, c'est avoir trop fait de pas en arrière , le moment est venu de marcher en avant : souvenez-vous que mon habitude est de coucher sur le champ de bataille.
Seite 398 - Vous jugerez, citoyen général, si vous pouvez avec sécurité laisser en Egypte une partie de vos forces, et le Directoire vous autorise, dans ce cas, à en confier le commandement à qui vous jugerez convenable. Le Directoire vous verrait avec plaisir ramené à la tête des armées républicaines, que vous avez jusqu'à présent si glorieusement commandées.
Seite 415 - J'ai servi , commandé , vaincu , quarante années ; Du monde entre mes mains j'ai vu les destinées ; Et j'ai toujours connu qu'en chaque événement Le destin des États dépendait d'un moment.
Seite 32 - ... il finit par cette protestation : « Si quelqu'un est assez hardi pour soutenir que j'ai tenté de révolter les Français contre la personne sacrée du roi, et que je suis auteur de la conspiration, renonçant au privilège de mon rang, je suis prêt à le démentir par un combat singulier.
Seite 25 - Pour vous, je ne vous dis autre chose, sinon que vous êtes du sang de Bourbon, et vive Dieu ! je vous ferai voir que je suis votre aîné. — Et nous, répondirent ces princes, que nous sommes de bons cadets.
Seite 349 - Pavie expira sur mes lèvres, lorsque je vis arriver la garnison du château, qui avait brisé ses fers, et venait, avec des cris d'allégresse, embrasser ses libérateurs. Je fis faire l'appel; il se trouva qu'il n'en manquait aucun. Si le sang d'un seul Français eût été versé, je voulais faire élever, des ruines de Pavie, une colonne, sur laquelle j'aurais fait écrire : Ici était la ville de Pavie. J'ai...
Seite 350 - Ils jouent et rient avec la mort; ils sont aujourd'hui parfaitement accoutumés avec la cavalerie, dont ils se moquent; rien n'égale leur intrépidité, si ce n'est la gaieté avec laquelle ils font les marches les plus forcées. Ils chantent tour à tour la patrie et l'amour. Vous croiriez qu'arrivés à leurs bivouacs ils doivent au moins dormir?